Dans son dernier bilan annuel, Ubisoft prévoyait 4 sorties de jeux pour la fin de l’année fiscale. L’un d’eux devrait être le remake de Prince of Persia: Les Sables du temps. Une annonce qui laisse deviner une fenêtre avant le 31 mars prochain. Selon les sources d’Insider Gaming, ca pourrait même arriver encore plus tôt.
Le bout du tunnel pour le remake de Prince of Persia ?
Voilà maintenant 5 ans que le remake de Prince of Persia: les Sables du Tempsa été annoncé. Un temps excessivement long qui s’explique par un développement chaotique, la situation rappelant celle qu’a vécu Nintendo avec celui de Metroid Prime 4. Mais cette fois, les choses avancent, et très vite si l’on en croit le dernier rapport financier de Ubisoft. L’entreprise prévoit en effet la sortie de 4 titres pour l’année fiscale. L’un d’eux est un projet-surprise( qui pourrait être le remake de Black Flag).
L’autre concerne donc celui de Prince of Persia: les Sables du Temps. Mais selon les sources de Insider Gaming,le jeu arriverait bien avant le 31 mars puisque c’est carrément pour la mi-janvier 2026 qu’il serait prévu en interne. Bien sûr, tant qu’il n’y a rien d’officiel, nous prendrons les pincettes d’usage, d’autant qu’un nouveau report n’est jamais a exclure mais la prochaine cérémonie des Games Awards devrait être l’occasion d’un aperçu du jeu ainsi que d’une date de lancement officielle.
Saber Interactive vient de dévoiler un nouveau trailer pour le jeu Jurassic Park Survival,annoncé il y a deux ans. Une vidéo qui présente le Dr Maya Joshi, héroïne du jeu incarnée par l’actrice britannique Payal Mistry. Si il faudra encore attendre pour enfin apercevoir du gameplay, ce trailer tend à rassurer quant à la situation autour du développement.
Jurassic Park Survival: découvrez le Dr Maya Joshi dans un trailer maigre mais rassurant
Il y a deux ans, le studio Saber Interactive annoncait travailler sur un jeu de survie et d’aventure, Jurassic Park Survival. Ce dernier devrait se dérouler quelques insants après les évènements de Jurassic Park et nous mettrait dans la peau du Dr Maya Joshi, une scientifique d‘InGen travaillant à Isla Nublar et oubliée durant l’évacuation de l’île. Une intrigue et un premier trailer cinématique plutôt alléchants qui donnaient envie d’en voir plus. Mais au fil des mois, on ne peut pas dire que la communication a été poussé.
Au contraire, puisqu’avec l’annonce de diverses annulations et de nombreux licenciements dans le studio, la situation laissait craindre que Jurassic Park Survival passerait à la trappe. Sauf que Saber avait récemment pris la parole pour rassurer quant à la situation du jeu. Aujourd’hui et après une vidéo making of sur la création de l’île d‘Isla Nublar, c’est donc un nouveau trailer qui nous est présenté en ce sens et non, toujours pas de gameplay au programme.
Dans ce nouveau trailer de Jurassic Park Survival, la comédienne Payal Mistry nous présente un peu plus en profondeur le Dr Maya Joshi, qu’elle incarnera dans le jeu. L’actrice explique que « Maya a été recrutée personnellement par le Dr Henry Wu pour un poste d’ingénieure en mécanique et se retrouve confrontée à des dinosaures immenses et terrifiants» tout en y vantant un personnage féminin «cool et courageuse». La narration s’annonce donc assez présente pour ce futur titre hommage au film de Spielberg. Espérons qu’un peu de gameplay soit bientôt presenté…peut-être aux prochains Game Awards ?
Le succès de ARC Raiders ne vous a sûrement pas échappé. Mais comme souvent, le succès s’accompagne d’un petit lot de polémiques. Cette fois-ci, c’est l’utilisation de l’IA pour les voix qui fait parler d’elle. Et comme souvent dans ce genre d’histoire, il y a beaucoup d’exagérations, de raccourcis et… d’opinions toutes faites.
Vilain pabô méchante IA
Encore le sujet qui fâche : l’IA. Pour certains, c’est le diable incarné dans le jeu vidéo. Pour les autres, ca doit un peu rappeler ces chroniqueurs de BFM ou RMC qui passent leur temps à descendre les jeux et à présenter les joueurs comme des abrutis. Alors pour une fois, jouons aux chroniqueurs un peu plus informés et empathiques : oui, il faut encadrer l’IA, mais non, l’utiliser ne transforme pas un studio en organisation de super-vilains. Condamner d’emblée un jeu pour ça voire, soyons fous, descendre sa note serait i… disons, un peu hâtif.
Alors, que s’est-il passé chez Embark Studiospour déclencher l’épisode 3892 de la polémique IA ? Réponse: Le studio en a fait usage pour réutiliser certaines voix de comédiens sans avoir à les rappeler pour chaque ligne répétitive. Un choix pour lequel les acteurs ont donné leur accord et percevront des royalties.
Oui, le cas Apex Legends (dont on ressort souvent la carte pour légitimer le moindre postillon sur la question) a connu une polémique similaire. les comédiens français du jeuont refusé de signer un contrat autorisant l’utilisation de leurs voix pour entraîner une IA. Mais ont-ils été licenciés ? En vérité, impossible à dire : aucune preuve publique ne confirme les licenciements massifs que certains ont évoqué. Les sources les plus pertinented parlent plutôt de démissions ou fins de collaboration, mais sans chiffres précis. Le point important : le refus était réel et collectif, mais rien ne permet d’affirmer qu’EA a viré les doubleurs en masse.
L’IA de ARC Raiders fait le minimum syndicale ( celle des voix, pas celle du jeu)
Avant d’aller plus loin, il convient bien entendu de tempérer ce que beaucoup ont repris sans faire semblant de lire entre les lignes. Oui, Embark a utilisé l’IA sur des voix dans . Non, ce n’est pas pour doubler tout le jeu. Le studio a même assuré que le doublage traditionnel restait de rigueur pour les dialogues « importants ». En fait, l’IA a été utilisé ici pour des morceaux de textes fonctionnels via le TTS (text-to-speech), tels que des réactions à un ping . Quitte à vouloir se mettre à la place des comédiens concernés, faisons le jusqu’au bout:
en tant qu’artiste, veut-on absolument perdre notre temps à se rendre en studio (ou même le faire depuis chez soi avec le matériel adapté) pour doubler des textes sans intérêt ? Pourquoi dans ce cas de figure, l’utilisation de l’IA ne pourrait pas être perçu comme un moyen de travail moins contraignant autant pour les employeurs que les employés ? Bien sûr que son utilisation pose des questions légitimes à long terme et peut susciter des inquiétudes qui s’entendent. Mais de là à condamner d’avance un jeu ou un studio pour en avoir promu l’utilisation de quelque manière que ce soit, c’est un pas que l’on ne franchira jamais ici, à la rédaction.
Vous venez vous aussi de craquer pour ARC Raiders et voulez optimiser au mieux vos chances de survivre à la surface ? Alors dans cet article, on vous donne 10 conseils pour bien débuter sur le jeu d’Embark Studios. Suivez le guide.
Guide Arc Raiders: nos 10 conseils pour bien débuter
Commencez immédiatement par monter vos différents ateliers
Dans ARC Raiders, vous aurez besoin de ressources pour survivre, ramasser d’autres ressources et chasser de l’ARC. Et pour fabriquer ces ressources, vous aurez bien sûr besoin d’ateliers adéquats. C’est pourquoi la création de ces ateliers doit rester votre priorité n°1 avant de vous rendre sur le terrain. Dans le même temps, vous devriez monter le niveau de ces ateliers dès que possible, afin d’accéder à des équipements plus puissants.
Profitez de l’arsenal gratuit… mais n’en abusez pas
L’arsenal gratuit, c’est sympa car même si ce n’est pas du haut de gamme, c’est un kit complet et au moins, si vous mourrez, vous ne perdez rien. Sauf les ressources amassées durant la partie bien sûr. Justement, cet arsenal n’inclut pas de poche de sécurité. Donc dans certains cas, comme lorsque vous devez récupérer une ressource rare ou très difficile à obtenir, nous préconiserons plutôt de prendre votre équipement personnel, juste pour y inclure cette poche de sécurité, qui vous permettra de sauvegarder votre item précieux de la mort.
Profitez des avantages de la vue à la 3ème personne
La caméra 3ème personne peut avoir quelques inconvénients mais elle peut aussi offrir pas mal d’ avantages. L’un d’eux par exemple, est que vous pouvez voir tout ce qui se passe autour de vous. Donc lorsque vous forcez un coffre, une porte ou même un convoyeur ARC, pensez à orienter la caméra derrière vous, de façon à voir venir un Raider potentiellement mal intentionné et réagir le plus vite possible.
Pensez au recyclage
Avant de passer des heures à chercher cette maudite ressource pour faire passer au niveau max votre atelier préféré, pensez d’abord à voir si vous ne pouvez pas l’obtenir via le recyclage. Sur PS5, vous avez juste a vous rendre dans votre inventaire avec le pavé, puis passer sur un objet et appuyer sur triange pour faire apparaitre le sous-menu. En cliquant sur « recyclage », vous avez un aperçu de ce que vous obtiendrez. D’ailleurs, vous pouvez aussi bien recycler depuis Speranza, le hub, que depuis la surface mais vous obtenez moins de ressources dans ce dernier cas.
Agrandissez votre réserve
Au début du jeu, vous avez accès à une réserve où toutes vos ressources seront entreposées. Seulement, la place au début est très limitée et vous verrez que vous aurez très vite besoin de place pour déposer toutes vos trouvailles. Attention, on parle bien de la réserve et non pas du sac à dos, dont on peut aussi améliorer la capacité de stockage. Alors pour agrandir cette réserve, rien de plus simple: il vous suffit de revendre les ressources. En appuyant sur triangle sur un objet depuis l’inventaire, vous aurez le petit onglet « vendre » ainsi que le montant de vos ventes.
Privilégiez l’infiltration surtout en solo
Les ARC sont des machines très dangereuses. Même les plus petites d’entre elles, les guèpes par exemple, peuvent ne faire de vous qu’une bouchée si vous vous retrouvez face à une petite armada. C’est pourquoi il vaut mieux se faire le plus discret possible. Mais si vous devez quand même en affronter pour en récupérer des ressources où dans le cadre de quêtes, faites-le depuis des endroits où vous pourrez vous abriter pour échapper à leurs tirs.
Planifiez vos sorties
Ne partez pas en excursion sans rien calculer. En fonction de ce que vous cherchez, commencer par repérer les lieux qui vous offriront le plus de chance de trouver ce que vous chercher. Si vous savez que votre bien se trouve dans la pièce particulière d’un bâtiment particulier, prenez par exemple un bloqueur de portes. Bref, préparez-vous en fonction de vos besoins. N’emportez pas non plus des ressources qui ne seraient pas pertinents par rapport à vos intentions.
Utilisez le chat de proximité ou la roue des émotes dès que nécessaire.
Les autres Raiders peuvent représenter une menace comme vous pouvez en représenter une pour les autres. Si vous êtes du genre pacifique, montrez à l’autre Raider que vous rencontreriez vos bonnes intentions soit en parlant directement dans le casque (anglais preconisé), sois en utilisant la roue des dialogues, en abusant du « Hey, don’t shoot !« , aussi appelé par nos soins le «Revelio version 2025». N’hesitez pas aussi à rengainer votre arme pour inspirer davantage la confiance. En solo, la plupart des joueurs seront réticents à se lancer dans de la fusillade, ce qui est moins vrai en duo/trio…
Utilisez la stamina a bon escient
La barre d’endurance de votre Raider n’est pas très grande et baisse très vite. La moindre action de course, de saut ou de roulade l’épuise. C’est pourquoi vous devez rester alerte quand vous faites des efforts physiques. Pensez aussi à ranger votre arme quand vous courrez, vous devriez constater un pic de vitesse non négligeable.
Profitez des différents évènements
Au cours de vos parties, vous verrez que divers événements viennent ponctuer les maps. Certaines seront jouables de nuit, offrant un meilleur butin pour une surveillance accrue, d’autres sont sous le joug de tempêtes electro-magnétiques, tempêtes ô combien redoutable pour les ARC… N’hésitez donc pas à jouer durant ces évènements, vous pourriez avoir de belles surprises.
Voilà qui est tout pour ces conseils pour bien débuter sur ARC Raiders. N’hésitez pas à consulter nos autres guides sur le jeu.
Une nouvelle bande-annonce a été dévoilée pour le film Return to Silent Hill, adaptation de Silent Hill 2, prévu pour le 04 février 2026 dans nos salles et réalisé par Christophe Gans, déjà à l’oeuvre sur le premier film en 2006.
Return to Silent Hill: une bande-annonce intriguante
Konami a levé le voile sur une nouvelle bande-annonce de la prochaine adaptation de SilentHill. Le film adaptera dans les grandes lignes les évènements de Silent Hill 2 et nous permettra donc de retrouver James Sunderland, qui foulera les rues brumeuses et angoissantes de Silent Hill après avoir reçu une lettre de sa femme, pourtant décédée.
La bande annonce montre semble montrer une intrigue et une esthétique qui devraient être assez fidèle au jeu dans les grandes lignes. Néanmoins, certains mystères subsistent et des séquences inédites seront vraisemblablement de la partie. Pour celles et ceux qui en ont adoré l’ost, bonne nouvelle puisque le compositeur original sera de retour pour cette adaptation cinématographique.
Le remake de Assassin’s Creed: Black Flag pourrait arriver avant la fin mars 2026, selon une fuite exclusive relayée par Insider Gaming. Dans son dernier rapport, Ubisoft a en effet mentionné la sortie d’un jeu-surprise avant le 31 mars 2026.
Assassin’s Creed: Black Flag Remake offrirait beaucoup de nouveautés
Selon un récent rapport d’Ubisoft, un jeu-surprise non dévoilé figure parmi les projets du studio et sortira avant le 31 mars prochain. De son coté, Insider Gaming affirme qu’il s’agirait du remake de Black Flag Selon leurs sources, le titre devrait plus précisément sortir la semaine du 23 mars. Un timing qui coïncide avec la fin de l’année fiscale, ce qui pourrait permettre au studio de maximiser l’impact financier du lancement.
Toujours selon Insider Gaming, cette refonte pourrait intégrer des mécaniques plus orientées RPG, avec inventaire, loot et statistiques d’équipement, offrant ainsi une expérience plus complète que celle du jeu original. Ces améliorations laissent penser que le retour d’Edward Kenway ne sera pas seulement graphique, mais également profondément enrichi sur le plan du gameplay. On attendra désormais une annonce officielle de la part de l’entreprise, même si la mèche semble avoir été vendue depuis longtemps.
Un nouvel opus de la licence Anno de chez Ubisoft voit le jour. Il s’agit cette fois-ci de Anno 117 : Pax Romana . L’attente était élevée du côté des fans de la saga après 6 ans d’absence depuis le dernier jeu de la franchise. Des promesses étaient au rendez-vous pour ce nouvel épisode : un tournant majeur pour la série avec un retour au cadre historique, une nouvelle approche de la gestion, une campagne mise en avant, et une volonté de moderniser la formule sans perdre l’ADN d’Anno. Après l’immense succès du dernier en date : Anno 1800 (notre testici), cet épisode antique était attendu au tournant : révolution ? évolution ? compromis ? Voici notre test de Anno 117 : Pax Romana.
Rome ne s’est pas faite en un jour
Avec Ubisoft Mainz aux manettes, Anno 117 ne vise pas une simple reconstitution historique pointilleuse, mais une vision stylisée de Rome. Suffisamment cohérente et riche pour créer un cadre captivant. On s’en rends compte dès le début du jeu. Les villes s’appuient sur une architecture immédiatement reconnaissable : villas patriciennes aux toits de tuiles rouges, thermes fumants, colonnes imposantes, marchés débordants d’animation. Chaque bâtiment, même le plus modeste, bénéficie d’un soin particulier, ce qui donne une ville organique, vivante, traversée par des citoyens qui réagissent à l’aménagement urbain. Cette densité visuelle n’est jamais gratuite : elle soutient l’immersion et renseigne sur la santé de votre cité par des petits détails simplement en observant les rues — un véritable plaisir pour les amateurs de city-builders qui aiment “lire” leur ville sans passer par les menus.
Vous aurez un choix à faire au départ du jeu entre deux personnages : Mercia et Marcus. Ce choix a une incidence mineure sur la partie. En tout cas par rapport au gameplay et aux mécaniques du jeu. Pour ce qui est de la campagne (que l’on peut réaliser en coop), il y a plus d’incidence, ce qui vous poussera à retenter l’aventure une seconde fois.
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Une gestion repensée avec de grosses nouveautés
Le cœur d’Anno reste intact, mais Pax Romana revoit l’organisation des besoins des habitants en profondeur. Plutôt que d’imposer une liste rigide de biens indispensables, le jeu regroupe les attentes en catégories fonctionnelles : hygiène, alimentation, confort, culture. Dans chacune, plusieurs options sont disponibles, ce qui permet de satisfaire les habitants sans suivre un chemin prédéfini. Cette approche apporte une liberté nouvelle : vous pouvez structurer votre économie selon vos ressources, votre style ou vos contraintes territoriales, tout en conservant une exigence d’optimisation.
Les bâtiments n’ont plus simplement un rôle de production : leur placement devient un élément central grâce aux zones d’influence qu’ils exercent. Un marché peut stimuler l’activité locale, une forge peut dégrader le confort des habitations proches, un temple peut améliorer la satisfaction d’un quartier entier. Cette dimension transforme chaque parcelle de terrain en décision stratégique. Construire n’est plus seulement remplir un espace disponible, mais composer avec un écosystème urbain où chaque construction a des effets en cascade tels que les maladies ou des incendies.
Le jeu intègre également plusieurs modernisations bienvenues, comme le mode planification — qui permet de poser des plans de bâtiments sans les construire immédiatement — ou la construction (bâtiment ou route) en diagonale, rendant les villes plus naturelles. La possibilité de déplacer librement les bâtiments libère le joueur des erreurs de débutants. Enfin, le cycle jour/nuit, plus qu’un effet visuel, joue sur la perception du trafic et des activités, rendant les villes encore plus vivantes et crédibles.
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Une campagne scénarisée
La campagne met donc en scène Marcus et Marcia, deux personnages aux motivations opposées, plongés dans les enjeux politiques et territoriaux du cœur de l’Empire. Les dialogues, doublés et soignés, offrent une véritable dimension dramatique, plus poussée que dans les précédents épisodes. Les choix moraux permettent d’influer sur le déroulement de certaines missions, donnant un ton légèrement RPG et renforçant l’immersion narrative.
Cependant, cette ambition s’accompagne d’un rythme parfois inégal. Si certains moments — notamment l’exil vers Albion et la construction d’une nouvelle base dans un territoire hostile — marquent durablement, une partie des quêtes conserve une structure répétitive, souvent plus pédagogique qu’épique. La campagne sert avant tout à introduire méthodiquement les mécaniques, ce qui limite son potentiel dramatique. Sa durée de vie, entre huit et dix heures, reste d’ailleurs un peu courte pour un jeu qui révèle son plein potentiel dans la gestion à long terme.
On n’oublie pas que le plus gros risque de ce jeu de gestion reste l’équilibre qui peut très vite s’effondrer. A l’instar de son prédécesseur, la balance main d’œuvre et revenus peut très vite s’inverser et vous vous retrouvez avec une énorme crise financière dans votre province. Vous tombez rapidement dans un cercle vicieux concernant votre solde qui peut vite agacer. Tout ceci peut paraître déconcertant mais reste finalement proche de la réalité.
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C’est la guerre !
L’un des éléments marquants de cet opus est le retour du combat terrestre. Les affrontements reposent sur une logique tactique simple : importance de la ligne de front, gestion du moral, efficacité différente selon le terrain, nécessité de maintenir la logistique. Le système n’a pas vocation à rivaliser avec un STR, mais il enrichit l’expérience en ajoutant de nouveaux paramètres dans l’organisation territoriale, notamment autour des infrastructures militaires et des routes de ravitaillement.
La villa du gouverneur, bâtiment clé, devient un point stratégique majeur : elle apporte des bonus puissants mais constitue une cible potentielle. Cela impose des choix défensifs et force parfois à repenser entièrement l’aménagement de certaines zones sensibles, ce qui crée une dynamique intéressante entre sécurité et expansion.
On peut noter également une grosse nouveauté dans ce nouvel épisode : la religion. Elle s’impose comme l’une des innovations majeures, insufflant au jeu une profondeur stratégique inédite. Les cultes, autrefois anecdotiques, deviennent désormais des forces d’influence capables de remodeler alliances, stabilité politique et expansion territoriale. Chaque faction doit composer avec un paysage spirituel en perpétuel mouvement, où les choix rituels ou doctrinaux peuvent autant consolider un empire qu’en précipiter sa perte.
À cela s’ajoute également un système de recherche en temps réel particulièrement ambitieux : les joueurs débloquent progressivement des compétences et optimisations mécaniques au fil de leur maîtrise des différentes composantes du jeu, offrant une montée en puissance parfaitement intégrée au rythme des parties. Une évolution qui, combinée à la profondeur thématique de la religion, redéfinit entièrement l’expérience stratégique dePax Romana.
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Le coeur du jeu de Pax Romana
L’un des atouts majeurs que l’on ressort dans le test d’Anno 117 : Pax Romana réside dans sa mécanique de gestion qui intervient vers le milieu du jeu. Cette nouvelle mécanique impose au joueur la gestion simultanée de deux provinces aux identités radicalement différentes. Cette dualité — Latium et Albion — introduit une profondeur nouvelle dans la série et transforme la partie en un véritable exercice de gouvernance impériale. Le Latium, berceau prospère de l’Empire, offre un terrain fertile, un climat clément et un accès facilité aux routes commerciales.
Il s’y dégage une impression de stabilité et de potentiel productif : les chaînes de production y sont plus faciles à installer, les villes peuvent s’y densifier sans contrainte majeure et l’industrialisation y trouve un terreau naturel. À l’inverse, l’Albion oppose sa rudesse : climat instable, sols peu exploitables, ressources clairsemées, reliefs plus capricieux. Cette province demande un travail d’adaptation constant, un urbanisme plus prudent et une optimisation serrée pour surmonter ses contraintes structurelles.
Ce contraste ne se limite pas à un changement d’ambiance : il redéfinit entièrement la manière de penser son développement. Le joueur doit jongler avec les différences de climat, de culture, de ressources disponibles, mais aussi avec des niveaux technologiques, des besoins sociaux et des difficultés territoriales propres à chaque province. Là où le Latium autorise l’expansion rapide et la production à grande échelle, l’Albion impose une gestion minutieuse, presque artisanale, qui oblige à réinventer ses priorités et à repenser son économie.
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Une performance technique globalement solide
Lors de notre test sur Anno 117 : Pax Romana, nous avons trouvé visuellement que l’on possède bien entre les mains l’un des épisodes les plus aboutis de la série. Les détails dans les bâtiments, l’animation des citoyens, la richesse des environnements naturels et la cohérence de la palette romaine créent un tableau particulièrement plaisant. La bande-son soutient cette immersion avec des compositions orchestrales inspirées de la culture latine sans non plus tomber dans le cliché.
Quelques défauts subsistent toutefois : une interface parfois trop minimaliste dans ses options avancées, certains crashs isolés, et des outils statistiques moins détaillés que dans Anno 1800. Pour les joueurs les plus aguerris sur l’analyse fine, ces absences pourront se faire sentir, même si elles n’entravent pas la progression générale.
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Le resumé de notre test de Anno 117 : Pax Romana
Anno 117 : Pax Romana réussit à combiner fidélité aux fondamentaux de la franchise et modernisation pertinente. Le jeu est plus accessible, mieux rythmé et visuellement somptueux, tout en conservant la profondeur stratégique qui fait la force de la série. Bien que la campagne manque d’ambition et que certaines mécaniques gagneraient à être davantage étoffées, l’ensemble offre une expérience robuste et immersive.
Pour les joueurs recherchant un city-builder qui valorise la contemplation, la réflexion ainsi que l’optimisation, Anno 117 est un excellent cru. Pour ceux qui espéraient une révolution totale ou une narration épique, ils risquent de rester sur leur faim. Mais l’équilibre entre nouveauté, accessibilité (surtout pour les nouveaux venus) et respect de la tradition est réussi et marque une étape importante et prometteuse pour la suite de la licence.
Points forts
Cadre romain magnifique et très immersif
Gestion modernisée, flexible et stratégique
Construction toujours addictif
Gestion des deux provinces en simultanée
Narration présente
Direction artistique superbe et villes vivantes
Pas mal de nouveautés
Points faibles
Campagne courte et limitée en ambition
Certaines quêtes peu inspirées
Fin de partie moins dense qu’Anno 1800
Quelques bugs parfois
Rythme général du jeu parfois en dent de scie
Anno 117 : Pax Romana est sorti le 13 novembre 2025, sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series X/S.
Voici notre avis sur ARC Raiders. un titre avec un certain culot: celui de caler sa sortie entre les mastodontes Battlefield 6 et Callof Duty: Black Ops 7. Certains s’y sont essayé et cassé la figure. Un choix d’autant plus osé que nous ne parlons pas d’un free-to-play. Mais justement, le choix d’Embark a payé. Parce que le jeu est un véritable succès…et surtout une totale réussite.
ARC Raiders transforme un concept frustrant
ARC Raiders est un extraction shooter. Un genre frustrant par définition, puisque son concept implique qu’un simple game over peut anéantir des heures d’efforts et de loots en vous en faisant perdre l’intégralité. C’est déjà l’un des premiers points sur lesquels le titre d’Embark studio se démarque. En effet, le titre propose plusieurs options qui vont limiter les risques de pertes ou les frustrations qui y sont liées.
Pour commencer, nous avons un coq/coquillard qui se charge de récupérer des ressources de son coté. Des ressources plutôt rudimentaires, mais qui sont au moins là pour dire qu’on ne revient pas totalement bredouille. Ensuite, il y a l’arsenal gratuit. Ce dernier, assez complet au demeurant, nous offre de quoi nous défendre et tant pis si on le perds: après tout, c’était gratuit.
Enfin, il y a la poche de sécurité. Reprise de Escape from Tarkov, celle-ci permet de sauver un item quelconque de la mort. Mais si ARC Raiders fonctionne aussi bien, ce n’est pas juste parce qu’il transforme une définition frustrante en expérience qui l’est moins: c’est parce qu’au delà d’un fun immédiat qui donne envie d’enchaîner les parties encore et encore, ce qui est aidé par des parties n’excedant jamais les 30 min, il offre une immersion palpable qui trouve son origine dans son univers aussi organique que vivant et dans cette idée même d’en avoir fait une expérience PvPvE.
Avis ARC Raiders: le PvPvE change la donne
Depuis la sortie du jeu, nous voyons passer de plus en plus de voix réclamant l’arrivée d’un unique mode PvE. Le comble, c’est que c’est justement comme ça que le jeu fut initialement pensé. De notre côté, on ne peut que se satisfaire que le studio ait choisi cette nouvelle orientation, car ce PvPvE, c’est justement l’une des autres grandes forces du jeu. Dans ARC Raiders, vous incarnez un Raider, un chasseur d’ARC. Ces dernières sont des machines venues on ne sait d’où et ont pris le contrôle du monde après que diverses catastrophes naturelles ont obligé l’humanité à se réfugier sous terre. Mais les humains ont besoin de ressources pour survivre.
Des ressources qui ne se trouvent qu’à la surface et c’est là que les Raiders interviennent. Mais une fois sur terre, le danger ne vient pas que des ARC, machines à l’intelligence artificielle redoutable mais aussi des autres Raiders. Votre butin peut faire l’objet de bien des convoitises et c’est pourquoi vous n’êtes jamais à l’abri sur le terrain. Pourtant, contrairement à la plupart de ses confrères, ARC Raiders n’encourage pas à la baston entre joueurs. Non, ici, on incite à l’alliance, à la fraternité et l’entente entre camarades. Mais on interdit pas pour autant les coups de couteaux dans le dos. Les outils mis à disposition, qu’il s’agisse d’une roue des émotes, simple mais efficace, ou du chat de proximité sont clairement pensé en ce sens.
Et c’est ce qui change tout à l’expérience. Certaines machines sont particulièrement redoutables et elles le sont toutes sur le plan de l’IA. Vous aurez souvent besoin de l’aide d’alliés pour les affronter. Des alliés avec qui vous pourrez lancer le jeu en duo ou trio ou que vous aurez convaincu de vous suivre si vous partez en solo. Mais dans ce dernier cas de figure, vous ne connaissez pas l’intention de ces nouveaux amis d’un petit moment, comme eux ne connaissent pas les vôtres. Vous avez éliminé cette Reine à vous deux, félicitations, c’est un exploit et c’est la fête au butin mais voilà, tout est ruiné: votre camarade en qui vous avez fait aveuglément confiance vous a trahi. Tant pis, on ne vous y reprendra pas la prochaine fois.
Un univers vivant et organique
ARC Raiders nous invite à looter sur cinq maps toutes différentes les unes des autres et artistiquement totalement réussies. Du Portail Bleu et ses crêtes enneigées à la Ville Enfouie, où les dunes de sables ont recouvert et figé l’ancienne génération dans le temps, en passant par le Champ de Bataille du Barrage et ses étendues marécageuses sauvages. Toutes sont belles, détaillées et grandes, offrent beaucoup d’approches et de recoins à fouiller et proposent aussi divers phénomènes ponctuels, comme le jeu de nuit ou les tempêtes electro-magnétiques mais surtout: toutes sont véritablement vivantes, et ont sent qu’elles ont une histoire et un véritable vécu. Paradoxe que de parler d’un monde vivant alors que le titre dépeint justement un univers ravagé.
Mais lorsque l’on parle de monde vivant, on parle surtout d’un monde palpable. Les créatures robotiques qui y règnent sont un véritable danger pour les joueurs, adoptant systématiquement un comportement cohérent entre eux et faisant preuve comme on le disait d’une intelligence que l’on avait rarement vu surtout dans une expérience multijoueur. Les exemples démontrant à quel point l’IA nous a impressionné seraient bien trop nombreux à lister. Le sound design proprement exceptionnel du jeu contribue largement à rendre l’univers plus organique encore. Qu’il s’agisse de la spatialisation sonore, essentiel dans un tel jeu ou des divers sons environnementaux: tout est travaillé avec une force et une précision chirurgicale.
Si le jeu peut-être considéré comme le Overwatch de l’extraction shooter (en ce sens qu’il ouvre au grand public un genre de niche), sa narration, elle, est reprise tout droit des Soul’s, le coté cryptique en moins. Les quêtes du jeu ne sont pas spécialement attrayantes pour ce qu’on en a vu (un peu plus de la moitié au moment de rédiger ces lignes) mais elles ont le mérite de parfois développer un peu plus le lore, même si la narration environnementale en reste la source majeure. Elle permettent aussi et surtout d’adapter les joueurs à certaines des mécaniques, que nous n’aurions peut-être jamais effleuré si ces quêtes ne l’imposaient pas. Évidemment, le titre ne fonctionnerait peut-être pas autant sans un gameplay adéquat et là aussi, c’est une réussite quasi totale.
Un gameplay précis, lourd et stratégique
Jeu de tir oblige, ARC Raidersne se loupe pas en terme de sensations. Toutes les armes que nous avons pu essayer offrent de vraies sensations d’impacts et leur feeling est complètement différent les unes des autres, ce qui est tout aussi vrai pour les gadgets explosifs. En terme d’exploration, pas mal de possibilités sont offertes, tant dans la verticalité des maps que dans certains gadgets à crafter, comme la Tyrolienne ou encore le Mousqueton, qui permettent d’atteindre des structures autrement inatteignable ou tout du moins difficilement.
Notre personnage quant à lui, bénéficie de juste ce qu’il faut comme agilité et lourdeur pour aider à ressentir la tension permanente de chacune de nos sorties. Toutefois, nous n’aurions pas dit non à un panel de mouvements un peu plus large. Comme le simple fait de pouvoir ramper ou même s’adosser contre un mur quelconque.
ARC Raiders met en place un monde vraiment organique et palpable. En cela, nous aurions aussi aimé que Speranza, ville souterraine où les survivants se sont abrités, soit davantage qu’un simple hub statique tant on sent que les lieux ont là aussi quelque chose à raconter. En parlant de hub, les menus constituent LE gros point noir du jeu: si l’on y prends le coup de main à terme, il faut dire que la navigation n’est pas franchement optimale. C’est fouilli, ca manque de raccourcis… bref, c’est complètement à revoir de ce côté-ci.
Résumé de notre avis sur ARC Raiders
ARC Raiders réussit l’exploit de rendre un genre frustrant moins frustrant. Surtout, il le rends aussi immédiatement fun et accessible. Tout, du sound design exceptionnel à l’IA des machines en passant par des maps immersives, artistiquement très inspirées et aussi vivantes qu’organiques contribuent à faire de l’expérience ce qu’elle est. Mais plus encore que son monde immersif et son gameplay aux petits oignons, c’est véritablement le statut de jeu PvPvE qui transforme complètement l’essai.
Si les robots et autres machines sont des ennemis redoutables, les autres Raiders, controlés par les joueurs sont quant à eux imprévisibles. Même si ARC Raidersencourage davantage à la coopération, mettant en avant des outils parfaitement adaptés, rien n’interdit les trahisons de dernières minutes, les coups de couteaux dans le dos. C’est ce qui offre à chaque excursions ces moments de tension, de rage et surtout de grand soulagement lorsque après d’intenses combats et de loot, on atteint la zone d’extraction, prêt à rentrer au bercail…pour repartir à la bataille aussitôt.
ARC Raiders est disponible depuis le 30 octobre 2025 sur PS5, Xbox Series X|S et PC.
Points forts
Des maps variés, vivantes, organiques et artistiquement très réussies
Le PvPvE: un choix qui fait tout le sel du jeu, entre tension, frustration et soulagement
L’IA des machines, particulièrement impressionnante
Les armes et sensations de tirs aux petits oignons
Un sound design juste exceptionnel (spatialisation, bruits environnementaux…)
Des décors et des environnement chargés en histoire.
Coquillard, arsenal gratuit et poche de sécurité: voilà qui contribue à rendre l’expérience moins frustrante et plus accessible
Des quêtes qui aident à apprivoiser les mécaniques de jeu…
Points faibles
…mais sont rarement passionnantes et ne développent que très peu le lore
Un panel de mouvements un peu plus important aurait été appréciable
Dommage que Speranza ne soit guère plus qu’un hub statique
Pour ce tuto ARC Raiders, nous allons voir comment obtenir des composants mécaniques avancés. Cette ressource fait partie des éléments nécéssaires à la mise à niveau 3 de l’armurier. Vous pouvez obtenir ces composants mécaniques avancés de plusieurs façons, contrairement aux autres éléments. Suivez le guide ci-dessous.
Tuto ARC Raiders: 3 façons d’obtenir les composants mécaniques avancés.
Dans ARC Raiders, l’une des ressources les plus importantes sont les composants mécaniques avancés. Parce que ce sont ces composants qui vous permettront de concevoir les armes les plus puissantes du jeu. La première manière d’obtenir ces composants, et attention de ne pas les confondre avec les composants mécaniques simples, c’est bien sûr de les chercher. Vous pourrez en trouver dans les zones de mécaniques sur les maps, celles où sont affichés des petits symboles de rouage. De notre côté, nous vous recommandons surtout de fouiller dans les terminaux du Centre de contrôle de traitement des eaux, sur la map Champ de bataille du Barrage.
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Comme on le disait, il y a aussi deux autres façons d’obtenir cette ressource: soit en la fabriquant, soit via le recyclage. Dans le premier cas, vous aurez besoin d’un raffineur de niveau 2. Quant à leur fabrication, il vous faudra mettre la main sur 2 ressorts en acier et 2 composants mécaniques. Pour le recyclage, il vous faudra démanteler quelques objets rares mais surtout épique (parmis lesquels principalement des armes) mais si vous trouvez un microscope, vous pourrez le recycler pour en obtenir une. Notez par ailleurs que si ces composants vous serviront à la conception d’armes avancés, il vous faut de toute façon monter le niveau de l’armurier au maximum pour avoir accès à ces plans. Voilà qui est tout pour ce tuto, n’hésitez pas à jeter un oeil à nos autres guides sur le jeu.
Les nominations pour les Game Awards 2025 sont tombés ce lundi 17 novembre 2025. Sans grande surprise, c’est Clair Obscur: Expedition 33qui domine le podium avec 10 nominations (12 si l’on prends la catégorie meilleure performance). Le 1er jeu de Sandfall Interactive est talonné de près par les exclusivités PlaystationGhost of Yōtei et Death Stranding 2, qui complètent le podium avec chacun 7 nominations. Du coté indé (dans lequel concours également ClairObscur ), Hades 2et Hollow Knight: Silksongpourraient également tirer leur épingle du jeu.
Game Awards 2025: pour ceux qui seront GOTY
Voici donc la liste des nommés pour les Game Awards 2025. Nous ferons évidemment l’impasse sur les catégories meilleur streamer/equipe E-Sport et autres catégories similaire qui, soyons honnête, n’intéressent pas grand-monde.
La cérémonie se déroulera le 11 décembre au Peacock Theater de Los Angeles. Chez nous français, il faudra veiller tard pour assister aux remises de prix mais surtout aux World Premiere, que l’on espère à la hauteur. Grande nouveauté pour cette année: en plus de ses canaux habituels, incluant Youtube et Twitch, les Game Awards 2025 seront également diffusé en live sur Prime Video. Vous pouvez également voter pour vos jeux favoris sur le site officiel.