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Test Kunitsu Gami: Path of the Goddess quand l’efficacité passe par la simplicité

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En ce moment le Japon féodal a le vent en poupe et Kunitsu Gami: Path of the Goddess nous fait découvrir une partie du folklore très riche de ce pays. Le titre fait par Capcom propose un croisement entre l’action et la stratégie savamment mélangées. Vous verrez à travers ce test que les mécaniques sont très simples, tout en proposant une expérience se voulant unique. Qu’en est-il vraiment ? C’est ce que nous allons voir dans un instant.

Kunitsu Gami: Path of the Godess

Découvrez le Shinto

Le shinto est l’une des plus ancienne religion Japon et traite de plusieurs choses, dont les esprits et le caractère sacré de la nature.

Vous incarnez Soh, un guerrier invoqué par la prêtresse Yoshiro, gardienne du mont Kafuku. Au fil des années, les villageois habitant sur cette montagne veulent toujours plus sans avoir de but précis n’hésitant pas à affaiblir la nature. En guise de représailles, des Ikoku, des démons, sont apparus n’hésitant pas à tout raser sur leur passage. La prêtresse se voue alors corps et âme pour demander à la déesse de Kafuku de leur venir en aide. Malheureusement, les créatures ont volé les masques permettant à Déesse d’agir. Yoshiro et Soh sont alors obligés de descendre au pied de la montagne tout en purifiant les villages, mais aussi les Torii. Les grands portique rouge représentant l’entrée d’un sanctuaire shinto, mais également la frontière entre le pur et l’impur.

L’histoire est vraiment simple et ne s’encombre pas de superflu. D’ailleurs mis à part l’introduction, il n’y a pas de ligne de dialogue. D’ailleurs, au niveau de la durée de vie non plus, rien n’est de trop. En effet, le jeu vous embarque pour une histoire longue de 15 à 20 heures.

Dans Kunitsu Gami: Path of the Goddess c’est le jour et la nuit

Comme dit précédemment, vous devez purifier les villages qui représentent chacun un niveau différent. Pour ce faire, vous devez trouver les points principaux de la corruption afin de les éliminer durant la journée. Une fois cela fait, vous gagnerez des cristaux. Les habitants sont également pris dans des cocons de corruption et certains sont bien cachés. Une fois libre, c’est à ce moment que vous pourrez leur assigner un métier parmi la dizaine de disponibles. Attention, car vous devez également tracer la voie spirituelle pour Yoshiro afin qu’elle puisse atteindre le Torii et cela coûte également quelques cristaux.

Bien qu’au début la prêtresse puisse faire le voyage d’un point à un autre en une journée, rapidement cela lui prend plusieurs jours. Il faut donc s’assurer que la dame soit relativement en sécurité, ou sur un point facile à protéger. En plus de votre présence, vous pouvez placer les villageois à l’emplacement de votre choix pour leur barrer la route. C’est ici que toute la stratégie se met en place. Il faut non seulement choisir le bon métier selon la situation, mais aussi le bon emplacement. Heureusement, un charpentier est régulièrement présent et vous aide pour placer des pièges. Les emplacements sont déjà présents, il ne reste plus qu’à les monter avant la nuit tombée. Une fois celle-ci arrivée, le charpentier prend les jambes à son cou et vous le reverrez au petit matin si vous avez de la chance.

Vous avez également sur vos épaules la santé des villageois. Vous pouvez les soigner dans la limite des rations disponibles, mais attention, elles vous servent également. D’ailleurs, si Soh vient à perdre la vie en combat, il prend une forme fantomatique avant de revenir. La véritable défaite survient au décès de Yoshiro.

Soh est KO
Soh KO

Parfois nous ne sommes pas aidés par l’IA des PNJ qui est parfois aux fraises. En effet, ces derniers foncent dans le tas, se mettant parfois inutilement en danger.

Dans Kunitsu Gami: Path of the Goddess la redondance n’a pas sa place

Avec tout cela, on pourrait croire que le gameplay est assez redondant, mais il n’en est rien. Capcom nous surprend en variant tous les niveaux en ajoutant des pièges, pas forcément bénéfique. La disposition des différents Torii, ainsi que de la carte en elle-même est importante, car les attaques depuis les hauteurs sont également possibles.

Le bestiaire s’étoffe tout au long du jeu et les Ikoku deviennent de plus en plus puissants. De plus, pus vous passez de nuit à un endroit, plus les adversaires seront grands et coriaces. D’ailleurs, il arrive que l’on se retrouve coincé assez longtemps sur un niveau le temps de trouver l’astuce à saisir et de rouler sur les trois suivants. La difficulté peut monter d’un coup avant de redescendre.

L’une des forces de ce jeu est également sa capacité à faire passer quelque chose de secondaire au premier plan. En effet, lorsque vous parvenez à purifier entièrement un village, celui-ci devient votre base. Vous pouvez demander aux habitants de réparer certains endroits afin que celle-ci retrouve sa gaieté d’antan. Lorsque tout sera réparé, vous pourrez obtenir en récompense de l’équipement supplémentaire pouvant être très utile pour votre voyage.

D’ailleurs, si jamais vous oubliez de sauver un villageois de la corruption, ce dernier ne sera pas disponible pour reconstruire le lieu. Vous devrez recommencer le niveau afin de trouver où il se cache. Ce sera d’ailleurs l’occasion de réussir certains objectifs annexes si jamais il vous en manque pour avoir plus de récompenses.

Réparation de la base
Réparation de la base, un villageois est manquant

Un univers aussi chatoyant que sombre

Bien que le jeu soit presque dépourvu de dialogue, toutes les émotions passent par le corps et la mise en scène. La direction artistique est magnifique et unique chaque niveau a sa propre personnalité et les jeux de lumières sont très bien réalisés.

En ce qui concerne la bande-son, celle-ci nous fait vivre de sacrées émotions. Tout change selon l’heure de la journée. Au petit matin l’ambiance est douce et paisible, nous donnant presque envie de nous détendre, mais plus la journée passe et plus le rythme s’intensifie pour devenir presque oppressant juste avant la nuit. C’est un détail certes, mais très importants participant ainsi à l’immersion du jeu.

Le résumé de notre test sur Kunitsu Gami : Path of the Goddess

Kunitsu Gami : Path of the Godess parvient à mélanger l’action et la stratégie de manière très brillante et parvient à nous surprendre de manière continue afin d’éviter une lassitude certaine. Bien que le cœur du gameplay soit identique, les détails changent, changeant ainsi toute la dimension stratégique. Si l’on peut penser que les coups d’épée sont au centre du jeu il n’en est rien. C’est la mise en place des divers éléments qui sont les plus importants, sans oublier la gestion de vos ressources. De plus, la gestion cyclique jour/nuit est brillamment utilisé et la direction artistique colle parfaitement avec les différents cycles pour notre plus grande immersion.  Cependant, la difficulté non linéaire est assez compliquée à gérer et peut rebuter les moins patients.

Kunitsu Gami: Path of the Goddess est disponible depuis le 19 juillet 2024 sur PC, PS4, PS5, Xbox One et Xbox Series.

Points forts

  • Un bestiaire bien fournit
  • Un cycle jour/nuit intéressant
  • Une bonne variété dans le gameplay
  • Une direction artistique intéressante

Points faibles

  • Une IA parfois aux fraises
  • Un déséquilibrage au niveau de la difficulté
  • Une absence de narration

Soluce Fortnite : récit quêtes Le grand assaut du Léviathan

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Epic Games ajoute ses nouvelles quêtes de récit pour augmenter ses XP lors de cette nouvelle saison. Elles sont basées sur l’histoire de la saison en cours. Venez découvrir dans cette soluce Fortnite le récit Le grand assaut du Léviathan. Vous pouvez retrouver également notre tuto des quêtes de la semaine 9 ici. Retrouvez aussi les quêtes du récit précédent Q.G des pois ici.

Soluce Fortnite : récit Le grand assaut du Léviathan

  • Étape 1 : Organiser le plan avec Pilepois au Q.G des pois

Dirigez-vous vers le Q.G des pois (endroit indiqué sur la carte) et parlez à Pilepois pour valider cette première quête.

  • Étape 2 : Détruire des objets dans des lieux du désert

Vous devez tout simplement détruire 30 objets dans la zone du désert pour valider la quête. Elle peut se réalise rapidement avec des modifications de véhicule.

  • Étape 3 : Eliminer des gardes du désert ou faire exploser des véhicules

Vous devez éliminer des gardes du désert (souvent présent à Brutal Beachhead et Redline Rig). En complément vous pouvez également détruire des véhicules pour valider la quête.

  • Étape 4 : Infliger des dégâts à des adversaires avec des armes de véhicule, des pare-chocs ou des gantelets nitro

Infliger 500 de dégâts à des joueurs avec des modifications de véhicule ou des gantelets nitro pour valider la mission.

  • Étape 5 : Trouver Mégalo Don et lui infliger des dégâts pour récupérer sa carte secrète

 Repérez Mégalo Don sur la carte à l’aide de son médaillon et infliger lui des dégâts pour qu’il lâche au bout d’un moment une carte. Interagissez avec et elle vous permettra de révéler l’emplacement de sa cache secrète.Soluce Fortnite

  • Étape 6 : Rendez-vous à l’emplacement de la cache secrète de Mégalo Don pour trouver la gemme de Pandore

Allez à l’endroit indiqué sur la carte et trouver la cache secrète qui ressemble à une valise le long du rocher.

  • Étape 7 : Forcer la serrure de la cache secrète de Mégalo Don et prendre la gemme de Pandore

Une fois la cache secrète trouvée, mettez un coup de pioche dessus pour l’ouvrir et interagissez avec la gemme pour la prendre.

  • Étape 8 : Donner la dernière gemme de Pandore à Hope

Allez à l’endroit indiqué sur la carte et parlez à Hope pour lui remettre la gemme et terminer la quête.

Félicitations, vous avez terminé les quêtes du récit Le grand assaut du Léviathan. Celles-ci étant les dernières quêtes de récit de cette saison. En attendant la prochaine saison, on vous donne rendez-vous sur notre page de tuto pour les autres soluce de Fortnite.

Soluce Fortnite : quêtes semaine 9, chapitre 5, saison 3

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Les nouvelles quêtes hebdomadaires viennent d’arriver. Toutes les semaines, Epic Games amène son lot de nouvelles missions pour booster vos XP. On vous montre comment réussir facilement les cinq nouvelles quêtes de la saison 3, semaine 9 du chapitre 5 dans notre soluce de Fortnite. Vous pouvez retrouver les quêtes de la semaine précédente ici ainsi que celles du récit intitulé « Le grand assaut du Léviathan » ici.

Soluce Fortnite chapitre 5, saison 3 : quêtes de la semaine 9

  • Eliminer des adversaires avec le fusil à pompe de combat

Récupérez un fusil à pompe de combat et éliminez 5 ennemis avec pour valider la quête.

  • Survivre aux joueurs en tenant un médaillon

Réussissez à récupérer un médaillon de boss et survivez à 30 joueurs en le portant pour terminer cette mission.

  • Survivre aux cercles de la tempête

Pour réaliser cette quête, rien de plus simple : jouez des parties et restez le plus longtemps possible en vie pour survivre à 15 cercles de tempête.

  • Faire une emote à Brawler’s Battlegrounds et au Nitrodrome

Faire une emote aux deux endroits indiqués sur la carte ci-dessous pour terminer la quête.

  • Infliger des dégâts à des adversaires avec une arme dotée d’un montage sous canon

Récupérez une arme dans un coffre ou au sol doté d’un montage sous canon. Infligez ensuite 500 de dégâts avec à des joueurs pour valider cette quête.

On se donne rendez-vous pour le prochain tuto Fortnite lors de nouvelles quêtes hebdomadaires. Ce sera pour la semaine 10 de cette prochaine saison du chapitre 5. Elles seront disponibles le 30 juillet 2024.

Star Wars Outlaws : faut-il craindre le downgrade graphique ?

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À un peu plus d’un mois de la sortie de Star Wars Outlaws, le site IGN a pu présenter en exclusivité 10 min de gameplay du j. Autant dire que le résultat avait de quoi refroidir les ardeurs. Mais outre les réactions d’Ubisoft et IGN face à la gronde des joueurs, y’a-t-il complètement lieu de s’inquiéter ? On fait le tour de la question.

Un visuel qui fait grincer des dents

C’est une publicité dont Ubisoft se serait bien passé. Prévu pour le 30 août prochain sur PS5, Xbox Series et PC, le prochain titre du studio, Star Wars Outlaws s’est à nouveau montré la semaine dernière à travers 10 minutes de gameplay proposé par le site IGN. Malheureusement, le résultat à l’écran à, de façon très compréhensive, inquiété les joueurs. Et disons les choses : oui, ce qu’on voit dans cette vidéo n’est clairement pas à la hauteur d’un AAA next-gen. On ne peut même pas parler ne serait-ce que d’un résultat correct.

Il y a énormément de flous, certains effets visuels ne sont pas du tout à la hauteur (oui, les fameuses explosions…), les textures sont pauvres, le framerate hoquète pas mal… Mais comment expliquer tout ça ? Comment expliquer que, à l’approche du jeu, cette vidéo affiche des résultats visuels aussi inquiétants ? Après avoir longuement étudié la question, nous avons des pistes potentielles et celles-ci nous laissent penser qu’il n’y a peut-être pas lieu d’être totalement craintif.

Gameplay Star Wars Outlaws IGN

Quelle version tournait dans cette vidéo ?

Bien entendu, la première question et théorie que l’on a vue passer concernait surtout le support sur lequel tournait ce gameplay de Star Wars Outlaws. Si beaucoup ont envisagé qu’il s’agissait d’une version console, cela nous paraît en fait peu probable. À une sortie aussi proche, l’idée etant de rassurer les joueurs (et aussi les investisseurs), on opte généralement pour une présentation version PC, plus à même d’être la meilleure à montrer au public. Sauf si, bien sûr, l’éditeur est lié par un contrat d’exclusivité.

De plus, on voit sur la vidéo que la manette utilisée est celle d’une Xbox. La facilité voudrait donc que l’on pense à une version présentée sur Xbox Series X (Soyons sérieux, on ne fait pas une telle présentation sur Series S…) mais là encore, l’hypothèse parait peu probable. Si la version proposée devait tourner sur console, il semblerait plus logique qu’elle soit proposée sur PS5, qui a beaucoup plus de succès chez les joueurs. Sauf à avoir comme on le disait un partenariat d’exclusivité, ce qui n’a jamais été évoqué (pas dans ce domaine en tout cas).

Ubisoft semble confiant pour Star Wars Outlaws, IGN réagit

Le jeu étant prévu uniquement sur PC et consoles PS5 et Xbox Series, difficile aussi d’évoquer l’excuse technique liée à une sortie sur consoles anciennes génération, qui peuvent souvent mettre des bâtons dans les roues des développeurs. Enfin, une dernière explication potentielle que l’on a vue passer concernait l’état du build présenté à IGN, qui aurait eu entre les mains une version non terminée. Si l’idée nous a franchement traversé l’esprit, l’explication ne tient pas la route.

Gameplay Star Wars Outlaws IGN

À un mois de la sortie, on le redit, le but est de chercher à rassurer les joueurs comme les investisseurs. Non, dans ces conditions, on ne remet pas entre les mains de la presse un build non terminé. Encore plus quand il s’agit d’un partenariat. En parlant d’IGN, ces derniers ont bien réagi à la polémique via leur site en suggérant notamment de vérifier les paramètres qualité de la vidéo.

Seulement, que vous affichiez la vidéo en 360p ou en 12K, cela ne changera absolument rien aux soucis de textures et autres problèmes d’animations et de framerate. En 12K, ce sera juste moins pixelisé. Cette suggestion d’IGN semble donc quelque peu étonnante dans la mesure où ils ne peuvent pas ignorer les problèmes graphiques et ne peuvent pas non plus ignorer que la qualité vidéo n’est pas en cause dedans.

Un moteur et un passif qui ont fait leurs preuves

À partir de tous ces éléments, voilà ce qui paraîtrait être en fait l’hypothèse la plus probable. La version PC ne serait peut-être pas complètement à la hauteur, tout du moins à l’heure actuelle, surtout si on cherche à le faire tourner avec des caractéristiques boostées. Oui, on peut prendre à défaut certains aspects des mondes ouverts d’Ubisoft, comme leur structure, etc. Mais sur le plan technique et graphique, si on excepte les légendaires « bugisoft« , leurs open world sont rarement pris à défaut.

Gameplay Star Wars Outlaws IGN

D’autant que Star Wars Outlaws est développé avec le moteur Snowdrop. Un des moteurs maisons d’Ubisoft ayant notamment servi pour The Division 1 et 2 et récemment Avatar, qui pouvait se vanter d’être l’un des plus beaux jeux de l’année dernière. 3 titres sur lesquels travaillaient également Massive Entertainment, derrière ce Star Wars. Oui, de rares cas comme Skull and Bones disent le contraire, bien que tout n’était pas à jeter graphiquement, mais nous étions tous au courant des soucis de développement autour du titre.

Une version PC de Star Wars Outlaws en difficulté ?

Hors, aucun problème de développement autour de Star Wars Outlaws n’a été porté à la connaissance du public. Alors au final, l’hypothèse d’une version PC qui serait au pire mal optimisée, au mieux tournait en basse configuration (pour une raison qui nous échappe) parait assez cohérente. D’autant que le tout tourne en 4K 60 fps, on imagine bien que c’est aussi dans cette configuration que tournait leur gameplay. Si Outlaws ne devrait pas être le biggest open word ever, on sait que l’on pourra visiter 5 planètes, dont la plus grande devrait être parcouru en peeder en moins de 5 min, avec pas mal de poi d’intérêts, comme le promet Julian gherity, directeur créatif du jeu.

Évidemment, tout ça n’est que pure théorie et il est peu probable qu’Ubisoft réagisse davantage, si ce n’est montrer d’autres vidéos de gameplay qui, on l’espère, seront plus engageantes. Il ne nous reste donc plus qu’à attendre la sortie du jeu le 30 août prochain, pour voir s’il sera à la hauteur des espoirs que l’on place en lui, quelle que soit la version.

Test Nobody Wants to Die : polar intemporel

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Premier jeu du studio polonais Critical Hit Games, Nobody Wants to Die est un titre hommage aux polars noirs des années 40 et aux univers Cyberpunk. Entre meurtres en séries, questions existentielles sur l’immortalité et contrôle temporel, voici notre test de l’une des surprises de l’année.

Comme des larmes dans la pluie

Nobody Wants to Die prend place en 2329, dans un New York futuriste aux accents néo-noir. Dans cet univers dystopique, l’immortalité est devenue une réalité. Désormais, les gens peuvent, à leur mort, choisir un nouveau corps frais et revigorant et renouveler l’opération, quitte à vivre 150 vies. Un thème avec tout ce que cela implique de questionnements philosophiques et autres doutes existentiels.

Nobody Wants to Die screenshot gameplay PS5

C’est dans ce contexte que notre héros, James Karra, un détective au passé tragique, se retrouve presque malgré lui à se lancer dans une enquête ou son passé et ses démons intérieurs se mêlent à une sordide affaire de meurtres et de manipulations politiques. Sur le plan purement narratif, Nobody Wants to Die se montre d’une efficacité féroce. On plonge dans la psyché de james, souvent guidé et influencé par la voix de Sara Kai, son officière de liaison.

Avec ses influences évidentes, le jeu de Critical Hit Games parvient sans mal à trouver sa propre identité, en mettant en avant un univers riche et visuellement incroyable (on y reviendra). La frontière entre rêve et réalité est souvent brouillée, les interrogations fusent au fil de l’histoire. Bref, sur le plan narratif, on se retrouve bien impliqué, d’autant que le doublage anglais (le seul disponible) s’avère d’excellente facture, avec un casting vocal impliqué. Mais c’était sans compter sur un petit détail qui impacte l’expérience immersive totale que Nobody Wants to Die aurait pu être…

Nobody Wants to Die screenshot gameplay PS5

Nobody Wants to Die prend beaucoup trop par la main

Vous l’aurez compris, Nobody Wants to Die est un jeu d’enquête. Des phases de jeux qui se jouent via plusieurs mécaniques. Tout d’abord, une fois sur la scène de crime, notre héros dispose d’un bracelet qui lui permet de littéralement reconstruire la scène du crime, en manipulant sa temporalité. Ainsi, il est possible de mettre la main sur des indices auparavant invisibles.

Ensuite, ces indices, que l’on peut visionner aux rayons X et autres lampes UV, nous lancent sur la trace d’autres indices. Une fois tous ces éléments en place, on se retrouve souvent dans le logis de notre détective, à reconstituer le puzzle en associant les bons éléments entre eux. Tout cela forment les bases essentielles d’un jeu d’enquête… encore faut-il avoir l’impression d’enquêter. Parce que c’est bien là que le premier jeu du studio polonais se loupe : le joueur est constamment guidé.

Impossible de partir sur une mauvaise piste ou quelque chose qui ferait avancer l’histoire dans différentes ramifications.  Par exemple, lors de la reconstitution des scènes, un point jaune sur le bracelet nous indique que c’est à ce moment précis, et seulement ici, que nous trouverons l’indice qui fait avancer l’enquête. Des indices d’autant plus faciles à trouver que la zone d’identification est clairement indiquée sur les lieux, via une sorte de sphère dorée.

Nobody Wants to Die frôle la perfection narrative

Lors des reconstitutions, notre héros, guidé par la voix de Sara, explique quand il est sur la mauvaise piste et donc impossible de faire avancer le jeu. Bien sûr, il ne s’agit pas du seul jeu d’enquête à complètement guider le joueur. En ce sens, Alan Wake 2 ou encore les phases de Batman Arkham, dont les mécaniques d’enquêtes ont clairement inspiré cette aventure, ne sont pas non plus de grands exemples.

Nobody Wants to Die screenshot gameplay PS5

Mais pour un titre où cela constitue l’aspect principal, on aurait préféré quelque chose de plus viscéral, d’autant que ça n’aurait fait que perfectionner une narration déjà exemplaire en soi. Par ailleurs, cette même narration propose un système de dialogues à choix, mais ceux-ci n’ont d’influences que sur les toutes dernières minutes de jeu.

Sur le coup, ça implique davantage émotionnellement et ça a le mérite de créer un minimum de rejouabilité mais concrètement, cela ne permet pas non plus de bouleverser suffisamment l’histoire pour aller au-delà des 2 runs.

Nobody Wants to Die screenshot gameplay PS5

Unreal Engine 5 fait encore un carton

On le disait plus haut, mais notre test de Nobody Wants to Die s’est avéré être une expérience visuellement somptueuse. Les lieux sont denses et riches en détails et offrent une ambiance incroyable au niveau également des éclairages et autres jeux d’ombres. En ce sens, les passages liés aux reconstructions de scènes constituent aussi un certain plaisir coupable. Combien de fois nous sommes-nous amusés à remonter et avancer le temps autour d’une scène, tant le rendu s’avère plus que chouette à l’écran.

Le titre propose une version qualité et performance. Bien sûr, pour un titre de cette envergure, on ne saurait que vous conseiller de partir sur le premier mode, puisque nous sommes quasiment sur un film interactif. Néanmoins, le mode performance ne souffre pas trop la comparaison, au-delà de quelques flous en plus et davantage de textures en moins. Rien qui ne saute aux yeux en tout cas.

Le seul regret que l’on émet par rapport à la beauté du jeu, ce sont les interactions limitées. Si les panoramas en extérieurs sont sublimes, on joue les 95% du jeu dans des intérieurs, même s’ils sont relativement vastes. Seul la fin nous permet de jouer une séquence en extérieur, mais assez loin du tumulte de la ville aux gratte-ciels et somptueux panoramas que notre héros voit à travers sa voiture volante (qui a parlé de clichés ?). Mais sincèrement, à moins de 25€ le jeu, nous serions bien aigris de cracher dans la soupe, même si l’aventure n’est pas bien longue à ce prix-là.

Résumé de notre test de Nobody Wants to Die

Nobody Wants to Die est peut-être l’une des petites surprises de cette année. Narrativement, le premier jeu de Critical Hit Games s’avère très immersif et implique beaucoup le joueur avec son univers Cyberpunk visuellement somptueux, et son histoire d’enquête policière sur fond de manipulations politiques et autres questionnements et remise en questions sur l’immortalité. Le tout est servi par une brochette d’acteurs largement impliqués sur le plan vocal.

Mais si le jeu est une réussite totale sur le plan purement narratif, il en propose le minimum syndical en ce qui concerne le gameplay. Les phases d’enquêtes sont, pour ainsi dire, on ne peut plus guidées, et les interactions avec cet univers, si riche et visuellement beau, sont extrêmement limités. Si un système de dialogues est bien proposé, celui-ci n’impact que les tout derniers instants du jeu. Pas forcément de quoi renouveler indéfiniment l’expérience. Néanmoins, à moins de 25€, ce serait une énorme erreur que de passer à côté, même si l’expérience n’excède pas les 6h de jeu.

Nobody Wants to Die est disponible sur PS5, Xbox Series X et PC via Steam depuis le 17 juillet 2024.

Les points forts

  • Visuellement somptueux, surtout pour une petite production
  • une écriture soignée et impactante pour un récit haletant
  • Les mécaniques de reconstructions des scènes, très sympas sur le plan ludique et visuel
  • Le doublage (anglais uniquement) très réussi
  • des fins différentes selon les choix de dialogues
  • Le petit prix (25€)…

Les points faibles

  • Les phases d’enquêtes qui guident beaucoup trop le joueur
  • La musique omniprésente
  • Des interactions limitées avec les décors
  • Des choix de dialogues qui n’impactent que les dernières minutes
  • …qui va avec la durée de vie, assez courte (moins de 6h en prenant son temps)

Concord : notre avis sur la bêta

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Concord, nouveau jeu service estampillé Playstation Studio jouant dans la cour des Hero Shooter, peut-il s’imposer dans un milieu presque saturé et avec un modèle économique allant à l’encontre des coutumes désormais en place ? Après près de 20h passés entre la bêta ouverte et fermée, on peut au moins dire qu’il a quelques arguments à défendre.

Un modèle économique qui ne Concord pas

C’est peu dire que nous étions assez refroidis en mai dernier, lorsque pendant le PlayStation Showcase, cette sublime cinématique digne des Gardiens de la Galaxie laissait place à ce qui se révélait être un énième Hero Shooter. Mas bon, tout à priori mis de côté, Sony a décidé de montrer ce que sa nouvelle bête avait dans le ventre en donnant accès à 2 bêtas. Une première qui avait lieu le week-end dernier et réservé aux possesseurs d’un compte PSN et une seconde, ayant actuellement cours et se finissant ce 21 juillet.

Et avant même que l’on parle du contenu et de nos impressions, il faut que l’on parle de nos doutes en ce qui concerne le modèle économique choisi. Puisque contrairement à la quasi-totalité de ses congénères, Concord sera payant à l’achat, moyennant la modique somme de 40€ pour en profiter. Ce n’est pas tant de savoir si le contenu sera à la hauteur, mais dans un milieu où les Overwatch 2 et autres Valorant optent pour le F2P en ayant déjà installé les bases depuis longtemps, comment se démarquer avec un titre payant à l’achat ? Question épineuse à laquelle seul le suivi répondra.

Beta Concord PS5 gameplay

Des modes efficaces qui ne réinventent pas la poudre

Concord propose différents modes de jeux, allant des éliminations aux couvertures de zones, qui consistent comme le nom l’indique à couvrir une ou plusieurs zones prédéfinies. Parmi elles, on retrouve par exemple un mode qui consistera à capturer un minimum de 2 zones sur 3 pour faire gagner des points, ou encore un mode dans lequel il faut emmener un « coursier bleu » dans une des zones du jeu avant de le protéger jusqu’à la fin de l’extraction.

Pour les modes éliminations, on en retrouve 2 dans cette bêta, la différence étant que dans l’un des 2 modes, il faudra récupérer les cartes primes laissées par le corps de nos ennemis pour faire monter les points. Sachant qu’il est également possible de récupérer celles de nos alliés pour empêcher l’équipe adverse de marquer. En somme, ce sont des modes classiques, mais ce n’est pas grave, car ils restent efficaces et assez permissifs et surtout, ce n’est pas là que le Hero Shooter de Firewalks cherche à se démarquer.

Un casting hétéroclite

Comme dans tout Hero Shooter qui se respecte, Concord propose donc des affrontements en 5v5 et en PvP avec un casting de 16 personnages ayant chacun leurs propres armes et compétences, à raison de 2 par héros. Si à l’instar d’Overwatch, on retrouve d’une certaine façon la traditionnelle compo DPS-Heal-Tank, il n’y a pas de rôle-queue, tout du moins dans cette bêta. Mais tous les personnages semblent pensés pour avoir un poil de polyvalence par rapport à leurs rôles.

Un aspect notamment rendu possible grâce aux capacités d’esquives et de sauts, plus ou moins prononcés, des différents protagonistes. Sur les esquives par exemple, notre palme revient sans conteste à IT-Z. Cette dernière, aussi survoltée qu’une Tracer laisse place à des leurres à chaque esquive qu’elle effectue, afin de prendre ses adversaires par surprises.

Concord encourage les variations

Concord inclut également une mécanique de création d’équipe. Cette dernière offre surtout l’avantage, lorsqu’elle est bien composée, d’obtenir des bonus d’équipes, dès lors que l’on joue différents héros à chaque manche. Un moyen comme un autre d’encourager les changements de rôles en cours de matchs.

Concrètement, vous commencez un match avec un personnage dont le bonus d’équipe est « Rechargement plus rapide », à partir de la manche suivante, tous les personnages que vous jouerez bénéficieront de ce bonus. Pensez-y au moment de jouer avec Haymar et son arc dévastateur…

Beta Concord PS5 menu création équipe

De plus, chaque personnage dispose de 2 variants supplémentaire à débloquer, chacun ayant un bonus passif différent. Lennox, exemple débloqué d’office dans cette bêta, est disponible en 2 versions : l’une peut recharger son arme avec une roulade d’esquive, l’autre possède plus de munitions dans ses pistolets interchangeables.

Notons enfin que les compétences des héros ne se rechargent pas toutes automatiquement, mais demandent souvent certaines actions à réaliser, qui diffèrent selon les héros. Un bon moyen en somme d’inciter les joueurs à être constamment en action.

Beta Concord PS5 Lennox

L’un des plus beaux Hero Shooter, mais un manque certain de personnalité

Concord est beau. C’est un point indéniable et oui, on peut s’avancer à dire que c’est peut-être même le plus beau sur le plan technique et graphique. Les personnages bénéficient d’animations très soignées, le gunplay est assez agréable à prendre en main, les cartes sont bien construites, avec ce qu’il faut de verticalité, zones ouvertes et autres petits corridors pour s’adapter à tous les profils.

On regrettera peut-être que pour le moment, tout ça manque quelque peu d’identité en termes de direction artistique. En ce sens, la narration promise par les développeurs pourrait apporter cette touche personnelle qu’il manque ici. En attendant, cette bêta permet de voir que le jeu a potentiellement de quoi séduire le grand public. En revanche, les amateurs de jeux de tirs purs et durs risquent peut-être de ne pas totalement trouver leur compte. Réponse le 23 août prochain sur PS5 et PC.

Test Cataclismo : Lorsque combattre la mort est un devoir !

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Sonnez les cloches, prenez votre armure et tendez l’oreille vers la forêt. Des murmures, des craquements, une silhouette, une meute, c’est l’heure. La nuée arrive, et celle-ci ne veut qu’une chose : votre extinction. Cataclismo est une expérience à faire au moins une fois dans sa vie. Alors, préparez-vous à plonger dans cet univers via notre test.

Vous seul décidez de comment se déroulera l’histoire de Cataclismo

Cataclismo est un jeu développé par Digital Sun et édité par Hooded Horse. Dans ce STR combiné avec de la construction, le gameplay est en tout point similaire à ce que proposent déjà des titres comme Company of Heroes ou encore Age of Empires. Votre jeu sera vu de façon aérienne, proposant une interface où chaque clic de votre souris sélectionnera et déplacera l’unité choisie. Nous plongerons dans des mondes différents où un brouillard de guerre remplira l’environnement, forçant le joueur à explorer pour se repérer.

Cataclismo image menu jeu

Une campagne saisissante plongeant le joueur dans une ambiance unique

Avant le début de votre histoire, vous devrez sélectionner parmi plus de 11 langues différentes et 5 niveaux de difficulté. Nous suivrons ensuite notre premier personnage, Héraut, dans sa quête de livraison d’un important message adressé à Dame Iris. Apparemment, une ville voisine serait sur le point d’être attaquée par une armée de monstres.

Il s’agit de Hogar, une cité fondée par les survivants du Cataclismo, un tragique évènement où la brume s’est emparée du monde. Celle-ci transforme tout être vivant en horrible créature que nous appellerons vermine. Durant cette aventure, vous guiderez plusieurs unités en traversant un monde délabré, entouré par la mort nous observant à chaque recoin. Seuls, ces ennemis seront inoffensifs ou presque. C’est lorsque la nuit tombe qu’il faut se méfier des hordes appelées ici nuées.

La présence constante, mais peu encombrante, de didacticiels s’avère d’une grande aide. De plus, il est important de préciser qu’il est primordial de construire dans Cataclismo. Posez un bloc après l’autre afin de créer des murailles puis des châteaux pour y placer vos soldats qui se défendront la nuit. Diverses unités se proposeront à vous, allant de l’archer tirant à distance au guerrier en combat rapproché. Vous pourrez ainsi former des ponts pour franchir des obstacles ou encore renforcer les ruines pour vous préparer à un éventuel assaut.

Une fois la campagne lancée, nous sommes plongés dans l’histoire à l’aide d’un récit raconté par un narrateur dans une ambiance captivante. Tout cela accompagné de musiques totalement en accord avec le thème du jeu. Une bande-son donnant au joueur l’envie simple de s’installer au fond de son siège pour écouter la mélodie avant de lancer sa mission. Une fois les premiers objectifs terminés, les suivants se feront via des destinations sélectionnables. Dans celles-ci, Dame Iris traversera les terres environnantes à la recherche de réponse quant à ce chaos.

Cataclismo offre également un mode infini et escarmouche

Dans Cataclismo, le titre ne se limite pas à la campagne du jeu, puisque parmi les modes de jeux disponibles, vous aurez également la possibilité de tester le mode infini. Dans ce dernier, une horde plus puissante que la précédente vient chaque jour frapper votre royaume. Il vous faudra alors survivre chaque nuit en affrontant un maximum de vagues, afin de débloquer des points que vous pourrez dépenser pour des renforts ou des ressources de constructions.

Dans le mode escarmouche, c’est un total de 4 nuits qu’il faudra tenir. Pour ce faire, sélectionnez un niveau parmi tant d’autres au lancement du mode, puis partez à l’exploration à la recherche de ressources. Une fois que le soleil se couche, faites face aux nuées qui s’abattront aux murs que vous aurez construits. Agrandissez votre zone, augmentez la taille de votre armée et consolidez vos défenses pour ne plus être vulnérable !

Un mode éditeur pour toute âme créative

En effet, Cataclismo offre aux joueurs la possibilité de créer ses propres niveaux ! Cela donne un avantage conséquent au jeu, car cela implique la sortie d’un Workshop sur l’application Steam. Ceci permettra aux joueurs de publier leurs créations en ligne et de télécharger celles des autres ! La prise en main est facile et peu complexe. Nous avons nous-même réalisé une petite carte avec les moyens proposés par le mode.

Le résumé de notre test sur Cataclismo

Lorsqu’on le voit en vitrine, on ne s’attend pas spécialement à être autant stupéfait par le titre de Digital Sun. Pourtant, c’est avec passion que l’on plonge dans l’histoire du jeu afin de découvrir les origines du Cataclismo. À cela s’ajoute une bande-son agréable à l’écoute, un gameplay aux petits oignons, facile à prendre en main et une durée de vie qui dépasse les 10/15h selon l’histoire et les modes en complément.

S’il fallait citer un défaut, car personne n’est parfait, ce serait le manque d’un codex/bestiaire permettant d’avoir les informations sur les différents types de monstres, soldats et bâtiments. En effet, quelqu’un qui lance directement un mode escarmouche ou infini sans passer par la campagne n’aura pas connaissance des différents types de vermines à venir ou de l’utilité des bâtiments. Il serait super d’avoir un onglet extra au menu permettant d’avoir les renseignements sur chaque être du jeu.

Cataclismo sera disponible le 22 juillet 2024 sur PC via la plateforme Steam

Points forts :

  • Une bande-son en accord avec le thème du jeu
  • Un gameplay facile à prendre en main
  • Langage français disponible
  • Plusieurs modes à dispositions
  • Didacticiels utiles et peu envahissants
  • Plusieurs niveaux de difficultés possibles

Points faibles :

  • Manque d’un codex/bestiaire (optionnel)

Kingdom Come : Deliverance 2 offert pour certains

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Plusieurs personnes ont eu le plaisir de recevoir un mail contenant une clé du futur Kingdom Come : Deliverance 2.

Une belle surprise pour les contributeurs de Kingdom Come : Deliverance

Le premier opus, Kingdom Come : Deliverance avait vu le jour grâce à une campagne de financement participatif. Originellement, le jeu devait sortir en plusieurs épisodes. Warhorse Studios n’a finalement pas eu le temps ni les moyens de faire un jeu d’une telle envergure. Malgré tout, grâce à la réussite du premier jeu, ils travaillent actuellement sur la suite. Ils ont donc décidé que ce nouveau jeu peut être considéré comme un nouvel épisode qu’ils avaient promis. Pour remercier les backers de leur soutien, ils offrent donc le jeu pour les rangs de financement : Duc, Roi, Empereur, Vanceslas le paresseux, Pape, Illuminé et Saint.

Kingdom Come : Deliverance 2 devrait être disponible d’ici la fin de l’année et sera disponible sur PC, PS5 et Xbox Series.

La mise à jour 5.0 de No Man’s Sky change radicalement la face du jeu

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Plus de 8 ans après un lancement qui n’avait alors pas répondu aux attentes démesurées, No Man’s Sky ne compte pas lâcher son suivi exemplaire. En témoigne sa toute dernière mise à jour, intitulée Worlds Part 1, qui offre notamment une énorme refonte visuelle et technologique. Et ce n’est qu’un début…

Grosse vague d’améliorations pour No Man’s Sky

À son lancement en 2016, No Man’s Sky s’avère être une déception monumentale. Si la technologie procédurale tient ses promesses sur le papier, c’est une tout autre paire de manche manette en main, avec des biomes qui laissent perplexe malgré leurs variétés et des errements graphiques et techniques difficilement pardonnables. À cela s’ajoutait un gameplay assez pauvre et vous obteniez la recette parfaite pour la déception du siècle.

Mais 8 ans plus tard, la donne a changé. Malgré les coups de pressions, Sean Murray, le créateur du jeu qui aura entre temps appris à mesurer ses interventions, n’a pas lâché le morceau. Aujourd’hui, grâce à plusieurs centaines de mises à jour et améliorations, le titre d’Hello Games est désormais à la hauteur de ses promesses initiales. Et avec l’énorme mise à jour 5.0 qui vient de débarquer, c’est tout un monde qui est refait.

No Man's Sky Worlds Part 1 vol ocean

Un avant-goût de Light No Fire

Intitulée Worlds Part 1, cette énorme mise à jour apporte entre autres de nouveaux éléments de gameplay, ainsi qu’une nouvelle expédition, inspirée, au choix, de Starship Troopers ou de Helldivers 2. Mais plus important encore, elle apporte énormément d’améliorations visuelles et autres bouleversements technologiques.

En effet, tout d’abord, le rendu de l’eau est considérablement amélioré, avec également un comportement de vagues plus accrus suivant la météo et le jeu autorise à présent à amerrir. Les reflets ont par ailleurs été revus, notamment ceux des différents soleils.

De nouveaux écosystèmes et autres biomes font leurs apparitions, dont des planètes avec des îles flottantes, façon Tears of the Kingdom. On note aussi de nouvelles surfaces sur certaines planètes. Les cieux ont également droit à leur traitement, avec de nouvelles palettes de couleurs et des nuages qui ont fait l’objet d’une refonte volumétrique complète.

De l’aveu de Sean Murray, toutes ces nouveautés sont aussi un moyen de tester en avant-première certaines technologies qui seront présentes dans Light No Fire, le nouveau jeu, on ne peut plus ambitieux du studio, actuellement en développement. Comme son « Part 1 » le suggère, cette mise à jour Worlds, devrait se poursuivre au cours de l’été et est désormais disponible sur PS5, PS4, Xbox Series, Xbox One et PC. Pour retrouver le patch note complet, vous pouvez vous rendre juste ici.

Soluce Fortnite : quêtes semaine 8, chapitre 5, saison 3

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Les nouvelles quêtes hebdomadaires viennent d’arriver. Toutes les semaines, Epic Games amène son lot de nouvelles missions pour booster vos XP. On vous montre comment réussir facilement les cinq nouvelles quêtes de la saison 3, semaine 8 du chapitre 5 dans notre soluce de Fortnite. Vous pouvez retrouver les quêtes de la semaine précédente ici ainsi que celles du récit intitulé « Q.G des Pois » ici.

Soluce Fortnite chapitre 5, saison 3 : quêtes de la semaine 8

  • Eliminer des joueurs avec un pistolet ou un pistolet-mitrailleur

Récupérez un pistolet ou un pistolet-mitrailleur et éliminez 4 ennemis avec pour valider la quête.

  • Modifier un véhicule moins de 60 secondes après avoir atterri depuis le bus de combat

Mission assez simple, dirigez-vous vers les points indiqués, tomber sur un véhicule et prenez-en le contrôle. Foncez ensuite sur une caisse de modification pour terminer cette mission.

  • Fouiller des coffres

Pour réaliser cette quête, rien de plus simple : fouillez 25 coffres sur la map pour la terminer.

  • Toucher plusieurs adversaires avec les gantelet nitro en une seule partie

Récupérez des gantelet nitro qui sont trouvable partout sur la carte et touchez 3 adversaire dans une seule partie avec pour terminer la quête.

  • Infliger des dégâts à des adversaires avec un fusil à pompe

Récupérez un fusil à pompe dans un coffre ou par terre et infliger 1000 de dégâts à des joueurs pour valider cette quête.

On se donne rendez-vous pour le prochain tuto Fortnite lors de nouvelles quêtes hebdomadaires. Ce sera pour la semaine 9 de cette prochaine saison du chapitre 5. Elles seront disponibles le 23 juillet 2024.