Lors du Nintendo Direct du 13 février dernier, un grand nombre de jeux ont été annoncés pour agrandir le catalogue de la Nintendo Switch. Parmi toutes ses annonces, un jeu en particulier a retenu notre attention : Oninakile nouveau jeu du studio Tokyo RPG Factory, qui a également développé I Am Setsuna et Lost Sphere.
Oninaki créer par une équipe de choc
Le magasine Famitsurévèle cette semaine que Takashi Tokita, réalisateur de Chrono Trigger ou encore Parasite Eve, travaille sur le jeu à venir en tant que producteur créatif. Il était également concepteur principal du jeu Final Fantasy IV.
Le scénario est quant à lui rédiger par Hirotaka Inaba, qui a également écrit les scénarios de I Am Setsuna et Lost Sphere. Plusieurs autres personnes ayant déjà travaillé sur d’anciens RPG sont sur le projet, mais leurs noms n’ont pas été divulgués. En revanche, toujours d’après le magasine, l’histoire sera « troublante et choquante ».
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Ce que l’on sait sur Oninaki
C’est cette fois-ci sur le compte Twitter de Square Enix que des informations ont été divulguées au sujet d’un des protagonistes : Kagachi.
Kagachi is a Watcher, the fighting force of #Oninaki. His role is to fulfill the longings of the lost.#Oninaki is coming to #NintendoSwitch, #PS4 and #Steam this Summer!
Kagachi est un observateur, la force de combat de #Oninaki. Son rôle est de satisfaire les désirs des perdus.
Kagachi est un jeune Gardien dont le rôle est de guider les âmes errantes vers l’au-delà, afin que le principe de réincarnation soit respecté. De nature calme, il prend sa mission très à cœur et n’hésite pas à ôter la vie d’un autre afin d’atteindre son objectif. Après avoir rencontré une mystérieuse jeune fille, sa mission prendra une tournure bien plus sanglante.
Aucune date officielle n’a été communiquée pour le moment. En revanche, Famitsu nous apprend également que le jeu est à 65 % de développement. Le jeu devrait sortir pour cet été sur Nintendo Switch, PS4 et PC via Steam.
Attention Spoiler ! Lors du lancement d’un jeu, il y a toujours un certain nombre de bugs qui sont généralement résolus via un patch ultérieur. Depuis quelques jours, un bug d’Anthem fait beaucoup parler de lui : il permet aux joueurs en herbe de jouer une mission assez particulière, celle de la fin du jeu.
Anthem : un bug permet de jouer la bataille finale du jeu avant l’heure
Qui a déjà rêvé commencer un jeu et le finir directement après ? Personne, sans doute. Pourtant, les joueurs d’Anthem, le nouveau blockbuster signé EA et Bioware, sont victimes depuis peu d’un tel bug.
En effet, celui-ci envoie directement des freelancers en herbe participer à bataille finale avec, évidemment, le fameux boss de fin de jeu. Cela est possible à cause du système de matchmaking permettant de compléter automatiquement une équipe pour réaliser une mission. Seulement, l’ordinateur est censé prendre en considération le niveau du joueur afin de le mettre en relation avec d’autres joueurs d’un level similaire et, surtout, qui souhaitent remplir une quête dont vous avez le niveau requis.
Toutefois, il semblerait qu’un bug se soit glissé et que le matchmaking ne prenne pas en compte le niveau joueur. Du coup, ce dernier se retrouve à devoir accomplir des missions trop haut level pour lui, dont celle du boss final. Bon, soyons franc, aucun nouveaux joueurs n’a réussit à profiter du bug pour terminer le jeu, tant ils arrivent sous-équipés et non-préparés. Vous pouvez tout de même tenter votre chance comme on dit…
Pour rappel, Anthem est d’ores et déjà disponible sur PS4 et Xbox One pour les possesseurs de l’Origins Access. Pour le reste, la sortie est toujours prévue pour le 22 février 2019.
Le dernier DLC de Final Fantasy XV, l’Épisode Ardyn, connait une date de sortie. Bien qu’étant le quatrième d’une série de 7 DLCs initialement annoncés, cet épisode sera bel et bien le dernier.
Final Fantasy XV : l’adepte des DLCs
Avant ce nouvel épisode, nommé Épisode Ardyn, Final Fantasy XV avait connu 3 autres DLCs : l’Épisode Gladiolus, l’Épisode Ignis etl’Épisode Prompto. Chacun se centrait sur un des compagnons du héros que le joueur incarnait, le prince Noctis. L’idée était de présenter l’origin story de ces personnages, comment ils s’étaient retrouvés à devenir les compagnons de Noctis. L’Épisode Ardyn fait cependant bande à part puisqu’il se centre cette fois-ci sur le principal antagoniste du héros, Ardyn Izunia, le chancelier de Niflheim. Selon Square Enix, l’Épisode Ardyn se déroulera 35 ans avant les événements du jeu principal quand un chercheur de Niflheim, Verstael Besithia, libère Ardyn après 2000 ans d’emprisonnement. Dans ce DLC, on découvrira les principales motivations qui poussent le personnage à s’opposer à Noctis.
Avant la sortie du DLC, Square Enix a publié un court animé, intitulé Final Fantasy XV: Episode Ardyn – Prologue (Square Enix aime les noms à rallonge) dont nous parlions dans un article dédié au teaser sorti en décembre 2018. L’animé fait une quinzaine de minutes et montre des événements se déroulant 2000 ans plus tôt. Il est suivi d’un trailer pour le DLC lui-même.
Ce n’est pas la première fois que l’éditeur japonais s’adonne à des sorties de films et vidéos de ce genre puisque, rappelez-vous, avant la sortie de Final Fantasy XV, les joueurs avaient eu droit à un film entier, intitulé Kingsglaive : Final Fantasy XV, presque nécessaire à la bonne compréhension du jeu lui-même, ainsi qu’à une série animée de 5 épisodes, Brotherhood : Final Fantasy XV.
Originellement, Final Fantasy XV devait connaitre 7 DLCs, dont le 4e sur Ardyn. Les DLCs suivants auraient dû se centrer sur Araena (une mercenaire de l’empire), sur Lunafreya (Oracle de Tanabrae et amie d’enfance de Noctis) et enfin sur Noctis lui-même. Toutefois, Hajime Tabata ayant annoncé fin 2018 son départ de Square Enix, l’éditeur a décidé d’annuler toutes sorties après celle d’Ardyn. Mais que les fans qui se réjouissaient de ces épisodes ne désespèrent pas, les DLCs annulés connaîtront à la place une version roman.
L’univers de Final Fantasy XV n’en a donc pas encore terminé avec nous !
Le dernier DLC de Final Fantasy XV sera ainsi disponible le 26 mars 2019 sur PS4, Xbox One et PC.
Le studio polonais The Farm 51, connu pour avoir développé des jeux tels que Deadfall Adventure, Get Even, Painkiller ou pour avoir développé et édité World War 3, nous propose cette fois une aventure a mis chemin entre jeu post-apocalyptique et jeu d’horreur paranormal, avec Chernobylite son prochain jeu qui se dévoile avec un trailer de lancement qui vaut largement le coup d’œil.
Chernobylite, un successeur à S.T.A.L.K.E.R ?
Chernobylitemêle horreur paranormale et survie post-apocalyptique en nous proposant une exploration libre de son monde ouvert créé grâce à un scanner 3D qui a servi à recréer la zone d’exclusion deTchernobyl. Chernobylitenous proposera des combats difficiles, de l’artisanat et une histoire non linéaire. De plus, nous aurons la possibilité de coopérer ou de nous confronter à d’autres Stalker. Les S.T.A.L.K.E.R «Scavengers, Trespassers, Adventurers, Loners, Killers, Explorers, Robbers» ou en français «Pilleurs, Transgresseurs, Aventuriers, Solitaires, Tueurs, Explorateurs, Voleurs» sont des mercenaires qui écument les zones dévastées pour l’argent. Tous ces éléments de Gameplay nous font bien évidemment penser à la licence S.T.A.L.K.E.R dont un prochain opus, STALKER 2, annoncé à L’E3 2018 devrait arriver d’ici 2021.
Un trailer à l’ambiance angoissante.
Avec un design graphique rappelant fortement les licences S.T.A.L.K.E.R ou Metro, le trailer de Chernobylitenous plonge dans un monde sombre et inquiétant, mais surtout jonché de phénomènes paranormaux. Les images du trailer sont accompagnées d’une bande-son tout aussi angoissante avec la voix d’une petite fille. Le tout pour un résultat très réussi qui arrive à nous mettre des frissons dans le dos.
Plusieurs questions se posent après avoir vu ce trailer. Qui est cette femme vêtue d’une robe rouge à fleurs ? Qui est le monstre derrière ce masque à gaz ? Avec un trailer à l’ambiance sombre et angoissante, Chernobylites’annonce être très prometteur.
Les images dévoilées de Chernobylite.
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Chernobylitesera disponible d’ici la fin de cette année 2019 et sera jouable uniquement sur PC.
Que les fan(atiques)s se réjouissent, Darkest Dungeon, ce roguelike mythique, a enfin une suite ! C’est sur Twitter que le teaser du Darkest Dungeon 2 a été publié. Une vidéo qui donne des frissons (glacials).
Un teaser court, mais intrigant pour Darkest Dungeon 2
Sous une tempête de neige, un pic montagneux se dessine et une torche, en forme de 2 en chiffre romain, s’illumine dans la nuit. Six silhouettes nous tournent le dos, fixant avec détermination la montagne enneigée. Voilà en quelques mots ce que nous révèlent la vidéo de 30 secondes publiée via un tweetde Red Hook Studios, les développeurs de Darkest Dungeon premier du nom.
Peu de détails sur le prochain opus, mais qui nous révèlent déjà quelques informations intéressantes. Déjà, une ambiance montagneuse et enneigée, bien différente du premier Darkest Dungeon qui prenait place dans un hameau paumé au milieu d’une forêt sombre et inquiétante. Les héros ont-ils décidé de partir à l’aventure ? Vont-ils rencontrer de nouvelles créatures, telles que le Yéti, par exemple ? Puis, l’apparition des personnages nous permet de retrouver six classes de héros déjà bien connues du premier Darkest Dungeon : la Furie, le Lépreux, le Bandit, le Docteur Lapeste, l’Homme d’arme et la Pillarde.
Dans une interviewdonnée par PC Gamer, le studio ne donne pas plus d’informations concernant la sortie du jeu ou d’un trailer. Toutefois, il est possible que le système de combat au tour par tour reste semblable tout en subissant quelques changements de forme. Red Hook Games se concentrerait en effet à construire une structure complètement différente dans son système de jeu. Il est vrai que si l’on ne démarre plus d’un village, comme dans le premier Darkest Dungeon, pour sélectionner les lieux à visiter, le principe du jeu va s’en trouver fortement modifié.
Enfin, comme son prédécesseur, Darkest Dungeon 2 devrait probablement, sans certitude, être disponible en Early Access. De quoi ravir les plus impatients !
Si vous ne connaissez le premier opus, sachez que Darkest Dungeon est disponible sur PC, PS4, Xbox One, Switch, PS Vita, Mac, iOS et Linux. (Aucune excuse pour ne pas y jouer !)
Le contexte scolaire peut sembler répétitif aux élèves, et ce peu importe le diplôme préparé ou le niveau d’études. Au cœur du quotidien des enfants jusque chez les adolescents et les jeunes adultes le jeu vidéo plait beaucoup, mais pourquoi ? C’est ce que nous allons tenter d’analyser dans cet article, autrement dit le pouvoir des jeux vidéo en tant que support d’apprentissage, ainsi que les limites de ce média.
Quelques éléments d’introduction sur les jeux vidéo
Loisir favori de la communauté des joueurs, ces derniers représentent deux personnes sur 5, soit plus de 40% de la population française. Contre toute attente, l’âge moyen des joueurs se situe autour des 33 ans ! Bref, les jeux vidéo rassemblent, sans distinction d’âge, de couleur ou d’origine sociale. De plus, il s’agit d’un domaine qui s’étend au rang de culture, comme dit dans cet article.
Il faut également savoir que l’Éducation Nationale s’intéresse à cette nouvelle plateforme sous le nom de serious game :
« Enfin, le jeu-vidéo n’est plus simplement envisagé comme une simple distraction dévorante des nouvelles générations (…) l’arrivée de nouvelles interfaces sur les nouvelles consoles de salon (Nintendo DS, Wii) (…) oblige à repenser le jeu-vidéo. »
Graphismes photo-réalistes, bande-son travaillé et des intrigues dignes des romans. Tout ceci permet donc de se poser la question suivante : peut-on réellement mélanger éducation et divertissement vidéo-ludique ? La réponse n’est pas simple : ça dépend.
Quand on joue, on apprend, et on apprend mieux
Il existe bel et bien des jeux non-éducatifs où il est possible de se cultiver et d’entraîner son cerveau. Assassin’s Creed, Call of Duty, Detroit : Become Human, Professeur Layton, Titan Quest, Tomb Raider, Age of Mythology, la liste est longue ! Sans le savoir, les joueurs peuvent accumuler des connaissances dans de nombreux domaines qui sont l’Histoire, la mythologie et l’anthropologie. Toutefois, quelques jeux se démarquent par leur contenu littéraire et scientifique. On peut citer entre autres Opus Magnum, Little Alchemy, No Man’s Sky, Epistory Typing Chronicles : on vous invite à les tester ! N’oublions pas les simulations comme Bio Inc ou Plague.
Toutefois, des limites s’imposent à ces supports éducatifs. Tout d’abord, les jeux vidéo ne valent en RIEN l’importance et l’abondance des apprentissages à l’école. Ces derniers sont enseignés par un personnel formé et qualifié. De plus, la véracité du contenu des jeux n’est pas fiable à 100% ! Des différences peuvent exister au sein de l’intrigue, et c’est normal. Tout comme dans les films, le but est avant tout de plaire aux joueurs, pas de l’instruire, bien que cela soit un plus.
Quand jouer influence les valeurs des joueurs
N’importe quel joueur peut dire qu’un jeu a été marquant pour lui. Traumatisant, bouleversant, une larme vous a peut-être même échappé ? On vous comprend ! Nombre de jeux vidéo ont un impact sur les joueurs, au point de baser le Gameplay sur les principes que vous avez ou non.
On peut penser aux jeux à choix multiples dont le genre connait un succès fou depuis plusieurs années. Parmi les plus connus, il y a Until Dawn, Heavy Rain ou même Fable. Selon vos choix, vous obtiendrez une fin différente qui ne dépend que de vous. Parmi ces opus, un jeu gère particulièrement bien le système de choix : Undertale. Contrairement à beaucoup de jeux, vous être très libre. Libre de jouer d’une manière qui influencera votre histoire en permanence, jusqu’à la fin. Cependant, ne vous attendez pas à une fin standard et ne vous fiez pas aux apparences !
Dans le style d’Undertale, on peut supposer que certains jeux vidéo pourraient vous apprendre des valeurs importantes ou les renforcer. Si vous êtes dans une guilde, vous savez que devez être actif et régulier. Quand vous jouez avec plusieurs personnes, le respect est de mise (valeur dont beaucoup constatent la disparition peu à peu). Vous devez vous entraîner pour gagner des combats, apprendre des combos ou gagner des niveaux, de l’équipement. Toutes ces choses sont des valeurs que l’on apprend également dans les institutions scolaires, mais la dimension vidéo ludique gomme l’aspect obligatoire et nécessaire qui rebute souvent les élèves.
Pour conclure
Comme dit précédemment, les jeux vidéos ne remplacent pas les cours donnés dans les écoles. Toutefois, l’engouement de l’industrie du jeu vidéo est un moyen efficace pour détourner le côté assommant de l’apprentissage que nous connaissons tous. Cela permet de sortir du cadre scolaire tout en assimilant des valeurs, principes, connaissances de manière inconsciente mais attractive. De plus en plus de développeurs s’attardent à mêler éducation, graphismes et Gameplay pour un rendu efficace, mais encore une fois, il ne s’agit pas de la majorité des jeux, ni les plus connus ou les mieux notés.
Annoncé tel un alien descendu de nulle part au cours de l’E3 2018, Jump Force à surpris bon nombre de gamers. Il s’est aussi très vite aussi ambitieux que la dernière grosse compilation qu’était J-Star Victory Vs en 2014. Et, comme d’habitude, il est temps pour nous de dresser le verdict final. Grosse arnaque ou coup de génie ? Réponse dans notre test.
Jump Force ou un casting 5 étoiles ?
Bon, pas la peine de tourner autour du pot : le principal intérêt du jeu de baston signé Bandai Namco réside dans son casting. Mais, ce casting peut-il être qualifié de « 5 étoiles » ? On en est pas loin…
42 personnages jouables
En effet, Jump Force peut se targuer de proposer pas moins de 42 personnages issus des mangas édités par le Shonen Jump Magazine. Bien plus, il se présente comme un véritable hommage vidéoludique à l’éditeur japonais. Naruto, Dragon Ball, Dragon Quest, Saint Seiya, City Hunter, One Piece, etc. (on vous avez fait une liste), quasiment toutes les licences du magazine sont couvertes. De cela, on peut louer le travail des développeurs qui proposent des combattants aux caractéristiques propres, avec chacun leurs pouvoirs et manière de combattre.
Néanmoins, le bas blesse au niveau des personnages choisis. En effet, si la plupart des licences sont couvertes, elles sont à peine explorées. Quand on voit la palette de personnages qui auraient pu être intégrés au casting, comme Krillin, Bou, Broly, Son Gohan pour Dragon Ball, ou encore Shaun, Ikki ou Hyoga de Saint Seiya, on se dit que le roster aurait pu prendre une autre ampleur. D’où ce sentiment de déception quand on est face à la liste des combattants, bien que conséquente. En bref, ça sent le DLC à plein nez et vous serez ravi d’apprendre qu’un Season Pass est disponible.
Une histoire digne d’un manga du Jump ?
Si on se penche sur l’histoire, force est de constater que le scénario est fade. Butant sans cesse sur une lassitude, une répétitivité à haute épreuve et un rythme scénaristique à la ramasse, le titre de Bandai Namco peine à surprendre.
Freezer, mais bien d’autres aussi !
Grosso modo, l’histoire de Jump Force peut être résumée comme suit. Une compilation de vilains, menée par l’infatigable et démoniaque Freezer, veulent anéantir le monde. Une force spéciale appelée « Jump Force » se met alors en place pour contrecarrer les plans des vilains en récupérant des cubes démoniaques qui ont la capacité de prendre possession des corps et de les contrôler. Évidemment, cette « Jump Force » est composée des « meilleurs combattants » des mondes Jump, aka tous les mangas édités par le magazine japonais.
Des méchants possédés, vous a-t-on dit ? Les voici !
Sur le terrain, vous devrez tout d’abord créer votre propre personnage, un système qui fonctionne à merveille et qui n’est pas (on y reviendra) sans laisser penser à un certain Dragon Ball Xenoverse. Une fois le prologue passé, vous devrez vous initier aux bases du jeu via un court didacticiel et ensuite résoudre toute une série de missions. Celles-ci peuvent être des missions en ligne ou hors ligne (local) et peuvent être liées ou non à l’histoire principale. Le tout est servi avec des écrans de chargements nombreux et, surtout, extrêmement longs, ce qui a tendance à ralentir le rythme et l’immersion en est impactée.
Créez et personnalisez votre personnage de A à Z
Mais le principal problème réside dans la répétitivité lassante de ces missions, qui poursuivent toutes le même objectif : défoncer la tronche de notre adversaire. Un système de progression existe avec de l’expérience à gagner grâce à l’accomplissement de ces missions. Dès le départ, vous devrez choisir une escouade, qui correspond grosso modo aux trois plus grands mangas du Jump : Dragon Ball, One Piece et Naruto. A vous de choisir, les goûts et les couleurs, cela ne se discute pas. Par la suite, vous devrez faire les missions consistants à secourir du mal (cf cubes) vos camarades des mondes Jump, possédés par le mal pour mettre à mal le plan des vilains et sauver l’univers. Bref, rien d’exceptionnel, mais cela a le mérite de faire passer le temps.
Quand brouillon rime avec Brouillard
Brouillon ou brouillard, il est difficile de choisir le bon mot. Une chose est sûre : passée la première heure de jeu, l’agréable sentiment d’être complètement époustouflé par le jeu s’essouffle. Sur le plan graphique, Jump Force s’en sort pas mal avec des graphismes vraiment jolis et de beaux effets, mais l’écran est trop surchargé, ce qui rend les combats peu lisibles. Le problème étant que cette qualité graphique est inégale entre les personnages. Si certains comme Son Goku ou encore Luffy profitent d’un très beau design, d’autres comme Trunks, à titre d’exemple, souffrent.
Trop d’effets, ça tue…
De plus, les combats s’avèrent très brouillons, et la caméra part à plusieurs reprises en couille. Et que dire des super-pouvoirs que l’on peut déclencher ? Classe au début, on se rend très vite compte, lorsqu’on les actionne, que l’on n’y voit plus rien. Du coup, c’est trop surchargé et on ne comprend plus rien à ce qu’il se passe. Classe, mais inutile dans ce cas.
Le gameplay quant à lui peine à se réinventer, les combos ne sont simples comme bonjour. On se rend très vite compte que Jump Force a été conçu surtout comme un jeu de combat accessible à tous. Cela se ressent puisque les combats sont simplifiés, ce qui déplaira aux experts. Un peu plus de complexité et d’originalité n’aurait pas fait de tort.
Comme un air de déjà vu ?
Finalement, n’y-a-t-il pas un air de déjà vu ? En effet, on a très (trop) souvent l’impression de se retrouver face à un clone de Dragon Ball Xenoverse. On en a déjà parlé tout à l’heure, la création du personnage est un exemple, mais il en existe d’autres. C’est ainsi le cas pour le HUB, qui nous ressort sans arrêt la même musique d’ambiance lancinante, la manière de se déplacer dans ledit HUB ou bien la manière dont il est structuré. Là aussi, ça manque d’originalité et c’est dommageable pour un jeu de cette envergure.
un bon HUB aux airs d’un certain Xenoverse…
Points Forts :
Un casting démentiel…
De beaux graphismes…
Les effets, c’est vraiment classe.
La création de personnage.
Un gameplay accessible à tous.
Bonne durée de vie si vous êtes fan de mangas.
Anglais/Japonais sous-titré en français (VOSTFR).
Points Faibles :
…Mais un poil « léger » si on est minutieux.
Une bande-son à revoir.
Un scénario anecdotique.
Des missions trop répétitives.
Des écrans de chargements trop récurrents et surtout trop nombreux.
Skybound Games, développeur des deux derniers épisodes de The Walking Dead : l’Ultime Saison, a teasé une mystérieuse date dans un tweet le jour de la Saint-Valentin. Un teaser qui correspond à une date de sortie pour le trailer de l’épisode 4 de The Walking Dead : l’Ultime Saison ? Ça ne serait pas improbable.
Skybound Games, l’adepte des teasers mystères pour The Walking Dead
Le 14 février 2018, Skybound Games postait un mystérieux tweet. Dans la vidéo qui y est attachée, on peut y découvrir des décorations de Saint-Valentin roses à souhait et couvertes de sang. Une date y apparaît plusieurs fois par flash : le 20 mars 2019.
Ce n’est pas la première fois que Skybound Games, successeur de Telltales Games, se lance dans des annonces de ce genre. Déjà pour Noël, le 25 décembre 2018, un tweetdu développeur présentait un cadeau avec l’inscription “Don’t open till Jan. 7th”, autrement dit “Ne pas ouvrir avant le 7 janvier”. Le 7 janvier, le trailer du troisième épisode de The Walking Dead : l’Ultime Saison sortait officiellement.
En comparant le tweet sorti en décembre avec le tweet sorti cette Saint-Valentin 2019, les similitudes sont flagrantes : un tweet posté un jour de fête mettant en scène des décorations couvertes de sang qui correspondent à la fête en question, le tout se terminant par une mystérieuse date. The Walking Dead : L’Ultime Saison va enfin connaitre une conclusion ! Rappelez-vous, ce jeu initialement développé par Telltales Games puis repris par Skybound Games, contait l’histoire de Clementine, une petite fille devant apprendre à survivre dans un monde envahi par des walkers, ou zombies. Ce jeu de style point’n’click avait obtenu beaucoup de succès, notamment pour la possibilité de faire des choix qu’il offrait dans un univers bien connu du public grâce aux comics et à la série The Walking Dead. Il est ainsi plus que logique de conclure que le trailer de l’épisode 4, le dernier, du jeu paraîtrait à cette date du 20 mars 2019. L’épisode lui, ayant une date de sortie confirmée pour le 26 mars 2019. De quoi ravir les fans qui attendent avec impatience la conclusion des aventures de Clementine.
Le quatrième et dernier épisode de The Walking Dead : L’Ultime Saison sera disponible le 26 mars 2019 sur PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.
Disponible surPS4, PC et Xbox One, Far Cry New Dawnarrive sur nos écrans à peine un an après la sortie de Far Cry 5. Créé par Ubisoft, ce FPS dans un univers post apocalyptique promet de bonnes heures de jeu, mais aussi quelques petits coups de gueule. C’est donc dans cette ambiance chaleureuse qu’ActuGeekGaming vous présente son test sur Far Cry New Dawn.
L’histoire de Far Cry New Dawn
ATTENTION SPOIL ! Si vous n’avez pas joué à Far Cry 5 et que vous ne voulez pas vous faire spoiler la fin de Far Cry 5, nous vous recommandons de ne pas lire ce paragraphe de notre test de Far Cry New Dawn ! Vous êtes prévenus.
[peekaboo name= »spoil »][peekaboo_content name= »spoil »]Au commencement, dans Far Cry 5, qui se déroule dans le Montana plus précisément à Hope Country. Cette terre de « liberté » est sous l’influence d’un culte fanatique mené par Joseph Seed, un prophète charismatique dont le rêve est de créer l’Eden Gate. Vous devrez combattre l’oppresseur, afin de libérer les habitants des lieux de ce fou. Après un long combat acharné, Joseph Seed utilise une bombe nucléaire pour arriver à son objectif final.
[/peekaboo_content]
Far CryNew Dawn se passe 17 ans plus tard au même endroit. Vous incarnez le capitaine (homme ou femme au choix) d’un groupe dont l’objectif est d’aider les humains à rebâtir une civilisation. Vous êtes appelé par une petite communauté se trouvant à « Prosperity » anciennement nommé Hope County. Votre voyage prend rapidement une tournure désastreuse. Votre train se fait attaquer par le groupe qui domine la région, qui n’est bien évidemment pas dans votre camp. Vous êtes la seule personne à avoir survécu sur toute votre équipe. Vous devrez vous battre contre les Jumelles et leurs hordes de Ravageurs afin de faire évoluer Prosperity.
Dans Far Cry New Dawn, rien ne se perd, tout se transforme !
Si vous trouvez que la carte a des airs de déjà vu, vous n’êtes pas fou. Far Cry New Dawn se passe bel et bien au même endroit que le cinquième épisode. Seule une petite partie au sud-ouest de la carte ne peut pas être explorée en raison des radiations. Il est vrai qu’Ubisoft aime recycler ses cartes sur cette franchise, comme cela avait été le cas avecFar Cry 4 et Far Cry Primal.
La roue des armes disponible
De plus, qui dit explosion nucléaire, dit pas de commerce. Pour diversifier votre arsenal, plusieurs solutions s’offrent à vous : rechercher des matériaux pour les concevoir vous-même, le scotch sera votre meilleur ami. Des ressources plus ou moins rares se cachent un peu partout. La deuxième solution est de prendre les armes sur les cadavres de vos ennemis. Ou alors des marchands itinérants se baladent de temps en temps, il y a donc possibilité de faire du troc afin d’obtenir ce que vous cherchez. Dans ce cas, les peaux de bête sont la meilleure monnaie. Une nouvelle arme vient compléter votre arsenal : le lance-scies. Sa portée est moyenne, mais les projectiles rebondissent trois fois, il est donc possible d’avoir plusieurs adversaires en même temps.
Le combat au corps-à-corps est également disponible, mais fortement déconseillé. Les coups sont approximatifs avec la précision d’un enfant de huit ans. Tant que vous le pouvez, évitez cette expérience.
Post-apocalyptique oui, mais pas désertique
La nature reprend déjà ses droits donnant de magnifiques paysages très fleuris et riche en couleurs. Malgré toutes ces couleurs assez criardes, le tout donne un rendu très joli, en plus d’une belle qualité graphique. La bande-son est aussi d’excellente qualité puisque si vous mettez un casque ou que vous êtes équipés d’un home cinéma, vous pourrez entendre les animaux sauvages écraser l’herbe derrière vous. Mais sans équipement, le son reste quand même agréable à écouter.
Des couleurs assez criardes pour un avant-poste
Comme toute situation Post apocalyptique, l’objectif numéro un est de survivre. Vous devrez affronter des ennemis appelés « Ravageurs« . Piller les campements les plus petits pour affaiblir les plus grandes bases. Lorsque vous capturez un avant-poste, vous aurez le choix entre le garder et en faire un point de déplacement rapide. Ou alors vous pourrez le piller complètement et l’abandonner ce qui aura pour effet de faire revenir les ennemis sur place immédiatement. Il sera alors possible de reprendre cet avant-poste et de le piller à nouveau et obtenir plus d’éthanol, ce précieux liquide qui vous sera fort utile pour développer Prosperity. Mais attention ! Lorsque les Ravageurs reviennent à l’endroit perdus, ils deviennent plus puissants, plus nombreux avec plus d’alarmes. Les ennemis sont dirigés par « Les jumelles » grandes méchantes sans charisme particulier et complètement insipide.
À mesure que la communauté grandira, il vous sera alors possible de débloquer l’hélicoptère qui vous transportera sur la carte, mais également à l’extérieur à travers l’Amérique. De petites quêtes annexes seront alors débloquées et vous pourrez explorer de nouveaux horizons sur une petite zone.
Évolution de Prosperity
L’IA contaminée par les radiations ?
Il faut dire que le terme des « Ravageurs » pour décrire les ennemis est parfaitement adapté. En effet, beaucoup de choses nous laissent croire par leur comportement qu’ils ont subi un peu trop de radiation, et sont devenus ravagés. Leur intelligence est limitée et à part rouler sur les routes, ou manger des chiens, ils ne font pas grand-chose de leurs journées. Hormis taper sur tout ce qui bouge ou sur quelqu’un qui ne porte pas de cuir rose.
Les ravageurs
Les alliés aussi ont leur limite intellectuelle. En plein gun-fight, ils ne sont pas capables de se toucher, alors qu’ils sont à 10 mètres l’un de l’autre, pouvant donner des situations assez frustrantes. Ou alors ils deviennent pacifistes et décident de se mettre devant votre ligne de mire lorsque vous essayez d’abattre un ennemi. Certains deviennent même suicidaires en sautant du véhicule en marche. Libre à vous de les soigner ou non.
Une alliée qui vient à votre secours au début du jeu
Les PNJne sont pas en reste non plus. Parfois, il faudra en chercher un pour déclencher une quête ou avoir des informations supplémentaires au sujet d’un point précis, mais il sera sans doute parti se promener et sera introuvable. Il ne vous restera qu’à lancer une exploration via vos alliés, ou le chercher vous-même si vous préférez les aventures en solo, voire redémarrer simplement le jeu pour le trouver.
Point fort
Les graphismes sont magnifiques
Tuer les ennemis n’est plus votre premier objectif
Le développement de la base est très utile
Les expéditions sont les bienvenues
Le choix de refaire les bases ou non
Avec un casque, la bande-son est encore plus immersive
Un trailer de Gameplay pour Mortal Kombat XI où Jade fait son retour !
Ce nouveau trailer de Gameplay annonce le retour de Jade, un personnage kulte de la série. De son vivant, Jade excellait dans l’art de l’assassinat et était connue pour l’amitié profonde qui la liait à la princesse Kitana ainsi que pour sa tenue verte emblématique (Jade : émeraude : couleur verte). Jade a perdu la vie dans les événements de Mortal Kombat 9, c’est même Sindel, ressuscitée par Quan Chi et Shao Khan, qui l’a tué elle et d’autres kombattants. Suite à un accord entre Shao Kahn et Quan Chi, l’âme de Jade atterrit au NetherRealm, où elle devint un zombie aux services du nécromancien. Ressuscitée par Quan Chi, c’est sous la forme d’une revenante qu’elle sert aujourd’hui le royaume Nether. Mais la mort n’a pas ralenti Jade. Elle domine toujours ses adversaires à l’aide de son bō (bâton), de ses boomerangs rasoir et de ses répliques cinglantes.
C’est une joie de retrouver un kombattant qui existe depuis Mortal Kombat II ! Néanmoins, ce qui fait moins plaisir, c’est de retrouver Jade dans cet état et du côté du NetherRealm. Cependant, elle fait au moins partie du camp de sa meilleure amie : Kitana. On retrouve beaucoup de ses techniques d’Assassin dans Mortal Kombat XI comme nous le dévoile ce nouveau trailer où Jade fait son retour. Bien sûr, des coups inédits voient le jour, par exemple son Fatal-Blow (anciennement nommé Attaque X-Ray) et un de ses Finish Him ! Les joueurs vont apprécier retrouver un personnage kulte à la saga Mortal Kombat, pourtant totalement différente en apparence à la Jade que l’on connait !
Mortal Kombat XI est attendu le 23 avril 2019 sur PlayStation 4,Xbox One, PC et un peu plus tard sur Nintendo Switch. N’oubliez pas de précommander le jeu si vous voulez obtenir un combattant supplémentaire : Shao Khan et avoir un accès à la bêta du jeu le 28 mars 2019. Enfin, une édition collector est disponible pour Mortal Kombat XI.
