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Lost Records offert dans le PS Plus Extra et Premium

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Le premier épisode de Lost Records : Bloom and Rage, dont la sortie est prévue le 18 février, sera inclus à son lancement dans le catalogue PS Plus Extra et Premium de Playstation. Une bonne nouvelle pour celles et ceux qui espéraient découvrir le nouveau jeu narratif de Don’t Nod à moindre frais.

Don’t Nod et Sony signent un accord pour Lost Records : Bloom and Rage

Si vous êtes inconditionnels des jeux narratifs et de Don’t Nod, à qui l’on doit les 2 premiers Life is Strange ou plus récemment Jusant, vous devez certainement attendre avec impatience Lost Records : Bloom and Rage, leur nouvelle aventure narrative. Mais si vous pensez que votre porte monnaie risque de ne pas supporter le poids de ce mois de février qui s’annonce chargé, alors cette nouvelle devrait vous ravir : le jeu sera inclus day one dans le PS Plus extra et Premium.

Dans un communiqué de presse, l’éditeur/développeur français a en effet annoncé avoir signé un partenariat avec Sony afin de renforcer le marketing autour du jeu. Ce qui a donc permis de voir Lost Records intégrer le catalogue PS Plus Extra et Premium. Par ailleurs,  les abonnés au PS Plus Essential pourront tout de même bénéficier d’une réduction de 10% sur le jeu et auront jusqu’au 4 mars pour en profiter.

Pour rappelle, Lost Records Bloom and Rage sortira en 2 épisodes. L’action se déroulera dans la petite ville fictive et en apparence paisible de Velvet Cove, dans le Michigan et tournera autour d’un secret mystérieux ayant mené à la dissolution d’un groupe de jeunes amies durant l’été 1995, avant que ce même secret ne les réunissent à nouveau 27 ans plus tard. L’aventure de déroulera ainsi sur 2 temporalités.

Lost Records : Bloom and Rage Tape 1 sortira le 18 février 2025, puis Tape 2 le 15 avril 2025, sur PS5, Xbox Series X|S et PC.

Tides of Annihilation : la Chine brille au State of Play

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L’une des annonces fortes du dernier State of Play etait sans conteste celle de Tides of Annihilation. Dans ce nouveau jeu made in China, qui commence à avoir le vent en poupe depuis un certain Black Myth Wukong, c’est une aventure cette fois-ci inspirée des légendes Arthuriennes que nous propose de vivre Eclipse Gow Games, le studio derrière le projet.

Tides of Annihilation : nouveau AAA chinois en vue

Il faut bien le dire, depuis le succès de Black Myth Wukong, le jeu vidéo Chinois jouit d’une aura bien plus importante, tant auprès des joueurs que des professionnels de l’industrie. Et à moins d’un faux pas, Tides of Annihilation semble bien parti pour être le prochain titre qui va marquer cette tendance. Le jeu a été présenté lors du dernier State of Play et difficile de rester de marbre face à cette nouvelle proposition qui s’annonce épique.

Dans cette aventure, qui semble mixer un gameplay dynamique façon Stellar Blade, dans des décors inspirés des légendes arthuriennes, nous incarnerons Gwendolyn, seule survivante d’un Londres ravagé par les forces obscures d’une ancienne cité médiévale dont les échos vont cohabiter avec les ruines de la Capitale anglaise.  Pour autant, Gwendolyn ne sera pas seule pour affronter les forces mystérieuses qui l’attendent, puisqu’elle pourra compter sur le soutien des Chevaliers de la Table Ronde.

Tides of Annihilation- screenshot trailer State of Play

Les Chevaliers de la Table Ronde à l’honneur

Si le système de combat à un dynamisme sorti tout droit d’un Devil May Cry,  il a toutefois sa propre originalité.  Celui-ci nous permettra en effet de faire appel à 2 Chevaliers, qui apparaîtront sous forme d’echo et nous assisteront au combat. Pour autant, pas question de rester passif. Selon les développeurs,  l’idée sera de proposer un système de jeu coopératif dans une expérience solo. Restera donc à voir comment cela se matérialisera manette en main. Si ce système est prometteur, c’est surtout la claque graphique et artistique que l’on a avant tout retenu.

Eclipse Glow Games, nouveau venu néanmoins composé de vétérans issus entres autres de chez Sega et Ubisoft, semble avoir fait un travait d’orfèvre avec le moteur Unreal Engine 5. Tides of Annihilation devrait aussi proposer son lots de moments épiques, notamment lors de phases de combats sur des statues aussi énormes que des grattes-ciels. Pour le moment, aucune date de sortie n’a été annoncée mais les équipes nous donnent rendez-vous au cours des mois à venir pour plus d’informations. Le jeu est néanmoins prévu sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.

Mindseye : le GTA futuriste de l’ancien directeur de GTA se montre au State of Play

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Mindseye,  le nouveau jeu d’action/aventure de Leslie Benzies, ancien directeur créatif notamment sur GTA 5 et Red Dead Redemption, s’est dévoilé plus en détail lors du State of Play à travers 2 vidéos, et en prime une fenêtre de sortie.

Mindseye sortira cet été

Annoncé il y a maintenant plusieurs années, Mindseye était avant tout pensé comme une expérience incluse dans le projet Everywhere, sorte de Fornite du futur dont ont vous laisse apercevoir les tenants ici. Mais les plans ont changé entre-temps, puisque conscient du potentiel de ce « jeu dans le jeu », les équipes du studio Build a Rocket Boy ont décidé d’en faire un jeu AAA à part entière.

Mindseye screenshot officiel playstation blog

Dans ce GTA like futuriste, nous incarnerons Jacob Diaz. Cet ancien soldat s’est vu doté d’un implant neuronal, Mindseye, et doit depuis composer avec des morceaux de visions d’une mission dont il n’a plus le moindre souvenir, mais lui vaut d’être traqué par une mystérieuse organisation. Vous l’aurez compris, le pitch lorgne davantage du côté de Cyberpunk 2077. En revanche, ce devrait être, avec l’identité visuelle, le seul rapprochement. Mindseye ne sera en effet pas un RPG mais bien un jeu d’action à la 3ème personne, façon GTA.

On y retrouvera donc des phases de shoot à la GTA, à pied ou en voiture et notre héros pourra également utiliser des drones pour marquer la position de ses ennemis. Et pour pouvoir juger du potentiel du jeu, ce n’est pas un, mais deux trailers que nous ont offert le studio hier soir, lors du State of Play, avec en prime, une fenêtre de sortie. Et l’attente ne devrait pas être excessivement longue puisqu’il est annoncé pour le courant de l’été sur PC, PS5 et Xbox Series X|S

Hell is Us s’offre un trailer et une date de sortie au State of Play

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Un nouveau trailer plutôt cryptique a été dévoilé pour Hell is Us durant le dernier State of Play. Le jeu de Rogue Factor, presenté comme un Soul’s Like sortira le 24 Septembre prochain et proposera un monde semi-ouvert, où les joueurs devront trouver leur chemin.

Hell is Us : trouvez votre chemin dans l’enfer de la guerre civile

Annoncé en 2022, avant de refaire parler de lui en 2024, Hell is Us s’est de nouveau dévoilé hier durant le State of Play. Le nouveau titre de Rogue Factor, chapeauté par le directeur créatif de Deus Ex : Mankind Divided a en effet eu droit à un trailer énigmatique,  dont on ressent notamment les influences de titres tels que Alan Wake ou Death Stranding. Tout ça dans un jeu présenté comme un Soul’s Like et prenant place dans un monde semi-ouvert.

Hell is Us prendra place dans un pays fictif déchiré par une guerre civile. Nous y incarnerons Remi, un soldat de la paix, qui tentera de retrouver ses parents, et ce alors que le pays est aussi en proie à un évènement surnaturel, après lequel d’étranges créatures sont apparues. Il s’agira d’un jeu action à la 3ème personne et le titre devrait se démarquer avec une absence totale d’ATH.

En effet,  les créateurs du jeu ont dit s’être inspiré de leurs influences des années 90 pour proposer une expérience unique. Ainsi, aucun marqueur, ni aucune boussole ou carte ne sera de la partie. Nous devrons avancer en suivant exclusivement notre instinct, grâce à un level design qui s’annonce très particulier, et dont on pourra jauger la teneur à la sortie.

Hell is Us sortira le 24 septembre 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S

Sonic Racing Crossworlds annoncé au State of Play

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Sega a annoncé Sonic Racing Crossworlds durant le dernier State of Play. Entre ciel, terre et mer, Sonic et toute la team racing rouleront à vive allure à travers les dimensions, comme on a pu le voir dans le trailer présenté pour l’occasion.

Sonic Racing Crossworlds roule à travers les mondes

6 ans après Team Sonic Racing, le hérisson supersonique et ses compagnons reviennent pour un nouveau jeu de course qui s’annonce toujours aussi survolté. Dans Sonic Racing Crossworlds, nous pourrons nous affronter dans des courses effrénées qui nous entraîneront successivement entre ciel, terre et mer grâce à une évolution dynamique des circuits.

Mais la nouveauté majeure de cet épisode devrait être les rings de transfert. Ceux-ci seront des portails dimensionnels,  à l’image des rings dans les films, qui permetteont de se téléporter durant la course dans un tout nouvel univers. Toutefois, seul le joueur en tête de course pourra décider quel « crossworld » emprunter à la fin du 1er tour et tous les joueurs s’y retrouveront alors

Pour le moment, nous n’avons pas de date de sortie mais si le jeu vous fait de l’oeil, vous pouvez tenter votre chance et tester le jeu en avant-première. Pour ce faire, il vous suffit de vous rendre sur ce lien et de vous inscrire, en espérant que votre candidature soit retenue par Sega. Vous avez jusqu’au 19 février pour déposer votre candidature et les sessions de tests débuteront le 21 février.

Sonic Racing Crossworlds sortira en 2025 sur PC, PS5, PS4, Xbox Series X|S et Nintendo Switch.

Test Kingdom Come : Deliverance 2 : Une quête inoubliable

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Pour ce deuxième opus de Kingdom Come : Deliverance 2, développé par Warhorse Studios et édité par Plaion et Deep Silver, vous incarnez à nouveau Henry et reprenez là où le jeu nous laissait précédemment. Pour des raisons de spoilers, nous ne parlerons pas de l’histoire jusque-là. XVe siècle, vous devez vous rendre au château de Trosky pour discuter d’un traité important avec le châtelain de Berg. Rejeté comme un simple manant, vous allez devoir tout faire pour vous entretenir avec lui. Est-ce que le jeu est un succès ? Découvrez notre avis avec ce test de Kingdom Come : Deliverance 2.

Un gameplay digne d’un roi

Le gameplay est tout simplement génial pour qui aime les actions précises et plus lentes. En effet, il est bon de signaler que Kingdom Come 2 : Deliverance, tout comme le premier, n’est pas un GTA médiéval. Ni même un RPG dans le sens habituel. Il se rapproche plutôt du RPG de simulation. Aucune magie, pas de sauvegardes toutes les minutes et les actions sont précises et réalistes. C’est donc un jeu et gameplay brillant pour qui aime un jeu plus posé et historique.

Des quêtes aux fins multiples

Pour autant, les quêtes sont prenantes et épiques. Vous avez généralement plusieurs manières de jouer une mission. Elles sont également faciles à louper ou à obtenir une « mauvaise » fin selon vos attentes. En effet, vous devez souvent passer des tests de compétences qui peuvent être vraiment difficiles à passer et à augmenter. Et la plupart du temps, si vous ne mourrez pas, la quête se terminera simplement d’une façon indésirable. Il ne sera pas possible de la reprendre sauf si vous aviez sauvegardé avant. Par ailleurs, la sauvegarde est particulière dans ce jeu. Le jeu sauvegarde lorsque vous quittez ou que vous terminez une quête/étape. Pour sauvegarder vous-même, il faudra se procurer du Schnaps du Sauveur, chose peu aisée au début.

Mais ce n’est pas tout, vous avez une réputation auprès de clan et personnages. En fonction de celle-ci, vous serez plus ou moins apprécié dans la ville et les prix vont changer en votre faveur ou défaveur. Vos actions comptent évidemment. Si l’on vous prend à voler ou vous introduire chez quelqu’un, la réputation diminuera. En plus de cela, lors des quêtes, vous avez souvent des choix de dialogue. Si vous ne souhaitez pas aider quelqu’un qui vous le demande, votre réputation pourrait en prendre un coup. L’inverse vous permettra d’être apprécié de tous. Si vous passez un test de compétence qui loupe, la personne pourra penser que vous lui manquez de respect ou lui mentez. Il est parfois plus judicieux de prendre le choix moins avantageux pour vous, mais qui ne vous fera pas perdre en crédibilité.

Test Kingdom Come : Deliverance 2 : Activités en folie

Une grande force du jeu est également son nombre d’activités en plus des quêtes. Vous pouvez chasser, participer à des concours d’archerie, d’armes, de combats à mains nues, fabriquer des armes à la forge, cueillir des plantes, fabriquer des potions et bien d’autres. En plus des quêtes principales, les quêtes secondaires sont innombrables. À cela, il faut ajouter les tâches et nouvelles activités. Sachant que pour certaines activités, il faut avoir un bon niveau et donc y consacrer pas mal de temps. Vous n’aurez donc que l’embarras du choix.

La forge permet de créer ses propres armes. Avec les bonnes augmentations, elles seront plus performantes que celles que vous achetez. L’autre avantage est bien sûr l’économie réalisée en les faisant vous-même. Enfin, vous pouvez également les revendre. Le mini-jeu associé est réaliste et très sympathique. Vous devez chauffer l’arme à la bonne température et taper dessus avec une certaine force et sur toute l’envergure de la pièce métallique travaillée.

L’alchimie permet beaucoup de choses, potions pour se soigner, parfum pour plus de charisme, décoction contre la gueule de bois, Schnaps du sauveur, savon, poisons et autres. Il vous faudra des plantes pour vos recettes. Vous pouvez les cueillir ou les acheter auprès des herboristes. Le mini-jeu est très complet. Vous devez suivre une recette à la lettre et utiliser des herbes fraîches pour avoir les meilleures potions possibles. Il faut chauffer en suivant les instructions, mettre un certain nombre de plantes, dans un certain ordre. Il faut parfois broyer les plantes ou distiller la solution. On a vraiment la sensation de faire de l’alchimie précise.

Test Kingdom Come : Deliverance 2 : Des combats chevaleresques

Les combats sont bien sûr un aspect primordial du jeu. Peu importe vos activités, vous serez amené à combattre à un moment ou un autre. À main nues, avec des armes à distance ou des armes de corps-à-corps. Votre style de combat sera aussi développé et décidé par votre allocation de points de compétences. Au corps à corps, les différents types d’armes permettent des types de dégâts différents.

Les combats se veulent également réalistes. Vous pouvez attaquer dans plusieurs directions, en fonction de votre type d’arme ou si vous portez un bouclier. Vous pouvez esquiver, bloquer ou faire un coup de maître. Chaque technique a son avantage et sa difficulté. Vous pouvez bloquer parfaitement ou effectuer un coup de maître à la place. Lorsque vous attaquez, la direction du coup et l’épuisement de l’adversaire ou vous-même joue énormément. Vous pouvez également débloquer des combos, mais ils ne sont pas toujours faciles à effectuer. Ce test de Kingdom Come : Deliverance 2 nous montre que les combats sont complexes mais justes et équilibrés.

C’est en forgeant qu’on devient forgeron

C’est bien simple, pour améliorer vos compétences dans le jeu, il faut pratiquer ce que vous souhaitez améliorer. Vous souhaitez améliorer vos armes à distances ? Participez aux concours d’archerie ou payez un entraînement auprès des pédagogues par exemple. L’équitation augmente en chevauchant, la fabrication en fabriquant des objets, votre compétence de maître-chien en éduquant votre chien, etc. Les pédagogues peuvent vous aider, mais vous ne pouvez leur demander qu’une leçon par PNJ et ils coûtent cher.

Lorsque vous augmentez vos compétences, ce n’est généralement que tous les deux niveaux que vous pouvez choisir un atout de la compétence. Vous avez généralement deux choix qui se débloquent et pouvez en choisir un jusqu’au deux prochaines améliorations de compétence. Certaines sont contraires à d’autres, vous ne pourrez donc qu’en choisir une des deux. D’autres se combinent et il sera préférable de prendre les deux ensembles. En finalité, le choix est vraiment important et chaque partie sera différente pour vous.

Une ambiance médiévale inimitable

Notre test de Kingdom Come : Deliverance 2 nous a permis de découvrir cette ambiance si particulière et géniale. Beaucoup de RPG medieval-fantasy possèdent une ambiance enchanteresse et magique. Ce n’est pas nécessairement le cas ici. Mais son réalisme et sa beauté donnent une ambiance à couper le souffle. Comme le jeu dépeint une fiction empreinte d’histoire, tout le paysage est réaliste et documenté. On y découvre une Bohême verte, luxuriante, avec de hautes herbes, des prés et beaucoup de forêts. Lorsqu’on se balade dans ces endroits, on a vraiment la sensation d’être dehors. C’est à la fois un bonheur, mais aussi un peu effrayant. Lorsque vous êtes en forêt la nuit, vous ne voyez rien, entendez des bruits, pouvez vous faire attaquer par des animaux sauvages ou des bandits, etc.

Test Kingdom Come : Deliverance 2 : Des villages vivants

Les villages et villes ont des tailles équivalentes à ce qu’elles étaient jadis. Nous découvrons également beaucoup de corps de métiers. Les PNJ sont nombreux, on peut parfois même les croiser dans des endroits inattendus. Lors des voyages rapides, il arrive régulièrement de se retrouver face à un événement. Ils peuvent être positifs comme négatifs et vous pouvez décider de vous y arrêter ou bien de tenter de les éviter. De plus, les villageois réalisent des tâches naturellement et discutent entre eux. Il est parfois possible d’entendre des anecdotes marrantes ou liées à vos actions ! Les lieux habités sont vraiment vivants et organiques.

Vos actions ont de réelles répercussions, parfois plusieurs villages plus loin. Les habitants vont avoir une vision différente de vous selon vos faits ou méfaits. Vous pouvez même être pendu si vous êtes allés trop loin et que vous avez été repérés. De plus, si vous arrivez en ville, sale et puant, les villageois ne l’apprécieront pas, ils vous le feront savoir et il sera plus difficile de les convaincre.

Une bande sonore immersive

Un point qui ressort de notre test de Kingdom Come : Deliverance 2 est l’ambiance. Les effets sonores sont précis et réalistes comme tout le reste du jeu. Les musiques sont géniales, façon médiévale évidemment. Elles sont parfois douces, servant plutôt de musique de fond, mais elles peuvent être aussi épiques et particulièrement mémorables. Elles ponctuent très bien le jeu. On peut donc dire que l’ambiance du jeu est elle aussi parfaitement réussie.

Conclusion du test de Kingdom Come : Deliverance 2 : Une énorme réussite

Il n’y a aucun doute, le jeu est précis et parfaitement maîtrisé. Warhorse Studios est une équipe passionnée bien décidée à livrer un jeu qualitatif à son public. La seule ombre au tableau est peut-être la ténacité et exigence demandée au joueur. En effet, il ne va pas falloir s’attendre à rouler sur tout dès le début ni à se faire rapidement de l’argent. Il existe des moyens plus ou moins faciles lorsqu’on connaît un peu le fonctionnement du jeu, mais cela reste globalement un jeu qui demande de la précision et une implication du joueur. Mais la récompense est à la hauteur de l’attente. Il est jubilatoire de réussir des combats contre un groupe de personnes, de monter petit à petit sa fortune. Tout simplement parce que le joueur l’a mérité et a travaillé dur pour ça.

Il faut se demander s’il est rédhibitoire pour vous de s’impliquer dans le jeu et de devoir parfois mourir ou finir une quête d’une différente façon qu’espéré. Si la réponse est non, vous allez adorer le jeu. Il est magnifique, il récompense le joueur et les choix de jeu sont infinis, avec de réelles conséquences. Pour conclure notre test de Kingdom Come : Deliverance 2, le jeu est exigeant et intransigeant, mais tellement gratifiant. La liberté est totale, les choix infinis et l’ambiance, stupéfiante.

Points positifs

  • Un jeu gratifiant
  • Un jeu posé
  • Une ambiance magnifique
  • Des quêtes mémorables
  • Un choix infini
  • Un contexte historique réaliste

Points négatifs

  • Un gameplay exigeant
  • Et intransigeant
  • Un jeu qui demande du temps et de l’implication

Kingdome Come : Deliverance 2 est sorti le 4 février 2025 sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series.

Test Civilization VII le retour du roi

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Annoncé au mois de juin 2024, Civilization VII n’a cessé de nous faire rêver en annonçant toujours plus grand. Pour cet opus, Firaxis Games a mis les petits plats dans les grands pour nous séduire, tout du moins en ce qui concerne sa promotion. Sachant que le sixième opus a peiné à convaincre son public, il était important pour le studio de redonner ses lettres de noblesse à cette licence. Le challenge est-il réussi ? C’est ce que nous allons découvrir dans un instant dans notre test !

 Attention au passÂge du temps

Comme dans tous les opus, vous avez la possibilité de choisir votre dirigeant, la taille du monde, ainsi que la difficulté et l’Âge auquel vous souhaitez commencer. Nous vous conseillons fortement par l’Antiquité, histoire de pouvoir profiter un maximum. Vos premiers colons s’installent et votre première ville émerge des entrailles de la terre. C’est parti, le jeu commence, sans oublier les tutoriels.

Civilization VII

Ces derniers vont à l’essentiel et arrivent petit à petit. Les néophytes pourront prendre rapidement leurs repaires. Quant aux vétérans, ils pourront avancer plus rapidement, retrouvant rapidement leurs marques. Les indications sont claires, faciles à comprendre pour un maximum de fluidité. L’interface est épurée ce qui permets aux suggestions d’être plus flagrantes.

Bien qu’accessible, Civilization VII reste technique, surtout lorsque l’on monte la difficulté. Dans le mode le plus facile, il est possible de se passer des alliances, mais dès que l’on souhaite corser les choses, elles deviennent vitales.

En haut à droite de votre écran, vous avez des objectifs à remplir. Une fois que tous sont accomplis, vous pourrez déclencher un âge d’or et vous pourrez en profiter au prochain âge grâce aux points d’Héritage. Il s’agit de points bonus vous permettant de partir avec de nombreux avantages lors de l’acte suivant. Attention, si aucun n’est accompli, votre progression s’en trouvera ralentie. Vous devrez rapidement compenser pour ne pas vous faire dépasser, voire raser. Si jamais vous pensez ne pas réussir votre objectif, vous pouvez tout à fait changer de ligne directrice au début du prochain âge.

L’influence est une partie cruciale dans Civilization VII

Caractérisé comme une nouvelle ressource, vous gagnez un certain nombre de point à chaque tour. Ces points sont pour le moins précieux. Ils vous permettent de négocier avec tous les dirigeants, même de bloquer une action que vous ne souhaitez pas. Terminé les négociations de manière illimitées. De plus, tout ce qui concerne l’espionnage se trouve désormais dans les fenêtres des dirigeants. Vous pouvez voler des technologies et des informations stratégiques aux alliés, tout en influençant leurs décisions internes, contre un certain nombre de point d’influence. Quoi qu’il en soit, sachez que vous n’aurez jamais assez de point pour être allié avec tout le monde.

Civilization VII

En cas de conquête que ce soit par l’extension des frontières, ou encore par la forçe, il vous faudra ce précieux sésame pour convertir les villes à votre pays. Ne nous dites pas qu’il suffit de stocker, car ce n’est plus possible. À chaque changement d’âge votre civilisation subit littéralement un reset pur et dur. Vos villes redeviennent des communes, vos troupes ne sont plus sauf quelques unités en place dans les villes. D’ailleurs elles ont le droit à des promotions gratuites. Même votre dirigeant change de bord. En effet, vous n’être plus limité à votre origine. Ainsi vous pouvez mixer différentes civilisations et donc pallier vos faiblesses ou renforcer ce qui fait votre force.

Civilization VII

D’ailleurs en parlant de commune… Dès que vous construisez une ville en dehors de votre capitale celle-ci devient automatiquement une commune. Elle s’étend rapidement et chaque ressource acquise par le lieu génère de l’or. En revanche, tout ajout en son sein demandera de débourser une somme de plus en plus conséquente. Au bout d’un certain moment, vous pourrez la spécialiser dans une ressource en particulier ce qui pourra grandement vous rapporter. Evidemment, si aucun de ces plans de vous plaît, vous pourrez toujours la convertir en ville moyennant encore une fois, une certaine somme. Plus votre commune est étendue, moins la conversion vous coûtera.

Commune Civ VII

Une mauvaise gestion et tout tombe à l’eau

Le management de vos villes a été facilité en ce qui concerne l’expansion. En effet, vous pouvez soit agrandir votre cité en quelques clics ou assigner un spécialiste à une case. Cette dernière action permet d’optimiser les ressources produites sur cette case. Vous ne pourrez pas vous étendre à l’infini, vous êtes limité au bout d’un certain temps. Cela dit ce n’est pas une fatalité, car d’un âge à l’autre il est possible de reconstruire sur ce qui a été bâti.

Ville Civ VII

C’est à ce moment-là que toute la gestion entre en jeu. Les catastrophes naturelles et potentiellement évitables. Les fleuves peuvent entrer en crue, détruisant tout ce qui se trouve à proximité. Des ouragans, cyclones ou blizzard peuvent également frapper. C’est la loi de la nature, vous ne pouvez pas y faire grand-chose mis à part réparer ce qui a été endommagé et vite. Si trop de quartier restent détruits trop longtemps, c’est la révolte. Construisez trop d’usine et autres bâtiments polluants, la montée des eaux ne vous loupera pas. Pas assez de bâtiments scientifiques, les épidémies frapperont sans relâche votre empire. Si vous n’avez pas assez d’unités militaires, vos rivaux vous attaqueront.

Pour couronner le tout, au deux tiers de l’âge dans lequel vous vous trouvez, vous aurez le droit à une période de crise. Vous ne pouvez pas l’éviter, juste limiter les dégâts autant que vous le pouvez. À l’heure où votre très chère rédaction écrit ce test sur Civilization VII, elle n’a pas encore eu l’occasion de voir tous les scénarios en question. Il peut y avoir des attaques répétées des cités-état, des guerres saintes et autres que nous vous laissons découvrir.

Civilization VII

La guerre, un élément important

Afin de vous soutenir dans les guerres pouvant vous nuire, une nouvelle unité fait son apparition : les commandants d’armée terrestre et naval. Les avantages sont nombreux, bien que peu utilisés par vos rivaux avec la difficulté la plus facile, ils n’hésiteront pas à en lancer en grande quantité en augmentant la difficulté. Ils peuvent regrouper jusqu’à 7 unités en une seule case. Ils boostent également toutes les troupes autour d’eux. À vous de gérer comme vous le souhaitez les troupes que vous désirez.

Les commandants ont un arbre de compétences. Au fur et à mesure qu’ils acquièrent de l’expérience sur le champ de bataille, ils gagnent des points à utiliser. Vous pouvez donc les adapter en fonction de vos besoins. C’est donc une véritable armée que vous aurez sous la main, facile à contrôler et pouvant être redoutable si vous faites les bons choix.

Civ VII Commandant

Malheureusement, la gestion est parfois chaotique avec l’interface. Certains menus volants cachent le panneau d’action des troupes, nous empêchant de savoir ce que l’on fait exactement. Le déplacement sur les cases est également compliqué avec la manette. Le joystick droit permet de bouger la caméra et le gauche de se déplacer de case en case, tandis que sur PC la souris fait tout. Si vous trouvez la zone que vous chercher, vous aller devoir tout refaire avec l’autre stick pour aller là où vous voulez. Quand c’est à l’autre bout de la carte, ça peut vite devenir frustrant. Donc si vous pouvez brancher une souris à votre console pour jouer plus tranquillement, faites le.

Civilization VII

Civilization VII personnalise son identité artistique

Le moins que l’on puisse dire, c’est que cet opus parvient à se personnaliser au niveau du visuel et semble avoir trouvé son équilibre. Alors que le sixième opus avait un côté plus cartoon, les développeurs ont décidé de reculer d’une version pour s’approcher d’un style beaucoup plus proche du cinquième épisode.

La première évolution qui nous saute aux yeux est l’évolution des villes. On la voit grandir, évoluer, s’étendre de manière très naturelle. Si l’on prend un moment pour zoomer sur ce qu’il se passe sous nos yeux, on peut apercevoir les détails qui constituent notre ville. Espace ouvert, monuments, temple, plus rien ne vous échappera à partir de maintenant.

Civilization VII

Au niveau de la bande-son, la musique générale est la même durant un Âge, la mélodie évoluant au fil de votre expansion. De plus, chaque civilisation a sa propre bande-son. Chaque leader parle sa langue natale et la musique change en fonction de votre interlocuteur lorsque le tableau des négociations s’ouvre.

Le résumé de notre test de Civilization VII

Civilization VII parvient à se moderniser tout en gardant ce qui fait de cette saga une force. On voit que les développeurs ont appris de leurs erreurs afin de les corriger en force. La nouvelle méthode de séparer distinctement les Âges et de faire un reset complet sur tous les empires est une technique intéressante. Paniquez pas, ce que vous avez construit reste. Sans oublier la possibilité de mixer un empereur avec plusieurs civilisations pour faire un gameplay un peu sur mesure. La stratégie n’a jamais été aussi au centre du gameplay. Une nouvelle ressource (l’influence) fait son apparition limitant ainsi les échanges politiques les rendant encore plus précieux. Le système militaire avec les commandants est également un véritable atout rendant la guerre plus palpitante que jamais.

Points forts

  • Une véritable évolution graphique et sonore
  • L’évolution entre chaque Âge
  • L’apparition des commandants d’armée
  • Une incidence concrète entre votre stratégie et l’état de votre empire
  • Un tutoriel simple et lisible

Points faibles

  • Une absence de tableau de statistiques pour les villes
  • Une interface utilisateur un peu compliquée à certains moments
  • Les déplacements entre les cases et la caméra à la manette

State of Play : Sony et Playstation nous donnent rendez-vous ce 12 février

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Conformément aux nombreux bruits de couloirs et autres indices,  un State of Play sera bien diffusé ce mercredi 12 février. Sony et Playstation nous donnent rendez-vous pour plusieurs annonces et d’infos sur leur futurs jeux. Quels sont les titres qui pourraient être présents lors de cette nouvelle édition ?

Un State of Play ce 12 février à 23h

C’est avec un State of Play qui s’annonce assez costaud que  Playstation nous donnent rendez-vous. À 23h ce 12 février, le constructeur fera la part belle à plusieurs de ses jeux à venir, et ce durant 40 minutes. On ne sais pas officiellement quels sont les jeux qui devraient être présentés, mais quelques-uns font office de candidats on ne peut plus probables. Parmi eux Metal Gear Solid Delta et Death Stranding 2.

Le premier à recemment été le dommage collatéral d’une indiscrétion du PSN, qui, non contentde dévoiler sa date de sortie, a aussi laissé fuiter la bande annonce preparée pour l’occasion et on ne voit pas quel autre meilleur moment pour la présenter, vu qu’elle est déjà prête. De son coté, Hideo Kojima a récemment montré sur son compte X être en train de travailler sur le montage d’un trailer pour Death Stranding 2, même combat. On peut là aussi espérer une date de sortie, même si la déception peut totalement être de mise.

Du reste,  nous n’avons aucun indice sur les titres qui seront présents mais on peut naturellement évoquer de gros jeux attendus, comme Ghost of Yotei, suite/spin off de Ghost of Tsushima. Un State of Play qui pourrait aussi faire de la place à Xbox, avec une date et un trailer dédié pour Indiana Jones et le Cercle Ancien,  dont la version PS5 devrait sortir ce printemps,  sans plus de précisions. Enfin, à peine remis du succès de son premier DLC,  From Software  pourrait aussi être de la partie avec Elden Ring Nightreign. On croise donc les doigts pour des surprises, et rendez-vous est pris demain soir à 23h.

Civilization VII : une version VR arrive ce printemps sur Meta Quest 3

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Attendu pour ce 11 février sur PC et consoles, Civilization VII arrivera également un peu plus tard sur Meta Quest 3. Et pour cette première incursion du célèbre jeu 4X dans nos casques VR, Firaxis fait le choix de mixer realitée virtuelle et augmentée.

Dirigez un VR-itable empire dans Civilization VII

C’est un peu la surprise du chef avant l’heure. Ce 11 février, Civilization VII débarquera sur PC, PS5, PS4, Xbox Series X|S, Xbox One et Nintendo Switch. Ce qui est déjà une excellente nouvelle pour les possesseurs de consoles, alors que le 6ème opus n’etait sorti sur consoles que 2 ans après sur Switch, et 3 ans après sur PS4 et Xbox One. Ce qui n’a pas empeché Firaxis de sortir un autre cadeau de sa hotte. En effet, le studio annonce avoir travaillé en secret sur une version VR. Et l’attente ne sera pas très longue, puisqu’il devrait sortir dans le courant du printemps.

Pour cette version de Civilization VII, qui sera exclusivement à destination des casques Meta Quest 3 et 3s, le titre utilisera à la fois la technologie AR et VR, pour offrir l’expérience la plus immersive possible et aussi la plus proche du jeu original. En somme, votre zone de jeu prendra la forme d’un grand plateau, comme la version classique, si ce n’est que vous pourrez vous pencher pour admirer vos troupes sous tous les angles.

Et celui-ci se trouvera soit dans un décor virtuel, soit dans votre propre chez vous, suivant que vous optiez pour la réalité virtuelle ou augmentée. Le plateau ne sera d’ailleurs pas le seul élément à poper chez vous, puisque outre les touches de commandes, vous pourrez également littéralement faire face aux autres dirigeants. En attendant, vous pourrez retrouver Civilization VII dès ce 11 février sur PC et consoles. Quant à notre test, il est actuellement en cours de rédaction et  devrait arriver sous peu.

Avowed tournera bien en 60 fps

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La directrice d’Avowed a confirmé que le jeu, nouveau RPG de Obsidian, proposera bien un mode 60 fps, parmi trois paramètres graphiques sur Xbox Series X. Confirmant ainsi des fuites qui annonçaient que le jeu était bien jouable dans ces paramètres. Pour la Xbox Series S en revanche, il faudra bel et bien se contenter d’un mode unique à 30 fps.

Une communication initiale maladroite

C’est le genre de sujet qui peut fâcher. Le fameux débat sur l’importance du 60 fps dans les jeux les plus modernes. Chacun à sa préférence et sur console, c’est un choix qui demande souvent des sacrifices, même si les différences visuelles sont souvent minimes. En ce qui concerne Avowed, le choix initial semblait être de proposer une expérience limitée à 30 fps, afin de privilégier les détails sur le monde, comme le Ray Tracing ou les effets visuels par exemple.

Le directeur artistique du jeu, Matt Hanson, avait même alors tenté de justifier ça en expliquant que « s’agissant d’un fps, il n’y a pas besoin de 60 images/secondes». Une communication qui sonne plutôt maladroite, il faut bien le dire. Mais peu après, Carrie Patel, la directrice du jeu, avait donné un peu plus de contexte aux propos énoncés, en précisant que le but n’était pas de se limiter aux 30 fps, mais de s’assurer que le jeu puisse tourner de manière stable en 30 fps, tout en cherchant le moyen de maximiser les performances.

Avowed tournera en 60 fps

Et il semble que le but a été atteint, puisque Avowed  proposera bien une option pour choisir ses préférences graphiques. Une option qui ne sera disponible que sur Xbox Series X, compte tenue des capacités bien en deçà de la Xbox Series S. Ces options, au nombre de 3, sont les suivantes :

  •  Mode qualité à 30 fps
  • Mode équilibré 40 fps (pour les téléviseurs équipés de VRR)
  • Mode performance à 60 fps.
  • Pour la Xbox Series S, un mode unique à 30 fps

II n’y a plus qu’a attendre ce 18 février, ou quelques jours avant, soit ce jeudi 13 février si vous avez opté pour la version Premium, afin de jauger des différentes performances du jeu. Le titre sera disponible également sur PC et inclus day one dans le Gamepass Ultimate.