Le PDG de Take-Two Interactive, Strauss Zelnick, s’est exprimé sur la polémique liée au prix de Red Dead Redemption. Selon ce dernier, la polémique n’a tout simplement pas lieu d’être et tente de le justifier.
Un excellent rapport qualité prix selon Take-Two Interactive
Annoncé en fanfare par des rumeurs de plus en plus insistantes, le retour de Red Dead Redemption a été confirmé ce 07 août. Mais en lieu et place du remake/remaster espéré par les fans, c’est un simple portage vendu au prix de 49€99 qui sera disponible à compter du 17 août prochain, sur Nintendo Switch et PS4. Si l’annonce a jeté un grand froid chez les fans, c’est surtout le prix qui revient dans les complaintes. Une polémique que Strauss Zelnick, PDG de Take-Two Interactive a tenté d’éteindre en s’exprimant sur cette épineuse question.
C’est ce que nous estimons être le prix le plus juste d’un point de vue commercial. le jeu est vendu avec l’extension Undead Nightmare, qui était un excellent jeu autonome lors de sa sortie. Nous pensons donc que c’est un excellent pack et un très bon rapport qualité-prix pour les consommateurs
Nous aurons tous notre opinion sur la question, tout comme nous l’avons à la rédaction. Mais si l’on regarde les choses concrètement, la politique tarifaire appliquée ici n’est guère différente d’autres éditeurs, au hasard Nintendo et leur portage Switch de Zelda Skyward Sword au prix fort de 60 €, alors même que le jeu ne faisait qu’appliquer un anecdotique filtre HD par rapport à son prédécesseur. Cela dit, le portage de Red Dead Redemption semble tout de même légèrement plus travaillé que celui de Zelda.
Rappelons également que ce portage n’est pas disponible sur Xbox Series/One car le titre profite déjà de la rétrocompatibilité de ces dernières vers les jeux Xbox 360, option 4K en bonus. C’est surtout en comparaison de ce fait que beaucoup de fans ont levé leur boucliers. Par ailleurs, ce portage n’est pas non plus prévu sur PC. Ce n’est donc pas cette fois encore que les pros du clavier/souris pourront arpenter les plaines de l’ouest sauvage aux cotés de John Marston, à l’inverse des heureux propriétaires d’une
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