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Soluce Kirby Air Riders : Comment débloquer tous les personnages

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Voici notre soluce de Kirby Air Riders. Dans ce nouveau titre de Nintendo, l’un des plaisirs les plus addictifs réside dans le déblocage progressif des nombreux Riders cachés. Le jeu propose un système de Checklist où vous devrez remplir des missions pour les débloquer. Différents personnages et couleurs alternatives sont à découvrir en fonction des objectifs à remplir dans les différents modes : Air Ride, Top Ride, City Trial et Road Trip.

Les 4 personnages que vous pouvez jouer dès le début du jeu sont : Kirby, Roi DaDiDou, Meta Knight et Waddle dee.

Pour vous aider à voir clair dans cette chasse aux pilotes, voici notre tuto sur Kirby Air Riders avec un tableau récapitulatif le plus lisible possible, suivi d’explications et d’astuces pour tout débloquer plus vite.

Comment débloquer les 21 personnages dans Kirby Air Riders

Kirby

Mode Air Ride – Terminer sans percuter une seule paroi (Tours)

Mode Top Ride – Débloquer la première place sans avoir obtenu un seul pouvoir pendant toute la course (Fleur)

Mode City Trial – Éliminer un rider alors que vous êtes sous forme rétrécie (Offensive géante 2)

Roi DaDiDou

Mode Air Ride – Remporte une course après sélection aléatoire du circuit, du rider et du bolide

Mode City Trial – Obtenir 80 p en un seul match (Rally exquis)

Mode Road Trip – Réussir un défi « Chasse au trésor »

Meta Knight

Mode Air Ride – Boucler un tour sans percuter la paroi plus de 2 fois (Courbure Nébula – Tours)

Mode Top Ride – Boucler un tour sans attaquer les autres Riders (Nova)

Waddle Dee

Mode Road Trip – Éliminer un total de 30 Riders lors de défi City Trial (Skaïa)

Bandana Waddle Dee

Mode City Trial – Détruire 2 caisses dans les 30 premières secondes du match (Ville)

Mode Road Trip – Réussir 3 défis Top Ride au total (Top Ride)

 Waddle Doo

Mode Air Ride – Terminer sans percuter un seul ennemi (Bocage Floria – Tours)

Mode Top Ride – Toucher un rider avec la Frappe sismique (poid en métal)

Chef Kawasaki

Mode Air Ride – Manger l’Onigiri devant la maison de thé (Chute du Mont Roux)

Mode Road Trip – Réussir 3 défis Air Ride au total (Air Ride)

Knuckle Joe

Mode Road Trip – Améliorer tous les attributs au niveau 1 ou plus

Mode City Trial – Voler un bolide occupé par un autre Rider (Ville)

Rick

Mode Top Ride – Finir à la première place avec 5 secondes d’avance ou plus sur le 2e Rider (Montagne)

Mode Road Trip – Entrer dans la boutique 3 fois au total

Gooey

Mode Top Ride – Décrocher la première place après s’être fait prendre 3 fois dans une tornade

Mode City Trial – Obtenir 2000 p en un seul match (Chute libre 1)

 Cappenois

Mode Top Ride – Boucler un tour en 30 secondes max avec l’étoile Wrap (Fleur)

Mode City Trial – Terminer le match sans ramasser un seul malus (Ville)

Choiroc                      Mode Top Ride – Utiliser un total de 30 objets

Mode Road Trip – Ouvrir un coffre au trésor sur la route

Scarfy Mode Air Ride – Éliminer un ennemi de type Scarfy sans qu’il se mette en colère (Chemin aquatique)

Mode City Trial – Détruire le bolide d’une Rider dans les 60 premières secondes (Ville)

Starman Mode Top Ride – Boucler 4 tours de suite en première place (Cristal)

Mode City Trial – Tomber 6 secondes ou plus en effectuant une seule pression (Vile)

Lololo & Lalala  Mode Air Ride – Terminer en 30min et 30 secondes max (Crevasse Cristalline – Tours)

Mode Road Trip – Éliminer un total de 10 Riders pilotant des bolides de type étoile

Mode Air Ride – Boucler un tour sans descendre sous les 30 Km/h (Essai libre)

Max Mode Road Trip – Dépenser 300 000 miles R au total
Desroches Mode Air Ride – Trouver et éliminer l’ennemi spécial Gemmy

Mode Top Ride – Décrocher la première place avec un tour d’avance sur un autre Rider

Magolor Mode Top Ride – Envoyer valser un même Rider deux fois avec la fête Foreuse

Mode City Trial – Entrer dans toutes les salles secrètes (Ville)

Taranza Mode Air Ride – Parcourir 5000 m au total (Parc aux Haricots – Temps)

Mode City Trial – Décrocher la 1ère place lors d’une course express (Ville)

Susie                      Mode Air Ride – Effectuer 5 atterrissages parfait en une seule course

Mode Road Trip – Toucher 3 ennemies en une seule attaque

DaDiDou Noir Mode Road Trip – Vaincre le véritable boss du mode Road Trip et regarder la fin

Comment optimiser les déblocages

  1. Alternez fréquemment les modes

La plupart des joueurs restent coincés dans Air Ride ou City Trial. Pourtant, un simple aller-retour entre chaque mode déclenche souvent plusieurs déblocages en chaîne.

2. Surveillez votre Checklist en permanence

Chaque case indique la récompense exacte : personnage, skin ou bonus. Priorisez celles qui débloquent un Rider plutôt que des couleurs.

3. Utilisez Kirby pour les objectifs complexes. Ses transformations sont souvent mieux adaptées pour :

  • les objectifs de drift,

  • les défis d’attaque,

  • les interactions avec le décor.

4. Le Free Run est sous-estimé

C’est dans ce mode que beaucoup de conditions de précision (vitesse, trajectoires, atterrissages parfaits) se valident le plus facilement.

5. En City Trial : ne perdez jamais de temps. Les objectifs de ce mode sont presque toujours liés :

  • aux coffres,

  • aux boîtes,

  • aux dangers de la map.

Le mieux reste dans tous les cas de se concentrer sur un seul objectif par partie. Vous pourrez, après plusieurs heures de dur labeur, profiter de tous les personnages du nouveau jeu sur Nintendo Switch 2 grâce à notre soluce Kirby Air Riders.

Test Kirby Air Riders : un concurrent à Mario Kart ?

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Longtemps considéré comme une curiosité dans le catalogue de Nintendo, Kirby Air Ride n’avait jamais eu de véritable successeur. Sortie en 2006 sur Gamecube, nous n’avions eu droit à aucun autre jeu de cette franchise. C’est chose faîte avec Kirby Air Riders. Le studio revisite enfin ce concept hybride qui navigue entre jeu de course, party-game débridé et expérience multijoueur décomplexée. On vous dit tout dans notre test de Kirby Air Riders.

Le roi Sakurai

Le lancement se fait dans un contexte très particulier : celui de la Nintendo Switch 2, machine déjà gâtée par plusieurs titres de course ambitieux. Le résultat ? Un jeu qui n’a clairement pas vocation à affronter les mastodontes du circuit, mais qui impose sa propre personnalité : plus nerveuse, plus chaotique, plus imprévisible. Une proposition rafraîchissante qui remet Kirby sur les rails à sa manière.

Derrière Kirby Air Riders se trouve la patte d’un nom qui résonne immédiatement auprès des joueurs : Masahiro Sakurai, créateur de Kirby et père de la saga Super Smash Bros.. Même s’il n’occupe plus officiellement un poste interne chez Nintendo, son influence créative demeure prsénete dans la philosophie du jeu. Sakurai a toujours défendu une vision du game design fondée sur la simplicité des commandes, l’accessibilité immédiate et la profondeur cachée — une ligne directrice que l’on retrouve ici dans chaque virage, chaque boost et chaque confrontation.

Comme dans Smash Bros., l’objectif est de laisser les joueurs s’amuser instantanément, tout en leur offrant une marge de progression robuste s’ils décident de se perfectionner. Kirby Air Riders porte ce sceau : celui d’un créateur qui privilégie l’expérience, la spontanéité et la clarté du gameplay. Même lorsqu’il n’est pas en pleine direction, son héritage imprègne le jeu jusqu’à en façonner l’ADN.

La première caractéristique qui ressort du jeu est donc évidemment la simplicité déconcertante de la prise en main. Kirby Air Riders s’appuie sur la philosophie du “une touche = une action”, héritée de son ancêtre. Une seule pression permet d’accélérer, déraper ou charger une attaque, transformant chaque mouvement en décision instantanée. Cette sobriété surprend dans un monde où la surenchère de commandes est la norme, mais c’est justement ce qui rend le jeu accessible dès les premières secondes.

Un gameplay sans équivalent

Sous cette apparente douceur se cache toutefois une véritable exigence de lecture de la piste. Les engins ultra-légers nécessitent une gestion millimétrée des virages, un placement précis dans les lignes droites, et une anticipation permanente des bonus qui jonchent le sol. Chaque véhicule possède un comportement très marqué : certains glissent comme des savonnettes, d’autres foncent à toute allure mais tournent comme des camions. Le jeu n’impose aucune expertise, mais récompense largement ceux qui cherchent à exploiter la physique des machines et les subtilités des trajectoires.

Cette dualité entre accessibilité et maîtrise crée un équilibre rarement atteint dans un jeu de course arcade. Le joueur débutant s’amuse immédiatement. Le joueur expérimenté, lui, découvre une marge de progression insoupçonnée.

City Trial : l’âme du jeu, entre chaos, stratégie et improvisation

S’il y a bien un mode que l’on a adoré durant le test de Kirby Air Riders, et qui le définit à merveille est le mode City Trial, véritable cœur battant de l’expérience. Le concept est simple : jusqu’à quatre joueurs sont lâchés dans une grande zone urbaine semi-ouverte, librement explorable. Pendant quelques minutes, chacun cherche des power-ups, des pièces d’équipement et des véhicules rares. Puis, sans prévenir, un mini-jeu final est tiré au sort : course, affrontement, épreuve technique, arène chaotique… Peu importe, il faudra s’adapter.

Ce mode fonctionne grâce à une alchimie très particulière. On y trouve une tension discrète mais constante : faut-il sécuriser un véhicule puissant ou multiplier les bonus au risque de rester vulnérable ? Cela donne lieu à des séquences cocasses, imprévisibles, parfois absurdes mais toujours mémorables. Les interactions entre joueurs sont nombreuses : petites escarmouches volontaires ou involontaires, vols d’items, bombes qui explosent à quelques centimètres de la cible… L’improvisation est reine.

Mais au-delà du fun avec un grand « F » évident, City Trial bénéficie d’une vraie identité : un mode à la frontière entre jeu de survie, battle royale et course arcade, qui alterne entre calme et explosion de chaos. C’est ce mélange d’enjeux, de hasard et d’options tactiques qui le rend véritablement addictif.

Les modes annexes : une variété appréciable, mais inégale

Autour de City Trial gravitent divers modes secondaires, qui ajoutent du contenu sans égaler l’intensité du plat principal.

Le mode Air Ride, formule la plus classique, propose une série de circuits aux ambiances colorées et parfois tarabiscotées. Les pistes sont agréables, bien rythmées, mais restent moins marquantes que celles des grandes références du genre. Le gameplay minimaliste fonctionne néanmoins très bien, créant une dynamique fluide qui se concentre sur les trajectoires et les dérapages.

Le mode Top Ride, vu du dessus, rappelle les micro-courses des jeux rétro. Très nerveux, très court, il propose un autre rythme, plus technique qu’il n’y paraît. S’il manque un peu d’ambition, il permet d’apprendre les mécaniques avec un regard différent.

Enfin, le mode solo Road Trip fait office de guide d’initiation. Il propose de nombreuses petites épreuves, souvent amusantes, parfois inspirées, mais reste un peu trop dispersé. Comme les mini-défis qui servaient de tutoriel dans l’original, ces épreuves ne constituent pas une aventure complète, mais plutôt un entraînement scénarisé.

Une direction artistique maîtrisée

Fidèle à l’ADN de l’adorable petit boule rose, Kirby Air Riders assume pleinement son esthétique mignonne  et colorée. Le monde est joyeux, dynamique, conçu pour évoquer la légèreté et le plaisir immédiat. Le choix de couleurs vives, la lisibilité des éléments de gameplay, les animations expressives : tout respire la bonne humeur. Ce n’est pas un jeu qui cherche l’excès de réalisme, et c’est tant mieux.

La bande-son, elle aussi, s’inscrit dans cette continuité : des musiques énergiques, optimistes, parfaitement synchronisées avec le rythme des courses. Certaines reprises de thèmes classiques savent même injecter une petite dose de nostalgie qui fonctionne à merveille.

Sur la partie technique, le jeu tourne très bien, même dans les phases les plus chaotiques. Mais c’est là où le bât blesse légèrement : des moments de surcharge visuelle qui peuvent rendre les actions confuses. Pour certains joueurs, cela ne sera pas un problème et sera même le cœur de l’amusement du jeu. Mais pour d’autres, ceci pourrait carrément nuire à vos sessions et vous stopper dans vos envies. Cette façon d’appréhender le jeu est la pièce maîtresse de Sakurai avec encore le parallèle avec son homologue : Super Smash Bros..

Un jeu pensé pour le multijoueur

Durant notre test de Kirby Air Riders, on s’aperçoit que le jeu est clairement conçu pour briller à plusieurs. Il s’agit d’un jeu pensé pour provoquer des rires, des retournements de situation, des rivalités spontanées. En solo, le charme fonctionne mais s’essouffle beaucoup plus vite : la répétitivité de certains modes se fait sentir, et même le mode City Trial perd une partie de sa magie sans l’aspect social qui lui donne tout son relief.

Le jeu s’assume pourtant pleinement : il ne cherche pas à rivaliser avec les géants de la course technique tel que Mario Kart World, ni à proposer une campagne solo monumentale. Il veut être un jeu original en étant cool, survitaminé, rythmé et fun. Et dans cette optique, il réussit presque tout ce qu’il entreprend.

Résumé de notre test Kirby Air Riders

Kirby Air Riders est une proposition atypique dans le paysage vidéoludique moderne. Il ne prétend pas être la nouvelle référence du genre, mais plutôt une alternative rafraîchissante : un jeu qui ne se prend pas au sérieux, qui joue sur la convivialité, la surprise, et le plaisir instantané.

Avec son gameplay à la fois simple et profond, son mode City Trial exceptionnel et son ambiance délicieusement colorée, il devient un incontournable des soirées entre amis. Ses limites, notamment un mode solo trop léger et une lisibilité à l’écran parfois brouillonne, ne suffisent pas à effacer son charme singulier.

Un jeu imparfait, mais hautement attachant, et l’un des meilleurs représentants du fun multijoueur sur Switch 2.

Points forts

  • Accessibilité du titre
  • Du fun surtout en multijoueur
  • Le mode City Trial
  • Rejouabilité infinie à plusieurs
  • Course/party-game intense
  • Direction artistique soignée
  • Bande-son qui colle parfaitement

Points faibles

  • Manque de difficulté hors ligne
  • Répétitif en solo
  • Surcharge visuelle à l’écran assez souvent

Kirby Air Riders est disponible depuis le 20 novembre 2025 exclusivement sur Nintendo Switch 2.

Skate Story- le jeu sera disponible sur PS+ au lancement

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Skate Story, le Tony Hawks cosmique et infernal  edité par Devolver Digital sera disponible dans le PS+ Extra Premium à son lancement le 08 décembre prochain.Un joli petit cadeau de Noël en avance pour les joueurs Playstation. Le jeu sortira le même jour sur PC, PS5 et Nintendo Switch 2.

Skate Story sur PS+: ride to hell

Dévoilé pour la toute première fois en 2020 et de façon plus concrète en 2022, Skate Story nous met au commande d’un démon «fait de verre et de douleur» qui devra rider depuis une planche remise par le diable en personne au sein des neuf cercles de l’enfer. Sa destination ultime: la lune, qu’il lui faudra alors dévorer pour gagner sa liberté.

Un jeu qui aura donc généré beaucoup d’attentes depuis son annonce. Une attente qui touche donc à sa fin pour ce jeu qui promet d’être riche en action et particulièrement psychédélique. Nous aurons bien entendu l’occasion de tester le tout manette en main à sa sortie.

Ghost of Yōtei: le new game + arrive aujourd’hui

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Ghost of Yōtei propose aujourd’hui 24 novembre une grosse mise à jour. Celle-ci inclus notamment le mode New Game + ainsi que des petites nouveautés pour le mode photo. On voit tous les détails ci-dessous.

Ghost of Yōtei: quelles nouveautés pour la grosse maj ?

Comme annoncé il y a quelques jours par Sucker Punch, Ghost of Yōtei propose dès aujourd’hui une grosse mise à jour. Au programme, nous y retrouvons le traditionnel New Game +. Ce dernier permet de refaire tout le jeu en conservant comme toujours les objets et autres stats cumulés lors de la dernière partie mais de nouveaux modes de difficultés sont aussi disponibles histoire de donner un peu plus de fil à retordre.

Mais c’est loin d’être la seule nouveauté. Atsu pourra faire preuve de plus de puissance grace à un supplément d’améliorations sur ses armes, pour les rendre encore meilleures. Un nouveau marchand proposant également 30 cosmétiques d’armes, armures et consorts fait son apparition. Le mode photo aussi à droit à des améliorations de son coté, avec entre autres de nouveaux filtres et l’apparition d’une grille d’obturation.

De nouvelles options de conforts sont également disponibles, avec la possibilité de remapper les touches directionnelles. Enfin, on note l’apparition de 2 nouveaux trophées Playstation à débloquer ainsi que 10 nouveaux charmes.Vous pourrez trouver le détail de cette mise à jour dans le lien suivant.

Test Call of Duty: Black Ops 7 – Quand le soldat tombe au combat

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Comme chaque année, avec une précision implacable, Activision fait naître un nouveau Call of Duty. On ne va pas se mentir, parfois c’est une réussite, d’autres fois un véritable carnage. On garde notamment en tête le MW3 qui a été considéré comme un DLC de MW2 par de nombreux joueurs. De plus, cette année, la concurrence est rude avec Battlefield 6, légendaire concurrent, mais également ARC Raiders. Est-ce que Black Ops 7 a les épaules pour rivaliser cette année ? C’est ce que nous allons découvrir dans notre test.

unité campagne BO7

Quand la science-fiction devient absurde

On ne va pas se mentir, si la majorité des joueurs de COD passent leur temps sur le mode en ligne, la campagne est importante. On a vu ce que ça donne un opus sans campagne, rien de bon pour les chiffres. Il faut croire que cette année, Activision a créé une campagne avec un léger lien, mais de manière un poil anarchique. Un peu comme s’ils avaient mis des idées dans un shaker, secoué le tout et sorti ça comme ça sous couvert d’hallucination. Alors certes, ça demande du temps, de l’imagination, beaucoup d’argent, mais quand même ça n’excuse pas tout.

Entre deux bouffées de psychotrope vous incarnez David Mason, le fils d’Alex Mason qui dirige une unité d’élite spéciale dont l’objectif est de démanteler La Guilde. Cette organisation souhaite dominer le monde grâce à un gaz toxique pouvant donner des hallucinations, voire tuer ceux qui sont à son contact.

Black Ops 7

On s’arrête là pour le résumer du scénario, car il n’y a rien à dire de plus. En ennemis, vous pourrez trouver des robots de tout genre, ce qui s’explique par l’avancée technologique de La Guilde, mais aussi des zombies, des plantes géantes mutantes, des machettes géantes qui tombent du ciel, des araignées géantes ! Vous comprenez maintenant l’allusion au shaker un peu plus tôt ?

Bon en soit, la campagne n’est pas si inutile que ça, bien que sa durée se trouve entre 4 et 5 heures. Vous pouvez rapidement gagner de l’exp pour le mode multijoueur, mais aussi améliorer vos armes et gagner des compétences. Comment ça, ça ne rattrape pas tout ?

Call of Duty Black Ops 7 est vraiment multijoueur

Vous voulez du multijoueur ? Vous allez être servi : il y en a littéralement à toutes les sauces, même dans le mode solo… qui du coup n’en est plus vraiment un. C’est la mauvaise bonne surprise de cet opus. On peut faire la campagne jusqu’à quatre joueurs, qui ne sont pas forcément dans votre liste d’amis. Le menu est identique à celui du mode multijoueur, ce qui évite de se perdre.

La campagne a été pensée pour être jouée à plusieurs, donc si vous voulez la faire en solo, cette dernière s’annonce un poil coriace à certains moments. Ce serait trop simple si la difficulté était proportionnelle au nombre de joueur.

Black Ops 7

Un autre point qui nous a fait bondir : la connexion permanente obligatoire. Oui, même si vous êtes seul, vous devez absolument être connecté. Si jamais vous avez une coupure de connexion intempestive, vous êtes tout simplement éjecté de la partie et devez recommencer au début de la mission. Evidemment, il n’y a pas de checkpoint régulier. Envie d’une pause bio ? Impossible, le jeu ne s’arrête pas et les ennemis reviennent au bout de quelques minutes. De toute manière il y en a toujours un pour vous tirer dans le dos. Si vous restez sans bouger ? vous êtes exclu de la partie ! Vous devrez également tout recommencer.

Quand il n’y en a plus, il y en a encore ! Et oui, vous en aviez assez ? Vous ne serez jamais tranquille. Après la campagne, il y a un endgame, qui lui aussi est en multijoueur. Vous passez sur un Extraction Shooter où vous pouvez explorer Avalon. L’effet de surprise passé, nous comprenons rapidement où nous avons mis les pieds. La carte est découpées par zone de niveaux conseillées remplies d’ennemis. En ouvrant des coffres, tuant des ennemis et accomplissant des missions vous parviendrez à monter en niveau.

Endgame BO7

Malheureusement, cette partie est comme la campagne. Insipide. L’IA est d’une bêtise affligeante, le level design est plat. Vraiment très plat. Les bâtiments manquent de textures, les couleurs sont blafardes et aucun jeu de lumière n’est créé. Exemple concret mais vrai, si vous traversez la route, vous aurez un Arc Raiders qui vous proposera tout le contraire.

Un multijoueur égal à lui même

Niveau contenu, là il n’y a rien à dire : une trentaine d’armes disponibles immédiatement, sans compter les accessoires. Hélas, ce sont encore des classiques — difficile de sortir des armes imaginaires dans ce type de jeu. Les cartes ? 18 maps, dont plus d’une dizaine inédites. Néanmoins, malgré leur nombre, elles sont petites, ce qui pousse surtout à foncer droit devant.

Pour les maps recyclées, on se demande si c’est une bonne chose. Alors oui, ça nous fait vibrer la cordes nostalgiques, mais le gameplay a évolué depuis, ce qui nous empêche de profiter d’une des grosses nouveautés : le wall jump. Egalement appelé saut mural, il est désormais possible de prendre appuie sur une paroi pour sauter sur une seconde ensuite. Pratique pour atteindre les plateformes plus éloignées. On adore le concept, mais on peut rarement le mettre en pratique par manque de surface adaptée.

Ennemi BO7

Les modes de jeu sont nombreux, il y en a pour tous les goûts. Des maps 6V6 avec les grands classiques. On note l’arrivée d’un nouveau mode : Surcharge. C’est un peu comme une capture de drapeau, mais version bombe IEM. Celle-ci est placée sur un point de la map. Il faut aller la chercher coûte que coûte et la ramener dans le camp ennemi. Si vous tombez sur une bonne équipe, le match peut vraiment être intéressant. Une seconde nouveauté : Engagement, un 20V20 sur une map immense. Sur le papier c’est cool, mais en pratique… les campeurs ont toute la place nécessaire pour s’installer et ne plus jamais bouger. On peut courir longtemps, très longtemps avant de croiser le moindre chat. Parfois, on cherche l’engagement pendant longtemps. Bref, pour nous, cela a été plus frustrant qu’autre chose.

Le dynamisme est présent. Les parties sont nerveuses, ce qui en soit n’est pas trop mal. Mais parfois nous avons l’impression d’être partis en Australie et que nous sommes face à des kangourous. C’est là que l’on voit que les joueurs PC on un net avantage au niveau des déplacements comparé aux joueurs sur console. C’est un détail, mais pour certains cela peut être pénible à la longue. Le SBMM est maintenant porté disparu ! Tout le monde joue avec tout le monde et ça on approuve ! En revanche l’ambiance globale elle, laisse à désirer. Certaines armes n’ont plus aucun recul. Les graphismes sont bien en dessous de ce que nous a montré Black Ops 6, que ce soit pour la campagne pour le multi. L’univers a subit un bon downgrade.

Black Ops 7

Le mode zombies la bouée de sauvetage de Black Ops 7

Le zombie nous laisse également le choix de l’ambiance. Nous avons le grand classique par round, sur une carte réduite avec une possibilité d’extraction de manière régulière. Le second mode est sur une carte plus vaste où il faut accomplir des missions. Si vous prenez le temps d’explorer certaines mise en scène pourraient bien pour arracher un sourire. Bien évidemment, c’est sur cette partie qu’il y a de nombreux secrets à découvrir, entre une horde et le vide.

On va surtout s’intéresser à ce petit mode. Vous pouvez customiser vos véhicules, pas seulement avec classe, mais aussi efficacité. Vous pouvez placer des tourelles et autre équipement mortel afin de faire toujours plus de dégâts, mais aussi le renforcer. Vous pouvez également faire des réparations. Autant dire que seul, ce ne sera pas facile, mais à plusieurs et avec une bonne cohésion, ça ne peut que bien se passer.

Zombie BO7

Et enfin notre dernier coup de gueule. L’IA. Son utilisation est flagrante. Alors oui nous sommes en 2025 il faut vivre avec son temps. C’est un fait indiscutable. Mais qu’on l’utilise de manière intelligente ! Lorsque l’on voit que nos ennemis sont littéralement dépourvus d’intelligence, mais que les skins et autres bannières ne sont fait qu’à partir de cela… voilà.

Call of Duty Black Ops 7 est disponible depuis le 14 novembre 2025 sur PC, PS5  et Xbox series.

Le résumé de notre test sur Call of Duty Black Ops 7

Cet épisode est le cas typique d’un trop de top. Une licence usée à la corde que l’on continue d’exploiter. Intégrer ce que l’on peut quand on le peut. Et là, nous avons bien l’impression que la corde a cédé. La concurrence est de plus en plus rude de manière générale dans le monde vidéoludique, surtout cette année avec des mastodontes, parfois inattendu, en face. Alors certes, le multijoueur peut occuper les fidèles pour un long moment entre les divers éléments à débloquer, une progression constante. Mais ça ne fait pas tout. La campagne est désastreuse. Le scénario est complètement bancal, bien que semi justifié par des hallucinations. Le Endgame a du mal à trouver sa place. Fort heureusement que le mode zombies remonte le niveau, bien qu’il ait également des lacunes, mais moins que le reste.

Points forts

  • Très généreux sur le contenu
  • Un mode zombie assez fun
  • La fin du SBMM
  • L’arrivée du wall jump

Points faibles

  • Un downgrade graphique
  • Une campagne solo catastrophique
  • La connexion obligatoire tout le temps
  • Un Endgame digne d’un pétard mouillé
  • Une IA pour les skins, mais pas d’intelligence pour nos ennemis

Tuto ARC Raiders: où trouver des noyaux de tirs de sentinelles ?

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Dans ce nouveau tuto spécial ARC Raiders, on vous explique où vous pourrez dégoter des noyaux de tirs de sentinelles. Relativement rares,  ces noyaux sont un des composants essentiels à la mise à niveau 3 de votre armurier. Ca se passe juste en dessous pour le guide.

Tuto ARC Raiders: obtenir un noyau de tirs de sentinelle

Dans ARC Raiders, il y a des ressources plus rares que les autres, d’autant plus que vous n’avez jamais la garantie de les looter durant vos parties. Ce qui est justement le cas de celle qui nous intéresse aujourd’hui, le noyau de tirs de sentinelle. Vous pourrez trouver cet objet, si toutefois vous avez la chance de tomber dessus, dans 2 endroits: soit directement sur les sentinelles, en les détruisant, soit dans les caches de Raiders.

Statistiquement,  vous avez plus de chances de les trouver directement sur les sentinelles. Si vous passez à proximité de l’une d’elles, c’est une de ces caméras de tirs qui balaient les lieux et repère les éventuels intrus grâce à sa lumière bleue. Vous la trouverez souvent aux sommets de certains bâtiments ou à l’intérieur, généralement près des escaliers. De notre expérience, si vous cherchez sur le Champ de Bataille du Barrage, en haut de l’escalier bleu situé à  l’extérieur de la Tour de Contrôle, vous aurez plus souvent la chance d’en trouver une.

Encore faut-il maintenant éviter les tirs assez puissants de la tourelle et arriver en vie jusqu’à l’extraction. C’est pourquoi,  comme on l’expliquait dans notre petit guide pour débutants, il vaut mieux laisser tomber le bagage gratuit ici, qui n’inclura pas de poche de sécurité. La ressource étant assez rare, mieux vaut rester couvert. Voilà qui est tout pour ce tuto ARC Raiders. N’hésitez pas à suivre nos autres soluces sur le jeu.

Intergalactic: The Heretic Prophet- le prochain Naughty Dog, absent des Game Awards et du planning 2026 ?

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Si vous attendez avec impatience Intergalactic, le prochain jeu de Naughty Dog, il faudra encore prendre votre mal en patience. Selon les sources de Jason Schreier et après des déclarations qui laissaient espérer le contraire, le jeu ne sortira pas en 2026 et ne devrait pas être présent à la prochaine cérémonie des Game Awards non plus.

Intergalactic ne devrait ni sortir avant 2027 ni se montrer aux Game Awards

Intergalactic, The Heretic Prophet est le prochain de  Naughty Dog,  qui a explosé avec les succès respectifs des sagas Uncharted puis The Last of Us. C’est lors des Game Awards 2024 que leur nouveau jeu, ecrit et dirigé par Neil Druckmann (à la tête de The Last of Us) avait été initialement présenté. Depuis, nous n’avons pas eu de nouvelles sur le jeu, ni de nouvelles images ou autres. Si l’on espérait en avoir pour la fin de l’année, à priori c’est raté.

Selon Jeff Grubb, qui s’est empressé de démentir les propos d’un autre insider, le nouveau jeu dirigé par Neil Druckmann ne sera pas montré aux Game Awards 2025. Jason Schreier, de son côté a aussi précisé que contrairement à une autre spéculation du même insider (ce dernier a expliqué que ses propos avaient été sortis de leur contexte et ne faisait que donner un avis personnel), le jeu ne devrait pas sortir en 2027.

Bien sûr, ces informations non officielles restent toujours à verifier mais les 2 hommes n’ayant déjà plus rien à prouver dans le milieu et s’appuyant sans nul doute sur des sources on ne peut plus solides, il semble que l’on peut faire une croix sur les Game Awards et 2026. Pour ce que l’on en sait, Intergalactic devrait se dérouler dans une version alternative futuriste des années 80 et nous mettra aux commandes de Jordan A. Munn, une chasseuse de prime qui se retrouve coincée sur Sempiria, une planète hostile peuplée de robots.

Remake Prince of Persia: une sortie pour très bientôt ?

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Dans son dernier bilan annuel, Ubisoft prévoyait 4 sorties de jeux pour la fin de l’année fiscale. L’un d’eux devrait être le remake de Prince of Persia: Les Sables du temps. Une annonce qui laisse deviner une fenêtre avant le 31 mars prochain. Selon les sources d’Insider Gaming, ca pourrait même arriver encore plus tôt.

Le bout du tunnel pour le remake de Prince of Persia ?

Voilà maintenant 5 ans que le remake de Prince of Persia: les Sables du Temps a été annoncé. Un temps excessivement long qui s’explique par un développement chaotique, la situation rappelant celle qu’a vécu Nintendo avec celui de Metroid Prime 4. Mais cette fois, les choses avancent, et très vite si l’on en croit le dernier rapport financier de Ubisoft. L’entreprise prévoit en effet la sortie de 4 titres pour l’année fiscale. L’un d’eux est un projet-surprise( qui pourrait être le remake de Black Flag).

L’autre concerne donc celui de Prince of Persia: les Sables du Temps. Mais selon les sources de Insider Gaming, le jeu arriverait bien avant le 31 mars puisque c’est carrément pour la mi-janvier 2026 qu’il serait prévu en interne. Bien sûr, tant qu’il n’y a rien d’officiel, nous prendrons les pincettes d’usage, d’autant qu’un nouveau report n’est jamais a exclure mais la prochaine cérémonie des Games Awards devrait être l’occasion d’un aperçu du jeu ainsi que d’une date de lancement officielle.

Jurassic Park Survival: un trailer pour présenter le Dr Maya Joshi

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Saber Interactive vient de dévoiler un nouveau trailer pour le jeu Jurassic Park Survival,  annoncé il y a deux ans. Une vidéo qui présente le Dr Maya Joshi, héroïne du jeu incarnée par l’actrice britannique Payal Mistry. Si il faudra encore attendre pour enfin apercevoir du gameplay, ce trailer tend à rassurer quant à la situation autour du développement.

Jurassic Park Survival: découvrez le Dr Maya Joshi  dans un trailer maigre mais rassurant

Il y a deux ans, le studio Saber Interactive annoncait travailler sur un jeu de survie et d’aventure, Jurassic Park Survival. Ce dernier devrait se dérouler quelques insants après les évènements de Jurassic Park et nous mettrait dans la peau du Dr Maya Joshi, une scientifique d‘InGen travaillant à Isla Nublar et oubliée durant l’évacuation de l’île. Une intrigue et un premier trailer cinématique plutôt alléchants qui donnaient envie d’en voir plus. Mais au fil des mois, on ne peut pas dire que la communication a été poussé.

Au contraire, puisqu’avec l’annonce de diverses annulations et de nombreux licenciements dans le studio, la situation laissait craindre que Jurassic Park Survival passerait à la trappe. Sauf que Saber avait récemment pris la parole pour rassurer quant à la situation du jeu. Aujourd’hui et après une vidéo making of sur la création de l’île d‘Isla Nublar, c’est donc un nouveau trailer qui nous est présenté en ce sens et non, toujours pas de gameplay au programme.

Dans ce nouveau trailer de Jurassic Park Survival, la comédienne Payal Mistry nous présente un peu plus en profondeur le Dr Maya Joshi, qu’elle incarnera dans le jeu.  L’actrice explique que « Maya a été recrutée personnellement par le Dr Henry Wu pour un poste d’ingénieure en mécanique et se retrouve confrontée à des dinosaures immenses et terrifiants» tout en y vantant un personnage féminin «cool et courageuse». La narration s’annonce donc assez présente pour ce futur titre hommage au film de Spielberg. Espérons qu’un peu de gameplay soit bientôt presenté…peut-être aux  prochains Game Awards ?

ARC Raiders: une IA bluffante…et dérangeante ?

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Le succès de ARC Raiders ne vous a sûrement pas échappé. Mais comme souvent, le succès s’accompagne d’un petit lot de polémiques. Cette fois-ci, c’est l’utilisation de l’IA pour les voix qui fait parler d’elle. Et comme souvent dans ce genre d’histoire, il y a beaucoup d’exagérations, de raccourcis et… d’opinions toutes faites.

Vilain pabô méchante IA

Encore le sujet qui fâche : l’IA. Pour certains, c’est le diable incarné dans le jeu vidéo. Pour les autres, ca doit un peu rappeler ces chroniqueurs de BFM ou RMC qui passent leur temps à descendre les jeux et à présenter les joueurs comme des abrutis. Alors pour une fois, jouons aux chroniqueurs un peu plus informés et empathiques : oui, il faut encadrer l’IA, mais non,  l’utiliser ne transforme pas un studio en organisation de super-vilains. Condamner d’emblée un jeu pour ça voire, soyons fous, descendre sa note serait i… disons, un peu hâtif.

Alors, que s’est-il passé chez Embark Studios pour déclencher l’épisode 3892 de la polémique IA ? Réponse: Le studio en a fait usage  pour réutiliser certaines voix de comédiens sans avoir à les rappeler pour chaque ligne répétitive. Un choix pour lequel les acteurs ont donné leur accord et percevront des royalties.

Oui, le cas Apex Legends (dont on ressort souvent la carte pour légitimer le moindre postillon sur la question) a connu une polémique similaire. les comédiens français du jeuont refusé de signer un contrat autorisant l’utilisation de leurs voix pour entraîner une IA. Mais ont-ils  été licenciés ? En vérité, impossible à dire : aucune preuve publique ne confirme les  licenciements massifs que certains ont évoqué. Les sources les plus pertinented parlent plutôt de démissions ou fins de collaboration, mais sans chiffres précis. Le point important : le refus était réel et collectif, mais rien ne permet d’affirmer qu’EA a viré les doubleurs en masse.

L’IA de ARC Raiders  fait le minimum syndicale ( celle des voix, pas celle du jeu)

Avant d’aller plus loin, il convient bien entendu de tempérer ce que beaucoup ont repris sans faire semblant de lire entre les lignes. Oui, Embark a utilisé l’IA sur des voix dans . Non, ce n’est pas pour doubler tout le jeu. Le studio a même assuré que le doublage traditionnel restait de rigueur pour les dialogues « importants ». En fait,  l’IA a été utilisé ici pour des morceaux de textes fonctionnels via le TTS (text-to-speech), tels que des réactions à un ping . Quitte à vouloir se mettre à la place des comédiens concernés,  faisons le jusqu’au bout:

en tant qu’artiste, veut-on absolument perdre notre temps à se rendre en studio (ou même le faire depuis chez soi avec le matériel adapté) pour doubler des textes sans intérêt ? Pourquoi dans ce cas de figure, l’utilisation de l’IA ne pourrait pas être perçu comme un moyen de travail moins contraignant autant pour les employeurs que les employés ? Bien sûr que son utilisation pose des questions légitimes à long terme et peut susciter des inquiétudes qui s’entendent. Mais de là à condamner d’avance un jeu ou un studio pour en avoir promu l’utilisation de quelque manière que ce soit, c’est un pas que l’on ne franchira jamais ici, à la rédaction.