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Borderlands 4: Gearbox dévoile sa roadmap et le contenu endgame

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Comme ses prédécesseurs avant lui, Borderlands 4 aura droit à un imposante feuille de route et un endgame tout aussi fourni. Gearbox en a recemment dévoilé le contenu, qui paraîtra à compter de cet automne. Entre DLC gratuits/payants, boss optionnels et autres skins légendaire, faisons le tour du propriétaire.

Du contenu à foison sur Borderlands 4

Randy Pitchford et 2K l’ont annoncé: Borderlands 4 sera de loin le titre le plus énorme et ambitieux de toute la série. C’est donc tout naturellement qu’il poursuivra la tradition des épisodes qui l’ont précédé, en offrant aux joueurs une pléthore de contenus, tantôt payant, tantôt gratuit et faire qu’ à la fin du jeu, la chasse au trésor ne soit pas terminé.

Les festivités commenceront d’ailleurs très rapidement,  puisque dès que vous aurez fini la campagne principale, vous pourrez vous lancer dans le mode Chasseur de l’Arche Ultime, où vous pourrez vous frotter à des Boss plus coriaces et débloquer des Firmwares, vous permettant de gagner en puissance au fil des cumuls. Battre ces Boss dans le cadre de défis hebdomadaire vous permettra de remporter divers skins et autres récompenses légendaires.

Place ensuite aux Bounty Packs (payants), permettant de débloquer de nouvelles missions, un Boss inédit, de l’équipement légendaire et plus encore. Du contenu gratuit sera également proposé pour célébrer Halloween comme il se doit,  avec des armes et autres skins sur le thème. Enfin, début 2026 verra arriver un premier gros DLC avec Mad Ellie and the Vault of the Damned, qui permettra d’incarner la chasseuse Ellie dans une zone exclusive de Kairos, nouveau terrain de jeu de ce Borderlands 4.

Borderlands 4 sortira le 12 septembre 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S, puis le 3 octobre 2025 sur Nintendo Switch 2.

2XKO: Blitzcrank se dévoile en vidéo

Développé et édité par Riot Games, 2XKO est un jeu de combat dans le monde de Runeterra, le même univers que League of Legends. Et c’est au tour de Blitzcrank de se dévoiler dans une vidéo de gameplay.

Un combat en 2 contre 2, seul ou avec un ami

Dans 2XKO, vous pourrez jouer en équipe avec un ami. Mais que vous soyez seul ou accompagné, vous serez en mesure de prendre deux champions dans votre équipe. Si vous décidez d’être seul, vous contrôlerez les deux. Chaque champion est tiré de l’univers rencontré dans League of Legends ou encore Arcane. Leurs attaques seront directement inspirées des compétences qu’ils possèdent dans League of Legends et adaptées au nouveau style de jeu.

Un mode compétitif est déjà prévu. Lancez-vous dans les matchs classés et entrez dans le classement. Arriverez-vous à faire partie des combattants d’élite ?

Le golem passe à l’attaque dans une vidéo riche en action

La vidéo, d’une durée de deux minutes, dévoile les différentes attaques de Blitzcrank. Vous pouvez facilement trouver des similarités avec ses compétences de League of Legends, bien qu’ici, nous nous éloignons du rôle de support pour retrouver notre golem bien-aimé jouer des poings face aux champions adverses.

C’est aussi l’occasion de le voir en action face à des champions comme VIIllaoi, Ahri et d’autres encore. Profitez-en aussi pour découvrir les décors, inspirés des différentes régions de Runeterra.

Retrouvez toutes les informations et attaques des différents champions déjà révélés sur le site officiel de 2XKO et les vidéos de gameplay des champions annoncés sur le YouTube du jeu.

2XKO n’a pas encore de date de sortie annoncée, mais vous pouvez déjà vous inscrire à la bêta fermée prévue pour le 9 septembre 2025 sur PC en allant sur ce lien2XKO sortira gratuitement sur PCPS5 et XBOX Series X/S. Restez connecté pour en découvrir encore plus sur le prochain jeu de Riot Games.

007 First Light aura droit à son State of Play ce mercredi 3 septembre

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Après avoir été dévoilé dans un premier temps en juin dernier, 007 First Light, le prochain jeu  centré sur les débuts du célèbre agent britannique, derrière lequel on retroive les équipes de IO Interactive, responsables des derniers jeux Hitman, fera l’objet d’un State of Play qui lui sera entièrement consacré ce mercredi 3 septembre.

Rendez- vous le 3 septembre à 20h pour du gameplay sur 007 First Light

C’est donc ce mercredi 3 septembre à 20h, heure de Paris, que 007 First Light aura droit à son State of Play. À cette occasion, IO Interactive nous partagera 30 minutes de gameplay, en présentant notamment la première mission du jeu. Pour rappel, 007 First Light racontera les débuts de l’espion au service de sa majesté. Selon Yann Roskell, community manager de IO Interactive via le Playstation Blog, la présentation devrait inclure une course poursuite en voiture, de l’infiltration et une course poursuite à pieds.

Au cours de la présentation, d’autres informations seront également dévoilées. On ne sait pas encore de quoi il en retourne. On peut éventuellement s’attendre à une date de sortie mais toutefois,  rappelons que le titre est prévu pour 2026. Ce dernier devient ainsi le 3ème jeu editeurs tiers à bénéficier d’un State of Play entièrement consacré, après Hogwarts Legacy et Borderlands 4. Un partenariat qui fait écho à celui entre le géant japonais et la licence au cinéma,  de Casino Royale à Spectre. On se donne rendez-vous demain soir pour voir si ce nouveau James Bond est digne de sa majesté.

Test Hell is Us: l’enfer de la guerre

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Lorsque Nacon annonce Hell is Us en 2022, les intentions sont claires dès le début: le futur premier jeu de Rogue Factor ne prendrait pas les joueurs par la main. La promesse derrière cette philosophie ? Offrir une expérience brut de découverte, pour ramener, selon son directeur créatif, aux bons souvenirs des jeux d’aventure des années 90. Cette promesse est-elle tenue et surtout, apporte-t’elle une réelle plus-value ? On le découvre dans notre test ci-dessous.

Les idéaux d’Hadea

Le récit de Hell is Us, qui s’étale sur 15-20h en ligne droite et peut facilement doubler en contenu annexe, nous transpose dans la région fictive d’Hadea, qui semble s’inspirer des Pays de l’Est, comme la Pologne. Depuis des années, deux camps se déchirent dans un conflit à base religieuse. Les connaissances en histoire de votre serviteur sont, assumons-le, assez limitées mais en référence, on tend clairement ici vers les heures les plus sombres de la seconde guerre mondiale. Comme-ci, ca ne suffisait pas, un évènement répondant au nom de Calamité a permis à d’étranges monstres « émotifs » et sortes de clones Silent-Hillesque d’apparaitre à la surface de la région (et même sous la surface).

C’est dans ce contexte que Remi, notre héros peu bavard fait son apparition, remettant les pieds dans une région qu’il fut forcé de quitter durant sa plus tendre enfance. C’est justement pour en comprendre les raisons ainsi que pour retrouver ses parents que notre homme retourne illégalement au pays. Sur le plan narratif,  Hell is Us tient presque toutes ses promesses. Dès le début du jeu, un message avertit d’ailleurs les joueurs les plus sensibles de certains thèmes abordés et pour le coup, le message n’est pas à prendre à la légère.

Hell is Us gameplay screenshot

Bien qu’elle soit fictive, la guerre dont il est question à Hadea y’est vécue avec toute la dureté et les innommables immondices dont l’être humain est capable. De fait, des images et des suggestions aussi dures que des exécutions publiques impliquant hommes, femmes et enfants, tout comme des violences sexuelles (pour rester le plus soft possible…) émanent des moults villages et autres ruines que l’on explore.

De fait, il s’agit peut-être avec l’excellent This War of Mine de l’une des meilleures représentations de la guerre dans un jeu vidéo, tout du moins dans son approche morale. Finalement,  la seule ombre au tableau, pas des moindres, c’est justement le personnage de Rémi. Si sa froideur et sa distance face aux événements s’expliquent par son background, il nous a été quasiment impossible de nous attacher au personnage et de fait, de ressentir vraiment au plus fort l’impact narratif autour de lui.

Hell is Us ne nous prends VRAIMENT pas par la main

Abordons maintenant le point névralgique de ce test de Hell is Us, ce détail qui a constitué le plus gros de la communication autour du jeu. Ici, on oublie  toutes ces histoires de marqueurs, de visions d’aigles et autres indicateurs, tout le voyage se fait au feeling. Tout ce dont dispose Remi, c’est une tablette qui va inventorier tout ce qu’il trouvera en chemin mais c’est au joueur lui-même de faire le lien entre les objets qu’il trouvera et leur utilités dans l’aventure. Il faut bien comprendre ici qu’absolument tout ce qu’on vit  est régi par cette régle.

Hell is Us gameplay screenshot

Enfin, ca c’est surtout vrai pour le côté annexe. Pour ce qui est de l’aventure principale, si l’idée reste aussi totalement présente, la solution a une énigme n’est jamais bien loin. Contrairement à l’aspect secondaire, qui nous incite a repasser pour essayer moults combinaisons,  qu’il s’agisse d’un objet trouvé dans une zone, à remettre à un individu dans une autre zone ou une mystérieuse clé pouvant ouvrir on ne sait quelle mystérieuse porte, la mission principale nous a rarement perdu. Tout juste avons-nous pu être ralenti par certaines énigmes parfois un rien relevé. La faute, si l’on puis dire, incombe à un level design qui opte (intelligemment) pour des zones fermées, ce qui limite le temps que l’on passe à chercher certaines solutions.

Tout original qu’il soit dans son approche (même si il n’invente rien dans les faits), Hell is Us répond quand même à certains codes établis. Mais rendons ses armes à César, toute cette volonté de faire un jeu totalement non-dirigiste dans son exploration se ressent très rapidement et ca fonctionne. La narration l’est tout de même davantage, malgré son aspect volontairement cryptique mais on sent bien que le but de Rogue Factor n’était pas que le joueur se perde totalement dans l’histoire de ce monde mais bien dans ce monde en lui-même.

Hell is Us gameplay screenshot

Soul’s like Vice Versa

Dans ses différentes previews,  Hell is Us a souvent été comparé à un Soul’s Like et pour le coup, il faut bien avouer que le terme nous semble légèrement galvaudé. D’une part parce que la structure du jeu ne s’y apparente aucunement et l’aspect cryptique de sa narration partage beaucoup plus en commun avec Kojima que Miyazaki et d’autre part parce que si le système de combat à bien quelques originalités là aussi, sans non plus transformer le gameplay en bouleversement vidéoludique, le rapport avec l’univers des Souls nous paraît bien lointain, tant dans la difficulté des combats que dans le pattern des créatures. Dans Hell is Us, vous ferez face à des créatures qui se ressemblent toutes, des sortes d’êtres blancs flottant,  sans visage.

Certaines d’entre elles sont reliées via une sorte de cordon à une entité représentant une émotion forte parmi la rage, la tristesse ou encore la peur. Dans le cas de ces ennemis, il faut d’abord vaincre l’entité émotive en question avant de pouvoir s’en prendre à son hôte. Mais il vous faut alors faire vite, sous peine de voir l’entité revenir et devoir à nouveau l’éliminer. La subtilité du système de combat de Hell is Us se trouve dans la gestion de l’endurance, intrinsèquement liée à la jauge de santé. Lorsque vous frappez, lorsque vous courrez (uniquement durant les phases de combat), que vous esquivez ou preniez des coups, votre jauge d’endurance baisse et a terme, vous vous retrouver à être trop épuisé et exécuter alors chacun de vos gestes lentement.

Hell is Us gameplay screenshot

Le but est alors de ne pas se retrouver à sec. Pour éviter cette déconvenue, le titre propose certes quelques objets de fortune mais c’est surtout au système de régénération que vous devrez votre fortune. Le principe est simple: quand vous frappez un ennemi, un cercle blanc se dessine autour de vous et il vous faut appuyer sur R1 pour récupérer autant de santé que d’endurance. Si vous parvenez à frapper plusieurs fois l’ennemi sans vous faire toucher, vous pouvez cumuler plusieurs de ces salves régénératrice et ainsi utiliser le pouvoir pour récupérer d’une traite un bon trait d’endurance/santé.

Un gameplay combat qui fait le job mais pouvait mieux faire

A coté de ca, on y retrouve donc certains éléments plus classiques,  tel un système de glyphes à attacher à ses armes et à adapter en fonction des émotions à affronter et si notre Remi n’a pas pour ainsi dire de niveau d’évolution, comme tout RPG classique qui se respecte, sa force augmente néanmoins via les armes qu’il utilise. La principale faiblesse ici, c’est que si le système de jauge, pourtant d’une simplicité presque enfantine est savamment mis en place, les développeurs n’ont pas vraiment su exploiter le principe autour des glyphes par exemple. Le fait est que ne pas profiter de ces différentes options ne vont pas rendre les combats injouables.

Hell is Us gameplay screenshot

Tout juste faire baisser un peu plus rapidement les jauges des ennemis mais le système s’en avère tellement dispensable,  que la plupart du temps, on se contente presque de frapper les ennemis à l’arme blanche. Par ailleurs,  nous pouvons également débloquer certains pouvoirs à utiliser à distance ou non et notre drône de compagnie sera autant capable de traduire divers textes que de nous assister à notre demande durant les combats.

Cela dit, on ne parle pas non plus de combats qui se font les doigts dans le nez. D’autant plus lorsque l’on se retrouve acculé dans des pièces avec un tas de monstres. Disons simplement qu’un game design aussi ingénieux que celui lié à l’exploration n’aurait pas été de refus. Il faut dire aussi qu’avec son bestiaire somme toute limité, le plaisir finit par laisser place à la lassitude. Nous ne sommes donc pas sur un système de combat qui a a rougir de ses performances. Mais on sent bien que les équipes ont surtout voulu mettre l’accent sur le narratif. Sans complètement laisser de côté ceux qui chercheraient avant tout un jeu d’action.

Enfer et Paradis

Le héros de Hell is Us a eu bien du mal à nous faire attacher à son récit personnel. Mais c’etait sans compter sur la région de Hadea. Elle parvient sans aucun mal à nous plonger dans son ambiance aussi mystérieuse que poisseuse. C’est peut-être là qu’on fera un éventuel rapprochement avec les Souls. Comme ces derniers, Hell is Us met en scène des environnements et des décors qui  racontent des histoires.

Hell is Us gameplay screenshot

La direction artistique, sans être novatrice, se montre suffisamment à la hauteur. Elle permet aux joueurs de s’impliquer dans ce monde et d’en « apprécier » ses malheurs. Par ailleurs, le titre se montre aussi  très joli avec ses jeux de lumières, ses panoramas à perte de vue. Il se  pare aussi d’un excellent level design, parfait pour le genre d’exploration que propose le jeu.

Comme on l’a dit, il s’agit d’un monde par zones. C’est à travers un VAB (un véhicule millitaire) que vous pourrez traverser les nombreuses zones. Du coté des performances,  on y retrouve sur PS5 les traditionnels qualité/performances. Le système de combat étant ce qu’il est, le mode performance est le plus recommandable ici. A peine handicapé par quelques ralentissements pas bien méchants. Dans un cas comme dans l’autre, le jeu reste visuellement très beau. Peut-être très légérement plus net en mode qualité, avec un jeu de lumière un tantinet plus poussé.

Hell is Us gameplay screenshot

Résumé de notre test de Hell is Us

Hell is Us est un jeu imparfait. Même dans son principal attrait, l’exploration,  le titre de Rogue Factor ne tiens pas à 100% sa promesse. Seulement voilà, Hell is Us est un jeu qui tente des choses. Pour la plupart, il les réussit bien, voire très bien. Oui, Remi est un héros qui va finir aux oubliettes. Oui, le système de combat, malgré certaines ingéniosités n’est pas le plus novateur qui soit.

Mais à travers son monde et la noirceur de ses thèmes, Hell is Us n’a aucun mal à captiver. On explore pas un monde sans carte ni le moindre indicateur parce que nous y sommes forcés. Mais bien parce que le plaisir de l’exploration et de la découverte est là et est totalement palpable. C’est pour ca que de fait, le titre en reste un des plus surprenant et agréable de 2025.

Hell is Us sortira le 04 septembre 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S

Les points forts

  • L’exploration au sens le plus noble du terme, sans indicateur ou autre…
  • Un univers aussi mystérieux que passionnant à découvrir
  • Le système de combat se pare de quelques originalités et reste assez tactique
  • Direction artistique et level design qui font bon ménage
  • Rarement un jeu n’aura aussi bien traité les traumatismes et les thèmes immoraux liés à la guerre

Les points faibles

  • …bien que l’on se perde difficilement dans l’histoire principale
  • Le système de combat mal exploité
  • Le personnage de Remi, pas franchement attachant
  • Paradoxalement,  la principale force du jeu peut en devenir une de ses faiblesses

Comix Zero s’offre du gameplay

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Développé et édité par Bear games, Comix Zero est un platformer qui vient s’illustrer avec une nouvelle vidéo de 26 minutes de gameplay.

Un mélange de genre pour un hommage aux classiques

Annoncé comme un mélange de genre entre le beat’em up, le metroidvania et le roguelike, Comix Zero se veut être un hommage envers les classiques de SEGA, comme Unbound Saga ou encore Castlevania.

Vous incarnez Zero, un homme qui prouve que l’immortalité n’est pas si simple. En effet, à chaque fois que Zero meurt, il perd de la mémoire. Survivrez-vous assez longtemps ou laisserez-vous Zero disparaître à jamais? Au fur et à mesure que vous perdrez votre mémoire, le monde atour de vous réagira et amènera des twists supplémentaires, jusqu’à changer la fin du jeu.

Avec des éléments de RPG, vous pourrez faire évoluer les compétences et l’équipement de Zero à votre guise. Avec de l’équipement gagné, trouvé, ou créé par vous-même. Partez à la recherche de quêtes en parlant aux différents personnages et recevez des récompenses pour vous améliorer.

Un twist unique dans un genre connu

Dans Comix Zero, vous n’explorez pas un monde classique, mais des pages de comic. Ce nouveau genre se fait appelé « COMIXVANIA« .

Vous évoluerez à travers les pages et les différents panels et qui sait, des secrets se cachent peut-être dans les marges? Le fait d’être littéralement dans un comic va aussi venir appuyer le gameplay. À chaque coup reçu, les pages perdront de la couleur jusqu’à ne plus rien rester.

La nouvelle vidéo de gameplay vient illustrer les différents mécanismes énoncés et vous permet de voir l’utilisation des pages de comic en environnement de jeu. Si vous avez envie de vous laisser tenter. Une démo gratuite et disponible sur la page Steam du jeu.

Comix Zero n’a pas encore de date de sortie annoncée, mais restez connectés si le jeu vous intéresse.

Avis Sword of the Sea: la parfaite synthèse de Giant Squid

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Après Abzû, The Pathless et surtout Journey si l’on considère les fondateurs à l’origine du studio, Giant Squid revient avec Sword of the Sea, un titre qui reprends le meilleur de leurs productions pour une expérience de toute beauté, aussi enivrante que grisante. Voici notre avis.

Épée sur l’eau, le désert, le désert

En 2012, ThatGameCompany, dont la plupart des membres fonderaient plus tard Giant Squid mettaient toute la scène indépendante et les joueurs avec Journey, un titre poétique qui emportait les joueurs dans un voyage court mais intense sur les sables fins et lumineux d’un monde fascinant. Depuis, le studio à toujours eu a cœur de créer des expériences similaires, ne bouleversant que les décors contextuels mais toujours avec cette idée de proposer le gameplay le plus minimaliste possible.

Sword of the Sea PS5 gameplay screenshot

Avec Sword of the Sea, le studio change légèrement son fusil d’épaule, puisqu’on y retrouve ici un gameplay indéniablement plus présent que précédemment. Dans ce monde cryptique, notre héros, là aussi muet comme un carpe va parcourir un monde désertique sur une épée surf tout en ramenant la vie aquatique qui régnait avant que les sables n’y recouvre la surface bleue. Pour ce faire, il s’agira à chaque fois d’explorer les zones et activer des mécanismes. En résulte alors un monde d’une beauté fascinante, où des poissons et baleines fantaisistes nagent dans les airs et où les eaux et la végétation nouvellement arrivés offrent un contraste saisissant sur le plan artistique.

Explorer depuis cette fameuse épée surf en réalisant moults tricks à un côté qui rends l’expérience plus grisante encore qu’un Journey, dont le héros voyait ses capacités de planage augmenter à mesure que son écharpe grandissait. Rien n’oblige à réussir ces figures, elles ne sont là que pour faire joli. Même le fait d’en débloquer de nouveaux grâce à des marchands n’est là que pour apporter une fraîcheur en plus. Peut-être ce gameplay aura-t’il pour mini inconvénient de légèrement casser l’aspect poétique de la narration, qui reste toujours nébuleuse (malgré une volonté évidente d’en expliquer un peu plus via les nombreux secrets à découvrir en exploration).

Sword of the Sea PS5 gameplay screenshot

Sword of the Sea perds (un peu) en ambition narrative ce qu’il gagne en gameplay

Les précédents jeux du studio et tout particulièrement Journey, fonctionnaient aussi bien justement par leur gameplay minimaliste. Un choix qui renforçait la beauté de la découverte et les forces de la narration environnementale. En offrant aux joueurs  un gameplay plus poussé et une narration un poil moins cryptique, Sword of the Sea perds très légérement de cette identité. Mais il s’agit d’un « défaut » contrebalancé par une qualité nouvelle et une volonté de bouleverser un peu la formule sans renier l’héritage.

Et au délà des tricks et autres figures, on insiste sur le fait que les sensations de jeux sont extrêmement plaisantes manette en main. Quel plaisir que de surfer d’abord sur ces sables puis gagner en vitesse et en sensations dès lors que la faune et la flore marine reprennent le dessus. Comme souvent, le voyage reste de courte durée puisqu’il faudra compter en moyenne 4h, ( 5 pour les moins rapides éventuellement ) pour arriver à destination.

Sword of the Sea PS5 gameplay screenshot

Bien sûr, l’identité sonore et visuelle propre au studio est toujours de la partie. Pour couvrir ces images à la direction artistique reconaissable entre mille, on y retrouve toujours cette bande-son envoûtante d’Austin Wintory , avec notamment un piano omniprésent et un violoncelle,  forte identité de Journey, toujours aussi bon pour raconter un univers et des émotions à travers la musique. Parce que l’émotion, c’est bien ce qui fait de cette nouvelle expérience, bien que courte, un voyage toujours aussi intense.

Resumé de notre avis sur Sword of the Sea

Sword of the Sea est un véritable dépaysement qui ne dépaysera pas les fans de Journey et les autres titres de Giant Squid. En apportant une touche grisante à un univers, dont la mixité entre eau et sable le rends aussi beau qu’enivrant, le nouveau jeu du studio, véritable synthèse de leur précédentes productions est une oeuvre qui cherche à pousser un peu plus l’expérience ludique.

Un choix qui empiète légèrement sur l’aspect poétique de la narration mais sans véritable dommage derrière,  au contraire puisque l’on peut même considérer que l’on gagne au change. En somme, Sword of the Sea combine en un jeu toutes les forces et les éléments disséminés dans les précédents titres du studio. Avec en prime une disponibilité dans le PS+ Extra, ne passez pas à côté de cette expérience,  sans doute l’une des plus agréables de l’année jusqu’à maintenant.

Sword of the Sea est disponible depuis le 19 août 2025 en exclusivité sur PC et PS5, inclus dans le PS+ Extra/Premium.

Points forts

  • Une direction artistique d’une beauté visuelle impeccable
  • Des sensations de jeux aussi ennivrantes que grisantes
  • La bande-son envoûtante
  • Un plaisir d’exploration intact, grâce à des secrets à dénicher et des environnements aussi sublimes que variés

Les points faibles

  • On aurait pas dit non à un voyage plus long
  • Le gameplay qui prends légèrement le pas sur la poésie narrative.

PlayStation Plus les jeux offerts de septembre 2025

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L’automne est là et en plus d’une myriade de nouveaux jeux, PlayStation offre comme à son habitude pour ses abonnés au service PlayStation Plus trois jeux. Lesquels sont-ils ? Découvrez sans plus tarder les jeux offerts de septembre 2025 du PS+.

Les jeux offerts de septembre 2025 sur le PS+

Suite directe du premier Psychonauts, suit Razputin “Raz” Aquato, un jeune médium qui rêve de devenir Psychonaute, membre d’une organisation secrète de super-espions aux pouvoirs psychiques. Dans ce second opus, Raz intègre enfin le QG, mais malheureusement, l’organisation est attaquée directement en plein cœur. Leur meneur n’est plus le même depuis qu’il a été sauvé d’un enlèvement, et pire encore, une taupe se cache dans leurs rangs.

Vous venez d’hériter de votre grand-père d’une vieille d’une ferme en ruines. Ton objectif : redonner vie à la ferme en cultivant la terre, en élevant des animaux, en pêchant, en cuisinant, en explorant les mines, ou encore en entretenant des relations avec les habitants du village. Commencez avec de vieux outils et modernisez-vous. Attention, les grandes corporations vous attendent au tournant.

Le principe est très simple : progressez dans un monde en 3D et redéfinissez la réalité et remodelez le monde qui vous entoure avec un appareil photo instantané. Transformez de nombreux environnements éblouissants grâce à votre appareil photo afin de résoudre toute une variété d’énigmes. Donnez vie à des photos, peintures, esquisses et autres cartes postales pour refaçonner la réalité et découvrir peu à peu les mystères étonnants que renferme ce monde haut en couleur.

Voilà qui est tout pour ce mois. Ces jeux seront disponibles dès le 2 septembre 2025 jusqu’au 6 août. En attendant, vous pouvez profiter des jeux offerts d’août 2025 jusqu’au 1er septembre.

Sonic Racing: Crossworlds- les infos sur la bêta gratuite du 29 août

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Quelques mois après la sortie de Mario Kart Worlds et peu de temps avant l’arrivée de Kirby, ce sera à Sonic et sa team de rouler sur les pistes de karts avec Sonic Racing Crossworlds. Pour l’occasion, Sega mets à disposition une bêta qui sera accessible gratuitement pour les possesseurs de PC, PS5, Switch 1 et Xbox Series qui sera jouable du vendredi 29 août au mardi 2 septembre. On vous dit tout ce qu’il y a à savoir à son sujet.

Toutes les infos sur la bêta de Sonic Racing: Crossworlds

On l’aurait presque oublié tant il se faisait plutôt discret ces derniers temps, d’autant plus avec un Nintendo Direct dedié à Kirby Air Riders qui a mis tous ses clignotants au vert, mais Sonic aussi s’apprête à revenir au jeu de course avec toute son écurie. Avant sa sortie le 25 septembre prochain, Sega offre la possibilité à une partie des joueurs de tester le titre lors d’une bêta test gratuite qui débutera ce vendredi 29 août à 6h00 du matin pour se finir le mardi 2 septembre.

Une partie des joueurs, car si le jeu tournera bien sur tous les supports, y compris consoles old-gen, ces dernières ne bénéficieront pas de la bêta, de même que la Switch 2 (on inverse donc pour ce qui est de Nintendo). Quoi qu’il en soit, cette bêta se montrera plutôt généreuse en contenu. 12 personnages, sur les 23 au lancement seront de la partie, incluant notamment Joker de Persona 5, qui arrivera lui le 31 août. On y retrouvera également 7 circuits « Crossworlds » ainsi que plusieurs modes de jeux, environ 20 véhicules à customiser et 4 modes de jeux différents, dont le mode Grand Prix.

Sonic Racing Crossworlds aura pour particularité d’entrainer les joueurs sur des pistes alternatives lors d’un 2nd tour de course, avant de revenir sur la piste d’origine lors du dernier tour. Pour ce faire, le joueur/la joueuse en tête de course devra entrer dans un anneau de téléportation parmi deux se trouvant sur son trajet, entraînant ainsi tous les autres participants avec lui/elle. On jaugera la pertinence de cette mécanique lors de la bêta.  Le jeu final quant à lui sera disponible dès le 25 septembre 2025 sur PC, PS5, PS4, Xbox Series X|S, Xbox One et Nintendo Switch 1|2.

Les sorties des jeux de septembre 2025

Les mauvais jours arrivent à grands pas, en soit quel gamer s’en plaindrait ? Ça fera moins de reflets dans les écrans ! En attendant que les jours plus courts reviennent, découvrez sans plus tarder les sorties des jeux de septembre 2025.

Les sorties des jeux de septembre 2025

  • Hirogami  – (PC / PS5) – 3 septembre 2025

Découvrez l’art traditionnel de l’origami à travers un jeu de plateforme 3D. Incarnez Hiro, un maître du pliage pouvant se transformer en diverses formes animales (tatou, grenouille, singe, oiseau, ou feuille de papier) pour explorer, résoudre des énigmes et combattre les envahisseurs numériques appelés le Blight. Utilisez un éventail pour repousser ces créatures et restaurer l’équilibre délicat du monde.

  • Jotunnslayer : Hordes of Hel  – (PC / PS5 / Xbox Series) – 3 septembre 2025

Plongez dans un roguelike/action horde dans un univers sombre de mythologie nordique dans la peau d’un héros damné qui doit traverser les hordes d’Hel. Affrontez des boss redoutables pour mériter le titre de Jotunnslayer, soutenu par des bénédictions divines.

  • Hell is Us  – (PC / PS5 / Xbox Series) – 4 septembre 2025

Incarnez Rémi, un ancien soldat des Nations Unies qui retourne dans son pays ravagé, Hadea, pour retrouver ses parents. Le monde a été dévasté par une mystérieuse « Calamity » qui fait surgir des créatures surnaturelles invincibles appelées Hollow Walkers.

Faites la connaissance de Hornet, la protectrice de Hallownest, emmenée de force dans le royaume mystérieux de Pharloom. Escaladez ce monde inédit fait de forêts coralliennes, de citadelles dorées et de brumes, en déroulant une odyssée vers un sommet menaçant. Terrassez plus de 200 ennemis, 40 boss, une centaine de zones et fabriquez vos armes ou vos outils pour survivre.

Incarnez Kay Vess, une charismatique hors-la loi vivant de petits larcins et autres contrats plus ou moins juteux. Seulement, elle attend LE contrat qui lui permettra de quitter son Cantonica natal pour une vie plus palpitante.  Une occasion qu’elle va alors saisir en volant un certain Sirlo, à la tête de Zerek Besh, syndicat le plus redoutable de la galaxie. Malheureusement, l’affaire tourne mal.

  • Void Crew – (PS5 / Xbox Series) – 4 septembre 2025

Faites équipe jusqu’à 6 joueurs dans un rogue-lite coopératif intense où vos talents de pilote de vaisseau spatial sont mis à contribution. Chaque joueur assume un rôle — pilote, artilleur, ingénieur, pilleur — et doit gérer les systèmes du vaisseau tout en affrontant des ennemis et faisant face à des imprévus.

  • Indiana Jones et le Cercle des Anciens : l’Ordre des Géant – (PC/ PS5/ Xbox Series) – 4 septembre 2025

Plongez dans les souterrains de Rome, au cœur d’un complot néphilim : les descendants d’anges déchus forment une société secrète. Explorez les cryptes du Vatican, les égouts antiques et les arènes de gladiateurs secrets.

  • Cronos The New Dawn – (PC / PS5 / Xbox Series / Switch 2) – 5 septembre 2025

Devenez le Traveler, un voyageur du temps pour sauver des personnes qui ont péri lors d’un cataclysme surnommé The Change. Évoluez dans une Pologne futuriste dévastée, affrontant des créatures appelées Orphans qui fusionnent. Gérez vos ressources, votre inventaire et votre santé mentale. Un mauvais équipement peut vous coûter cher.

  • Daemon X Machina : Titanic Scion – (PC / PS5 / Xbox Series / Switch 2) – 5 septembre 2025

Incarnez un mercenaire pilote d’Arsenal, embauché pour sauver l’humanité d’un empire autoritaire, le Sovereign Axiom, et d’entités extraterrestres redoutables appelées Immortals.

  • Everybody’s Gold Hot Shots – (PC / PS5 / Switch) – 5 septembre 2025

La célèbre franchise de golf fait son retour avec un ton fun et accessible, jouable en solo ou en multijoueur, en ligne ou hors ligne. Retrouvez un roster élargi de personnages, une personnalisation riche, des modes tournois, et même un mini-jeu « party » décalé.

  • NBA 2K26 – ( PC / PS5 / Xbox Series ) – 5 septembre 2025

La licence aspire à repartir sur de bonnes bases avec le ProPLAY Motion Engine, améliorant fluidité des mouvements, animations de tirs et défense dynamique.

  • Shuten Order  (PC / Switch) – 5 septembre 2025

Mettez-vous dans la peau de Rei, ressuscité et amnésique, qui doit élucider son propre meurtre en quatre jours pour éviter la fin du monde. Chaque enquête se décline dans un genre différent (policier, horreur, etc.), vous invitant à réfléchir et choisir avec soin. L’organisation religieuse Shuten, dévote à l’apocalypse, sert de toile de fond mystérieuse et oppressante.

  • Terminator 2D : No Fate – (PC / PS4 / PS5 / Xbox One / Xbox Series / Switch) – 5 septembre 2025

Incarnez Sarah Connor et le T-800 dans des missions emblématiques remaniées. Le jeu mêle scènes iconiques, nouvelles séquences inédites et fins multiples selon tes performances.

  • Baby Steps – (PC / PS5) – 8 septembre 2025

Incarnez Nate, un flemmard soudainement propulsé dans un monde étrange et brumeux où avancer pas à pas est ton seul moyen de sortir.

  • 2XKO – (PC) – 9 septembre 2025

Un jeu de combat 2v2 dans l’univers de League of Legends, où chaque joueur contrôle un champion principal assisté par un secondaire via un système de tag. L’accent est mis sur la synergie d’équipe, les combos tactiques et un gameplay précis. Évoluant avec l’équipe depuis ses phases de playtest, le jeu mise sur une scène compétitive structurée et équilibrée.

  • Firefighting Simulator : Ignite – (PC / PS5 / Xbox Series) – 9 septembre 2025

Plonge dans la vie de pompiers américains en milieu urbain, affrontant incendies complexes, sauvetages risqués et dangers variés. Seul ou avec des coéquipiers IA, ou jusqu’à 4 joueurs en coop locale ou en ligne. Les missions sollicitent tes compétences réelles : emploi de tuyaux, outils d’entrée, extincteurs, coordination et gestion de la fumée.

  • Kingdom Come: Deliverance II : L’Héritage de la Forge – (PC / PS5 / Xbox Series) – 9 septembre 2025

Ce DLC transforme le RPG réaliste en quasi city-builder antique où tu incarnes Henry de Skalitz, reconstruisant une forge et ton domaine à Kuttenberg. Plus d’un million de combinaisons de décoration et personnalisation sont disponibles, impactant même la jouabilité (réputation, production…). On en apprend aussi davantage sur ses origines familiales, notamment son père forgeron.

  • Garfield Kart 2 – (PC / PS5 / Xbox Series / Switch) – 10 septembre 2025

Un jeu de course arcade où Garfield et ses amis s’affrontent sur des circuits délirants et colorés. Chaque personnage possède des compétences spéciales et des objets à utiliser pour prendre l’avantage. Les courses incluent des raccourcis, obstacles et power-ups pour rendre chaque manche dynamique et imprévisible.

  • Borderlands 4 – (PC / PS5 / Xbox Series) – 12 septembre 2025

Le quatrième opus vous envoie sur Kairos, un monde vivant et sans temps de chargement, conçu pour l’exploration et l’action fluide. Tu incarneras l’un de quatre nouveaux Vault Hunters, dont une Siren ou un soldat bardé d’exosquelette, avec de nouvelles mécaniques de compétences et de loot. Le jeu réinvente la plateforme coopérative, avec 4 joueurs en ligne ou écran partagé, cross-play, et niveaux de difficulté personnalisables.

  • Assassin’s Creed Shadows : Traque sur Awaji – (PC / PS5 / Xbox Series) 16 septembre 2025

Vous incarnez un assassin dans le Japon féodal, chargé d’éliminer des cibles corrompues sur l’île d’Awaji. L’histoire se concentre sur la lutte entre l’ordre des Assassins et les forces oppressives du clan local. Le joueur utilise discrétion, parkour et gadgets pour progresser dans des environnements variés, allant de villages paisibles à des forteresses gardées.

  • Voyagers of Nera – (PC) – 16 septembre 2025

Dans ce RPG d’exploration, vous incarnez un capitaine de navire spatial chargé de découvrir de nouvelles planètes et civilisations. Le jeu combine exploration, gestion des ressources et combats tactiques contre des factions ennemies. Chaque planète visitée cache des mystères, des quêtes et des artefacts anciens. Les décisions du joueur influencent les relations avec les différentes races et l’évolution de l’histoire.

  • Deep Rock Galactic : Survivor – (PC Fin d’accès anticipé) – 17 septembre 2025

Ce spin-off au style auto-shooter te met dans la peau d’un nain mineur en solo, tirant sur des vagues d’ennemis tout en récoltant des minerais. Chaque niveau oppose rythme de tir effréné et progression par upgrades d’arme et statistiques.

  • Dying Light : The Beast – (PC / PS5 / Xbox Series) – 19 septembre 2025

Dans un monde ravagé par un virus transformant les humains en créatures mortelles, vous incarnez un survivant qui tente de percer le mystère de l’infection. Le gameplay combine parkour urbain et combat acrobatique contre des ennemis de plus en plus dangereux. La nuit, les créatures deviennent encore plus agressives, forçant le joueur à faire preuve de stratégie et de prudence.

  • Towa and the Guardians of the Sacred Tree – (PC / PS5 / Xbox Series / Switch) – 19 septembre 2025

Towa doit protéger l’Arbre Sacré, source de la magie qui maintient l’équilibre du monde. En explorant forêts, montagnes et villages, elle affronte des ennemis corrompus et découvre des artefacts anciens. Chaque Gardien rencontré offre de nouvelles compétences et armes. Explorez le lien entre la nature, la magie et les responsabilités des héros. Les choix du joueur influencent la fin et les relations avec les alliés rencontrés.

  • Trails in the Sky 1st Chapter – (PC / PS5 / Switch / Switch 2) – 19 septembre 2025

Un RPG classique au tour par tour où deux jeunes héros parcourent un monde en reconstruction après de grands conflits. L’intrigue mêle politique, mystères surnaturels et secrets personnels des personnages. Les combats demandent de la stratégie pour exploiter les faiblesses ennemies.

  • Endless Legend 2 – (PC accès anticipé) – 22 septembre 2025

Un jeu de stratégie 4X où le joueur dirige une faction pour conquérir, explorer et survivre sur un monde fantastique en constante mutation. Chaque choix politique, militaire ou économique impacte le développement de votre empire.

  • Aethermancer – (PC accès anticipé) – 23 septembre 2025

Dans un univers steampunk-magique, le joueur contrôle un personnage capable de manipuler l’éther pour résoudre des énigmes et combattre des créatures. L’exploration de donjons et de villes regorge de secrets et de lore à découvrir. Chaque niveau propose des mécaniques de jeu variées combinant magie et technologie.

  • Slime Rancher 2 – (PC / PS5 / Xbox Series) – 23 septembre 2025

Vous incarnez une fermière de slimes explorant une planète lointaine pour collecter, élever et combiner des slimes colorés. Le gameplay repose sur l’exploration, la récolte et la gestion des ressources. Des environnements variés offrent de nouvelles espèces et défis.

  • Agatha Christie Mort sur le Nil – (PC / PS5 / Xbox Series / Switch) – 25 septembre 2025

Adaptation du roman classique, le joueur incarne un détective enquêtant sur un meurtre à bord d’un bateau de luxe sur le Nil. Chaque indice collecté et chaque interrogation de suspects fait progresser l’enquête. L’atmosphère du jeu est fidèle au roman avec tension et mystère.

  • Mamorukun ReCurse ! – (PC / PS4 / PS5 / Xbox Series / Switch) – 25 septembre 2025

Un shoot’em up 2D frénétique où le joueur contrôle des vaisseaux futuristes pour éliminer des vagues d’ennemis. Le gameplay combine rapidité, esquive et gestion d’armes puissantes. Chaque niveau propose des mécaniques et patterns ennemis uniques.

  • Out of Time – (PC) – 25 septembre 2025

Un jeu narratif où le joueur explore un monde en constante évolution, essayant de résoudre des énigmes temporelles. L’histoire tourne autour de paradoxes et de la manipulation du temps. Chaque choix peut modifier la chronologie et influencer les événements futurs. L’exploration et la réflexion sont essentielles pour progresser. Le jeu met l’accent sur la tension et les conséquences des décisions du joueur.

  • Silent Hill f – (PC / PS5 / Xbox Series) – 25 septembre 2025

Vous incarnez un personnage prisonnier d’une ville mystérieuse où réalité et cauchemar se mélangent. Le gameplay combine exploration, survie et résolutions d’énigmes. Les monstres incarnent vos peurs et apparaissent selon vos choix et actions. L’histoire plonge dans le psychisme du protagoniste et des habitants.

  • Sonic Racing CrossWorlds – (PC / PS4 / PS5 / Xbox One / Xbox Series / Switch) – 25 septembre 2025

Un jeu de course où Sonic et ses amis affrontent d’autres pilotes dans des circuits variés et dynamiques. Chaque personnage possède des compétences et boosts uniques. Les courses se déroulent dans des mondes colorés avec obstacles et raccourcis. Les modes multijoueurs permettent des compétitions intenses en ligne ou en local.

  • R-Type Tactics I & II Cosmos – (PS4 / PS5 / Switch) – 25 septembre 2025

Un tactical RPG dérivé de la célèbre franchise R-Type où le joueur contrôle des escadrons de vaisseaux dans des combats au tour par tour. Chaque unité a ses forces, faiblesses et capacités spéciales. L’histoire se déroule dans un futur où la guerre contre une menace extraterrestre est permanente. La stratégie et le placement des unités sont cruciaux pour survivre.

  • Atelier Resleriana : The Red Alchemist & the White Guardian – (PC / PS5 / Switch) – 26 septembre 2025

Le joueur suit deux protagonistes, un alchimiste rouge et un gardien blanc, dans un monde où magie et science coexistent. L’exploration, la collecte de ressources et la fabrication d’objets sont au cœur du gameplay. L’intrigue explore le conflit entre différentes factions et le mystère d’anciens artefacts.

  • CloverPit – (PC) – 26 septembre 2025

Un jeu d’action-aventure où le joueur explore des donjons truffés de pièges et d’ennemis mécaniques. L’histoire suit un héros cherchant à libérer son royaume d’une menace mystérieuse. Chaque niveau introduit de nouvelles mécaniques et puzzles.

  • EA Sports FC 26 – (PC / PS4 / PS5 / Xbox One / Xbox Series / Switch / Switch 2) – 26 septembre 2025

Simulation de football réaliste reprenant toutes les licences officielles et compétitions. Les joueurs peuvent gérer des équipes, participer à des carrières et créer leurs propres clubs. L’IA adaptative rend les matchs stratégiques et dynamiques.

  • NBA Bounce – (PC / PS4 / PS5 / Xbox One / Xbox Series / Switch) – 26 septembre 2025

Un jeu de basket arcade où les joueurs enchaînent dunks et actions spectaculaires dans des arènes variées. Le gameplay est rapide, accessible et basé sur le scoring et combos. Des modes multijoueur permettent de s’affronter localement ou en ligne.

  • PAC-MAN World 2 Re-Pac – (Switch / Switch 2) – 26 septembre 2025

Une réédition du classique PAC-MAN avec des graphismes modernisés et des niveaux revisités. Le joueur explore des mondes variés, collecte des pac-gommes et affronte des ennemis. De nouvelles mécaniques de jeu et power-ups apportent du challenge.

  • Alien : Rogue Incursion – (PC / PS5) – 30 septembre 2025

Le joueur incarne un membre d’équipage traqué par des xénomorphes dans un vaisseau spatial. L’histoire met l’accent sur la survie, la tension et les choix critiques face aux Aliens. L’exploration, la gestion de ressources et le combat stratégique sont essentiels.

  • Final Fantasy Tactics : The Ivalice Chronicles – (PS4 / PS5) – 30 septembre 2025

Un tactical RPG classique où le joueur dirige une équipe de héros dans un conflit politique complexe. Les combats se déroulent au tour par tour avec un système de classes et compétences variées. L’histoire explore trahisons, alliances et ambitions dans le royaume d’Ivalice. Les choix du joueur influencent les relations entre personnages et certaines fins.

Test Drag x Drive : un jeu qui a du ballon ?

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Avec Drag x Drive, Nintendo donne un petit coup de projecteur à une fonctionnalité encore méconnue de sa Switch 2. Ce jeu de basketball en fauteuil roulant en 3v3 mise sur un gameplay intégralement basé sur le motion control. Mais cette promesse ambitieuse tient-elle vraiment sur la longueur ? Venez le découvrir dans notre test de Drag x Drive.

Une prise en main inédite pour Drag x Drive

Cette fonctionnalité de la Switch 2 est bien le mode souris des nouveaux Joy-Con. Une technologie intrigante qui, à défaut d’être encore massivement exploitée, ouvre des perspectives de gameplay inédites. Et ici, elle sert de socle à un concept audacieux : un jeu de basketball en fauteuil roulant, compétitif et nerveux, à mi-chemin entre le sport futuriste et la simulation inclusive. Une idée originale qui intrigue mais qui, avec du recul, de parait pas aussi loufoque. On a pu voir le mode souris sur Donkey Kong Bananza (notre test ici) avec son mode « DK Artist » mais pas exploité dans un gameplay complet.

Notre test de Drag x Drive commence par un tutoriel de 5 minutes, simple mais bien conçu, qui vous plonge immédiatement dans une logique de contrôle originale. Il ne s’agit plus ici de manipuler des sticks ou d’enchaîner des combos de boutons, mais bien de faire glisser les Joy-Con à plat sur une surface pour simuler les roues d’un fauteuil roulant. Un Joy-Con pour tourner, les deux pour avancer, les gâchettes pour freiner ou intercepter la balle. On pousse, on oriente, on synchronise ses gestes. Le tir vers le panier repose sur un système de jauge de précision. Plus la barre est basse et brillante, plus le tir sera réussi. Un classique du genre, mais qui ici s’intègre de manière naturelle à ce gameplay gestuel.

L’approche est intuitive, presque ludique dans sa physique, et donne de bonnes sensations de contrôle dès les premières minutes. En quelques essais, on comprend les mécaniques de base et on se prend au jeu… du moins, tant que l’on a l’énergie de suivre le rythme.

De la découverte à la frustration

Après le tutoriel, on enchaîne avec un premier match contre des bots. Progressivement, on gagne en fluidité, on apprend à gérer les virages serrés, à anticiper les déplacements adverses, à positionner son joueur pour intercepter ou défendre. Cette courbe d’apprentissage bien dosée grâce à ses mouvements naturels offre une satisfaction immédiate, surtout quand on commence à enchaîner les actions spectaculaires : sprints, dunks, interceptions au vol… Des moments grisant qui évoquent immanquablement Rocket League, en version fauteuil et ballon de basket.

Le contenu solo est extrêmement limité. Quelques défis chronométrés, des séances de tirs libres et des matchs contre l’IA composent l’essentiel de l’offre hors ligne. On fait le tour en une heure à peine. Ce manque de profondeur devient vite problématique, surtout pour un jeu vendu 19,99 €. Et ce n’est pas le comportement des coéquipiers IA qui viendra sauver l’expérience : ils ne passent presque jamais la balle, se placent mal, ne défendent pas efficacement, et donnent parfois l’impression d’être des plots en mouvement.

En l’état, jouer en solo revient souvent à jouer seul contre tous, avec une équipe fantôme dans le dos. Un appel de balle, une roue tactique ou un peu plus d’interactions auraient grandement amélioré l’expérience.

Un multijoueur sous condition

Mais même ici, une grosse ombre plane : l’absence totale de mode local. Un choix surprenant, voire incompréhensible, tant le concept semble taillé pour des parties entre amis, dans un salon ou autour d’une table. Ce manque limite considérablement l’aspect festif du jeu, et empêche Drag x Drive de devenir ce petit hit multijoueur que l’on ressort à l’apéro.

Heureusement, Drag x Drive vise clairement le multijoueur en ligne, son véritable cœur. Les matchs en 3 contre 3 prennent alors une autre dimension : les actions sont plus fluides, les stratégies émergent, la tension monte. Le jeu devient alors ce qu’il promet d’être : un affrontement compétitif nerveux, dynamique, intense.

Esthétique : sobre à l’extrême

Côté visuel, le titre joue la carte du minimalisme absolu. Le terrain est gris, les décors sont inexistants, les avatars sans charisme. Même les effets visuels lors des dunks ou des accélérations sont timides. Il en résulte une identité graphique fade, presque générique, qui n’aide pas à l’immersion. Ce manque de chaleur se ressent jusque dans les menus ou les interfaces, eux aussi très épurés, voire un peu froids.

Quelques options de personnalisation cosmétique (casques, fauteuils, couleurs) viennent égayer un peu l’ensemble, mais rien de marquant ou d’utile en termes de gameplay. Pas de progression, pas de compétences à débloquer, pas de sentiment d’évolution.

Le jeu présente une bande sonore efficace mais sans personnalité marquante. La musique ressemble à du jazz dynamique mélangé au  basique, répétitive et oubliable, même si elle colle à l’atmosphère Street-basket et aux lumières néon de l’arène. Aucun thème principal distinct reste en tête, ce qui renforce le sentiment que la bande-son reste fonctionnelle, sans véritable empreinte mémorable.

Un jeu physiquement exigeant

L’aspect le plus clivant qui nous apparaît durant notre test de Drag x Drive reste cependant son gameplay physique. Manipuler les Joy-Con comme des roues est une idée brillante sur le papier. Dans les faits, c’est une activité qui peut être fatigante. Les bras sont constamment sollicités, la précision demande une attention de chaque instant, et les mouvements répétés pourront finir par provoquer une fatigue musculaire, voire dans l’extrême des courbatures pour certains. Ce qui limite les sessions prolongées.

Certes, cela renforce l’immersion. On ressent l’effort, la difficulté, l’énergie dépensée. Mais cela exclut aussi de ce fait une partie des joueurs, notamment ceux qui ont des limitations physiques ou qui ne peuvent pas maintenir un niveau d’effort élevé. Et aucun mode de contrôle alternatif n’est proposé. Un comble pour un jeu qui s’inspire (même discrètement) du handisport.Drag x Drive

Conclusion de notre test de Drag x Driver

Drag x Drive est un jeu à part, et c’est ce qui le rend intéressant. Il propose un gameplay que l’on n’avait encore jamais vu sur Switch, avec une volonté d’exploration technique et thématique louable. L’hommage discret au handisport, sans jamais tomber dans le cliché ou la récupération, est aussi à saluer. Et dans ses meilleurs moments – un dunk réussi, une interception décisive, un match haletant en ligne – il offre de vraies sensations de jeu, uniques.

Mais au-delà de cette belle idée, le jeu souffre de trop nombreuses limites pour pleinement convaincre. Contenu rachitique, IA défaillante, absence de jeu local, visuel sans saveur, accessibilité négligée… Le titre semble sorti trop tôt, sans avoir eu le temps de développer tout son potentiel. Nintendo aurait peut-être dû garder ce potentiel au chaud pour le ressortir plus tard avec un jeu plus complet.

Points Positifs

  • Concept original et immersif
  • Tutoriel clair et bien pensé
  • Mouvements naturels et réussies
  • Multijoueur en ligne dynamique
  • Hommage au handisport

Points Négatifs

  • Contenu solo très limité
  • IA peu réactive et frustrante
  • Absence d’un mode local
  • Direction artistique terne
  • Jeu fatiguant physiquement

Drag X Drive est disponible depuis le 14 Août 2025 exclusivement sur Nintendo Switch 2.