La nouvelle saison de Fortnite est récemment sorti. La saison 2 est dédiée aux braquages. Comme toutes les semaines, Epic Gamessort ses nouvelles quêtes hebdomadaires pour son jeu Fortnite. Elles permettent, en les réalisant, d’augmenter ses XP. On vous montre comment réussir facilement les cinq premières quêtes de la saison 2, semaine 0 du chapitre 6 dans notre soluce de Fortnite. Retrouvez toutes nos autres solutions précédentes ici.
Soluce Fortnite chapitre 6, saison 2 : quêtes de la semaine 0
Récupérer les lingots à l’intérieur d’une chambre forte de banque
Il faut récupérer 800 lingots en étant à l’intérieur d’une chambre forte de banque pour valider la quête. Pour rentrer dans une chambre forte de banque, dirigez-vous vers les endroits indiqués sur la carte et trouver la porte du coffre. A l’aide des thermites (bâtons d’explosifs), qui sont trouvables dans les sac de braquages, vous pourrez après avoir éliminer des salves d’ennemis faire exploser la porte. A l’intérieur, vous aurez des lingots d’or à détruire pour récupérer les 800 comme convenue.
1 de 4
Recevoir des cadeaux de personnages en une seule partie
Recevez 2 cadeaux de personnages en interagissant avec pour terminer la quête.
1 de 3
Éliminer des adversaires en dehors de lieux-dits
Éliminez 3 adversaires en dehors de lieux-dits pour terminer la mission.
Infliger des dégâts à des boss
Infligez 500 de dégâts à des boss pour valider cette quête. Les boss apparaissent après avoir mis une thermite sur une porte de coffre de banque.
1 de 2
Ramasser des bénédictions ou des médaillons
Récupérez 10 bénédictions ou médaillons pour valider la quête. Vous pouvez en trouver dans les coffres ou les acheter avec des pièces spéciales (vitocoins) récupérables dans les coffres de banque. Vous pouvez ensuite les dépenser pour acheter une bénédiction dans les marchés indiqués sur la carte.
1 de 3
On se donne rendez-vous pour le prochain tuto Fortnite lors de nouvelles quêtes hebdomadaires. Elles seront disponibles le 25 février 2025.
Lara Croft fait son grand retour avec Tomb Raider IV-VI Remastered, une nouvelle tentative de raviver les souvenirs des fans de longue date. Mais derrière la promesse de rafraîchir ces classiques, des questions se posent : ces remasters parviennent-ils à faire honneur à la saga et à réconcilier les joueurs avec les défauts de l’époque ? On vous répond dans notre test.
Une nostalgie bien dosée, mais pas sans défauts
Après la sortie de la première compilation remasterisée des trois premiers jeux de la saga il y a un an pile (notre test ici). Aspyr Media et Crystal Dynamics ont désormais entrepris de moderniser les trois épisodes suivants, souvent jugés comme les moins appréciés par la communauté. L’histoire de Tomb Raider IV, V et VI est intimement liée à celle du studio Core Design, dont l’agonie créative s’est accélérée au fil de ces épisodes. Après l’énorme succès du premier Tomb Raider, les jeux suivants ont marqué un déclin évident, tant au niveau du gameplay que de la direction artistique. Tomb Raider IV : La Révélation finale (1999), Tomb Raider V : Sur les traces de Lara Croft(2000) et Tomb Raider VI : L’Ange des Ténèbres (2003) témoignent de ce passage à vide, où le studio se battait contre des contraintes de temps et des choix créatifs douteux.
Cette compilation remasterisée, qui reprend ces trois titres, s’inscrit dans un contexte de renouveau pour Lara Croft, mais également dans une période de transition difficile pour la franchise. En effet, entre le reboot des jeux, une série Netflix et des rumeurs autour de Crystal Dynamics, Tomb Raider IV-VI Remastered offre un regard nostalgique sur une époque révolue, tout en cherchant à réconcilier le passé avec les standards modernes.
1 de 3
La refonte visuelle : un lifting presque parfait
Les remasters de Tomb Raider IV-VI sont avant tout une célébration graphique des anciens jeux. Les textures ont été améliorées, les modèles de personnages redessinés et les éclairages rehaussés pour offrir une nouvelle vie aux mondes d’antan. Le mode de commutation entre les graphismes originaux et remasterisés permet de mesurer l’étendue du travail effectué, et pour les nostalgiques, c’est un véritable plaisir de redécouvrir ces environnements sous un jour plus moderne.
Toutefois, certains choix visuels sont surprenants. Les éclairages parfois trop sombres ou un étalonnage douteux altèrent parfois l’atmosphère originale, notamment dans Tomb Raider IV, où les jeux d’ombres étaient essentiels à l’ambiance mystérieuse du jeu. On se surprend même parfois à revenir aux graphismes d’origine pour avoir une meilleure vision de l’éclairage pour avancer dans le jeu.
Mais là où la déception se fait sentir, c’est du côté des cinématiques, qui restent figées dans leur état d’origine. Un vrai gâchis, car celles-ci auraient largement mérité un « Glow up » digne de ce nom, d’autant plus que la saga a traversé plusieurs générations de consoles.
1 de 6
Gameplay : moderniser sans trahir
Si les améliorations visuelles sont indéniables, le gameplay des remasters est plus sujet à débat. L’un des ajouts les plus notables est l’introduction de commandes modernes, semblables à celles des jeux de type TPS. Cela aurait pu être une bonne idée pour rendre les titres plus accessibles aux joueurs contemporains, mais la transition avec le level design original est loin d’être fluide.
Par exemple, Tomb Raider IVétait conçu pour des contrôles rigides, typiques des jeux de l’époque, et les nouveaux contrôles viennent perturber cette expérience. La gestion des séquences en jeep et en side-car reste particulièrement frustrante, un héritage des bugs d’origine qui n’a pas été corrigé.
Le gameplay est également marqué par la réintroduction de certains éléments, comme les doubles pistolets ou le système de furtivité, mais ces ajouts semblent insuffisants pour redonner à l’expérience toute sa richesse. Si certains joueurs apprécieront ces touches de modernité, d’autres regretteront la lourdeur persistante de certains déplacements, notamment dans L’Ange des Ténèbres, qui reste l’un des épisodes les plus difficiles à apprivoiser.
1 de 2
Une ambiance sombre et une histoire de transition
Ces trois épisodes marquent également un virage dans l’ambiance de la saga. Tomb Raider IV plonge les joueurs dans l’Égypte antique, avec des mystères et des artefacts mystiques, tandis que Tomb Raider V explore davantage le passé personnel de Lara. Cependant, c’estTomb Raider VI : L’Ange des Ténèbres qui cristallise toutes les attentes et déceptions de la franchise. Initialement conçu comme un renouveau radical, cet opus se heurte à de nombreux problèmes de développement et de gameplay. Le remaster tente de corriger certaines erreurs, mais la maniabilité reste toujours aussi rigide et les problèmes de caméra persistent.
Les fans de la saga trouveront sans doute leur bonheur dans les clins d’œil, les tenues alternatives pour Lara ou le mode photo amélioré, mais ces ajouts ne suffisent pas à combler les lacunes d’un gameplay qui peine à se réconcilier avec les attentes modernes.
Mention spécial tout de même à ce mode photo qui permet de prendre des clichés parfaitement cadrés avec notre héroïne dans plusieurs poses de notre choix.
1 de 3
Une résurrection incomplète
Ce remaster est donc un hommage à une époque révolue, mais il manque le petit plus qui aurait pu faire de cette compilation un véritable chef-d’œuvre nostalgique. Tomb Raider IV-VI Remastered séduira sans doute les plus fervents fans de la saga, mais il est difficile de voir en cette compilation un renouveau triomphal pour Lara Croft. La franchise mérite un renouveau, mais ce n’est peut-être pas dans cette réédition qu’il se concrétisera.
Côté bande-son : les musiques sont, soit trop absentes, soit exactement calquées sur le modèle d’origine. Une déception donc, dans la mesure où cet aspect aurait également mérité un lifting plus complet. On notera tout de même pour les puristes, le retour du doublage de Françoise Cadol en Lara Croft.
Les studios tentent d’ajouter une touche de plaisir supplémentaire pour ceux qui veulent revivre la magie des anciens jeux. Toutefois, les contrôles modernes, bien qu’optimisés, ne suffisent pas à effacer la nostalgie d’une époque où les déplacements rigides et les animations figées faisaient partie du charme de l’expérience. L’ajout du niveau bonus du Times restera appréciable mais le manque de contenu global pour une édition remasterisé nous laisse sur notre faim.
1 de 2
Notre avis sur le test de Tomb Raider IV-VI Remastered
En somme, Tomb Raider IV-VI Remastered est une oeuvre en demi-teinte. Un mélange d’hommage sincère et de défis difficiles à surmonter. Si le travail réalisé sur les graphismes et les ajouts de gameplay est indéniablement appréciable, la remasterisation peine parfois à convaincre totalement. Les remakes modernes et la nostalgie se heurtent à des limites de gameplay, de maniabilité et de structure de niveau qui, malgré de bonnes intentions, restent difficilement modifiables.
Ce qui aurait pu être un véritable chef-d’œuvre nostalgique se retrouve dans une position où il est à la fois un hommage aux anciens titres et un témoignage des difficultés à moderniser un jeu aussi iconique que Tomb Raider. Autant les anciens joueurs nostalgique de cette époque peuvent se laisser tenter pour cette deuxième compilation. Autant nous doutons clairement un attrait de la part des nouveaux joueurs malgré ce lifting de notre pilleuse de tombe reconnue. La franchise mérite assurément un renouveau, mais ces remasters rappellent que la magie de l’original n’est pas toujours facile à reproduire.
Tomb Raider IV-VI Remastered est disponible depuis le 14 février 2025 sur PC, PS4, PS5, Xbox One, Xbox Series et Nintendo Switch.
Ce n’est plus qu’une question de jours avant que le grand et puissant Monster Hunter Wilds soit disponible. À la demande générale, Capcomavait accordé aux joueurs deux dernières bêtapour que ces derniers puissent voir de quel bois se chauffent les monstres. On y a mis les mains une dernière fois avant le grand saut. Voici ce que l’on en pense.
Les premiers pas dans l’histoire
La première chose que nous voyons après la création de personnage, c’est la première cinématique du jeu, ce qui nous donne un petit aperçu de l’histoire qui nous attend. Certes, nous ne jouons pas tellement à cette licence pour sa narration, mais elle est toujours intéressante. Vous et votre équipe voyagez dans les Terres Interdites. Votre expédition a pour but de retrouver la tribu d’un jeune garçon affirmant venir du clan des veilleurs. Chose étrange, personne n’a entendu parler de ce peuple. De plus, le petit affirme que son village s’est fait attaquer par un monstre qui ressemblait à un spectre blanc (non ce n’est pas notre personnage).
C’est un peu tout ce que l’on sait pour le moment, ce qui n’est déjà pas mal. Rapidement, nous affrontons nos premiers bestiaux et là, nous attaquons les choses sérieuses, notamment pour les débutants. Comme dans tout Monster Hunter qui se respecte, vous allez devoir ajuster vos frappes pour faire en sorte que ces dernières tombent juste. Fort heureusement, Capcom est gentil avec les nouveaux venus. Il existe un mode désormais un mode Focus permettant d’afficher un réticule à l’écran pour ne pas perdre notre ennemi de vue. Bien qu’imposants ces fourbes sont rapides.
Au fur et à mesure que vous les attaquerez, vous causerez des dégâts, mais également des blessures. Le fait de s’acharner dessus rendra votre adversaire beaucoup plus fragile. C’est justement à cela que sert ce mode de visée.
Monster Hunter Wilds détient beaucoup de Seikret
Rapidement nous faisons la connaissance d’un volatile qui peut à lui seul changer la donne, le Seikret. Bien qu’il nous serve en premier lieu de monture, son atout se trouve ailleurs. Ils peuvent transporter une arme, en plus de celle que vous portez sur vous. Changez, vous pouvez le faire sur le dos, ou alors en faire la demande lorsque vous êtes à pied et votre second attirail vous sera directement apporté. De plus, il est capable de planer à partir de hauteur, ce qui vous permets d’avancer plus loin et surtout plus vite.
En plus de cela, nous avons noté que l’environnement est vraiment très interactif. En effet, les zones d’exploration sont vastes et découpées en sous-zone numérotée. Il n’y a aucune transition entre ces dernières ce qui vous permet de vous déplacer librement et surtout de combattre librement. Un monstre trop dur, la flemme, manque de temps ? Tout est là pour vous aider. Attirez votre proie dans des trous creusés par d’autres monstres pour la coincer. Provoquez d’autres créatures pour créer une confrontation titanesque entre deux prédateurs, rendez-vous dans des grottes pour faire tomber le décor… les solutions sont variées.
D’ailleurs, les animations sont également très intéressantes à observer, car vous pourrez rapidement constater qu’à force de blesser votre cible, cette dernière manifestera de plus en plus de fatigue, mais trainera également la patte en essayant de s’échapper. À partir de ce moment rien ne vous empêche de monter sur votre Seikret.
Notre impression sur la bêta de Monster Hunter Wilds
Que ce soit au niveau de l’aventure ou l’ajout de fonctionnalité, Capcom parvient à séduire les vétérans de la franchise, tout en incluant les nouveaux. L’arrivée de Seikret est un atout incontestable dans un gameplay qui veut se démarquer des autres tout en gardant ce qui est acquis. Malheureusement, en ce qui concerne les parties d’artisanats, augmentation d’armure et ce qui va avec, la bêta ne nous montre rien de concret. Nous ne doutons pas un seul instant que ce sera mis en place dans la version finale, le craft étant au cœur de la franchise, mais quelques exemples auraient été les bienvenues. Quoi qu’il en soit, nous attendons le jeu avec impatience afin de voir toute l’étendue des possibilités, ainsi que les autres biomes.
Annoncé à l’occasion du dernier State of Play, Metal Eden s’annonce comme un FPS nerveux, où le parkour et la verticalité promet de jouer un rôle crucial dans le gameplay, autant que les affrontements à la brutalité exacerbée.
Metal Eden : à core perdu dans la bataille
Metal Eden est le nouveau jeu de Reikon Games, studio polonais derrière Ruiner, twin stick shooter survitaminé en vue isométrique dans un univers cyberpunk. Avec Metal Eden, Reikon Games réaffirme son intérêt pour le style SF mais le fait cette fois au profit d’un fast fps plus traditionnel où les déplacements verticaux ne sont pas sans rappeler Titanfall 2.
Metal Eden prendra place dans un futur où l’humanité a entrepris une nouvelle vie parmi les étoiles et a placé sa conscience dans des systèmes de sauvegarde de psyché humaine, les Cores, afin d’être reconstruit une fois la destination atteinte, en l’occurrence ici, la cité orbitale de Moebius. Dans ce contexte, nous incarnerons Aska, une Androïde envoyée au coeur de cette cité, sauver les Cores de l’humanité, alors que la cité, source d’un grand mystère s’est également transformé en gigantesque piège
Le jeu promet de se démarquer avec un gameplay aussi nerveux que brutal, tout en faisant la part belle aux déplacements verticaux façon Titanfall 2 et tournera autour d’un système appelé Core-Ripping. Un système qui consiste à attraper le Core d’un ennemi et soit le réutiliser sur soi-même pour un coup de boost de santé, de force ou autre, soit de le renvoyer sur un ennemi afin d’occasionner de grands dégâts. Il nous tarde de voir si ce titre sera en mesure de tenir ses promesses.
Metal Eden sortira le 06 mai 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
Kingdom Come : Deliverance 2 étant un jeu qui se veut réaliste dans sa retranscription médiévale, l’argent (ou le Groschen en l’occurrence ici) est la ressource la plus importante dont vous puissiez avoir besoin. On vous donne ici les meilleures méthodes pour en obtenir de façon régulière dans ce guide de Kingdom Come 2.
Guide Kingdom Come 2 : Les meilleures méthodes pour obtenir de l’argent
Dans Kingdom Come : Deliverance 2, il existe de nombreux moyens de gagner du groschen, la monnaie du jeu, bien qu’en gagner beaucoup rapidement est loin d’être chose aisée. Encore plus si vous tenez à montrer patte blanche. Voici une liste non exhaustive des meilleurs moyens de gagner votre vie dans le jeu.
Réaliser des quêtes annexes
Évidemment, la base comme dans beaucoup de RPG consiste à progresser dans l’histoire et réaliser des quêtes annexes. La plupart des quêtes ne rapportent vraiment pas beaucoup d’argent, mais certaines offrent des sommes plutôt conséquentes. En revanche, dans la mesure où elles exigent d’avancer dans le récit, ce n’est pas nécessairement le plus adapté si vous souhaitez en gagner plus rapidement.
Parier aux dès
Celui-ci reste très risqué étant donné le caractère aléatoire. Mais jouer aux dès peut-être un moyen efficace de gagner pas mal d’argent assez rapidement. Vous pouvez trouvez des joueurs un peu partout, notamment dans les auberges, avec des joueurs prêts à parier plus ou moins gros. Néanmoins, vous pourrez obtenir des dès pipés au cours de l’aventure. Ce qui limitera alors l’aspect aléatoire, moyennant finance évidemment.
Chasser et revendre vos trophées
La chasse est aussi un très bon moyen de gagner du Groschen. Attention toutefois à ne pas risquer les ennuis avec la justice en outrepassant vos droits en touchant à ce dont vous n’avez pas le droit. Plus vous ferez monter vos compétences liées à la chasse, comme l’archerie et plus vos peaux et viandes auront de la valeur. Pour enlever le statut « volé » sur vos viandes, vous pouvez les cuisiner ou les sécher. Les sécher au fumoir permettra également de faire augmenter légèrement leurs valeurs. Il est conseillé de débloquer les attributs Homme des bois, Embusqué et Maître empenneur pour tuer votre cible du premier coup.
1 de 2
En plus de cela, vous pouvez participer aux différents concours, de combat au corps-à-corps ou à distance. Les concours d’archerie s’allieront parfaitement avec vos améliorations de chasses. Vous permettant de viser dans la mille et remporter le gros lot. Les concours peuvent généralement entre enchainés les uns après les autres.
1 de 2
Guide Kingdom Come 2 : Les métiers
Si on parle de façon honnête d’obtenir de l’argent dans un RPG qui se veut réaliste, c’est sans doute le plus évident : un métier.
Vous pouvez forger des armes, au début, le temps ne vaudra pas le peu d’argent que vous allez vous faire. Cela dit, avec les bonnes améliorations et en débloquant des schémas onéreux, vous pourrez revendre vos armes pour un bon prix. L’autre avantage vient évidemment du fait d’en faire pour vous même, Avec les bons attributs, elles seront très puissantes et leur valeurs augmenteront. Il vous faut absolument l’attribut Secret du forgeron pour obtenir le plus de vos armes forgées. Vous pourrez acheter les matériaux ou les trouver disséminés dans le monde. Avec l’atout Merveilles de l’Homme, vous gagnerez 20% d’expérience en plus.
1 de 3
L’alchimie quant à elle est plus abordable car elle est rapide. Elle s’augmente facilement et il suffit de cueillir les plantes au sol pour l’exercer. C’est donc peu onéreux en matériaux et les postes d’alchimie se trouvent un peu partout sur la carte. Vous pouvez payer des recettes ou en recevoir, en explorant ou en faisant des quêtes. Certains attributs sont primordiaux pour maximiser votre production. Vous pouvez améliorer la cueillette par l’attribut « Survie », elle vous donnera plus de plantes et elle pourra aussi vous fournir des matériaux autres en supplément.
Ensuite, par l’attribut alchimie, vous devriez débloquer Vendeur de potions, Secret de matière 1 et 2 et Secret de maître alchimiste. Ainsi, avec une alchimie parfaitement réalisée, vous pourrez obtenir 6 potions de la meilleure qualité possible. Un session de 10 à 15 minutes vous rapportera alors plusieurs centaines de Groschen. Avec l’atout Merveilles de la nature, vous gagnerez 20% d’expérience en plus.
1 de 3
Le vol
On finit donc ce guide sur le coté obscur de la force. Alors non, vous n’aurez pas besoin de commettre le «pire» (on ne vous fait pas de dessin…). Mais le vol peut-être un bon moyen de se remplir les poches. Il existe un tas de moyen de voler dans Kingdom Come : Deliverance II.
La chasse illégale (ou braconnage) en fait partie. Vous aurez aussi la possibilité de vider des poches ou encore profiter du sommeil des habitants pour les dépouiller de leur bien. Toutefois, ne pensez pas à les vendre au premier marchand venu, les objets de vos méfaits étant littéralement marqués. Plusieurs moyens s’offrent alors à vous. Vous pouvez soit trouver des receleurs, soit tenter de revendre votre marchandise dans une région suffisamment éloignée. Ou alors si vous êtes patient(e)s, vous pouvez attendre que les objets ne soient plus déclarés en vol. Un atout primordial pour ouvrir un coffre facilement est Maitre voleur.
1 de 2
Voila, avec ce guide de Kingdom Come 2, vous avez toutes les clefs en main pour devenir riche et vous pavaner dans vos plus beaux atours.
Avowed, nouveau RPG du studio Obsidian, est passé par notre houlette. Vous souhaitez savoir s’il peut vous plaire ? Nous l’avons décortiqué pour vous dans ce test d’Avowed.
Histoire : Une pure fantasy
En effet, Avowed nous délivre une histoire fantasy jusqu’au bout des ongles. C’est un régal pour les amateurs du jeu. Aucun spoil majeur ici, seulement ce que l’on sait au début du jeu. Vous êtes un divin, un être touché par les dieux. Souvent, cela se voit à vos attributs faciaux. Cela dit, personne ne sait si c’est une bénédiction ou une malédiction.
Après avoir été sauvé jeune par l’empereur et mis sous sa tutelle, il vous a confié le poste d’émissaire d’Aedyr. La rumeur d’une épidémie appelée Malrêve s’est répandue, vous êtes envoyé pour enquêter dans les Terres vivantes…
Gameplay : Simple, efficace et complet
Des combats de cape et d’épée
Notre test d’Avowed nous a démontré que les combats sont une partie très importante du jeu. Ils sont simples à prendre en main, mais bien pensés. Vous disposez de deux arsenaux. Vous pouvez porter une arme à deux mains de type espadon, grande hache, marteau, etc. Ou alors une arme au corps-à-corps à une main de type épée, massue, hache, dague, etc. Pour la distance, vous disposez d’arc, pistolets, grimoires et baguettes. Vous pourrez trouver chaque type d’arme en version unique. C’est une arme spéciale trouvée en effectuant les primes, en les trouvant dans la nature ou en effectuant des quêtes secondaires. Vous pourrez les améliorer au maximum.
Les combats sont plutôt exigeants. Même en mode normal, il est facile de mourir si vous n’avez pas bien géré votre équipement, sorts, équipe. De plus, les ennemis ne s’adaptent pas à votre niveau. Il n’est donc pas recommandé de se hâter dans Avowed. Préférez la patience et l’exploration. Si vous portez une arme à deux mains, un bouclier ou une arme dans une seule main, vous pourrez parer. Cette action consomme de l’endurance. Vous pouvez faire des coups chargés qui consomment également de l’endurance, mais augmente la jauge d’étourdissement de l’ennemi et fait de gros dommages. Lorsque celle-ci est au maximum, vous faite un coup spécial et particulièrement meurtrier. Vous disposez ensuite de quelques secondes pour taper l’ennemi sans risque. La magie se lance soit à l’aide des grimoires soit en apprenant les compétences qui sont alors plus puissantes et coûtent moins d’essence, le mana du jeu.
Vous pouvez également jouer avec une arme dans chaque main, vous ne pourrez alors pas parer, seulement esquiver. Ce qui consomme beaucoup d’énergie et doit être bien placé. Par contre, vous pouvez faire plus de dommage de cette manière.
1 de 2
Test d’Avowed : les améliorations d’équipement
Vous pouvez améliorer certaines pièces d’équipement. Vos armes et votre torse. Les jambes, les bras et les bijoux ne sont pas améliorables. Vous pouvez augmenter un objet commun jusqu’au stade superbe. Mais en augmentant un objet unique, vous pourrez aller jusqu’au stade unique. De plus, ces armes particulières peuvent aussi être enchantées. Cela permet d’améliorer leur capacité unique. Elles sont donc vraiment importantes et font la différence lors des combats, en plus d’être belles et uniques !
Pour améliorer, il vous faudra des matériaux que vous récoltez en explorant ou en démantelant vos armes. Vous pouvez toutes les démanteler même les uniques. Il vous faudra ainsi choisir entre démanteler une arme ou le vendre pour vous faire plus d’argent. Lorsque vous passez à un palier d’amélioration supérieur, il faudra dépenser de la monnaie en plus. Chaque type d’armure amène son propre intérêt. Vous pouvez très bien porter une armure lourde en tant que mage. Par contre, votre essence (mana), en sera largement amenuisée. Les armures uniques possèdent des avantages spécifiques. Les améliorations sont limitées en fonction de la carte sur laquelle vous êtes. Ainsi, vous ne pourrez pas augmenter une arme ou armure au maximum dès le début.
1 de 2
Test d’Avowed : les spécialisations, c’est classe !
Au début du jeu, vous choisissez votre classe et spécialisation. L’intérêt principal est de distribuer vos points de caractéristiques logiquement en fonction de la classe que vous souhaitez jouer et des interactions que vous aurez avec les PnJ. Vous augmenterez votre puissance, constitution, dextérité, perception, intelligence ou détermination. Néanmoins, le jeu laisse la possibilité ouverte de mettre les points dans les caractéristiques voulues à chaque montée de niveau par la suite. Vous pouvez donc tout à fait partir avec une classe en tête et changer ou mélanger vos caractéristiques en cours.
En plus de cela, vous avez un arbre de compétences pour chaque classe : combattant, rôdeur et magicien. En outre, en échange de quelques pièces, vous pouvez entièrement récupérer vos points de compétences et les réattribuer. Il vous est aussi tout à fait possible de mettre des points de compétences dans plusieurs classes à la fois. Vous permettant un assortiment de build presque illimité.
1 de 2
Compétences des compagnons
Compétences de mage
Un univers vivant
Test d’Avowed : Une ambiance bien à part
Il est étrangement difficile de décrire l’ambiance d’Avowed. À mi-chemin entre The Outer Worlds et Greedfall. Effectivement, on sait bien l’apport de la vue en première personne, du combat et du monde ouvert par leur précédent titre TheOuter Worlds. La sensation de se balader dans la nature et de trouver des clans de monstres est un peu comme celle de Greedfall. Effectivement, le titre grouille de vie, mais en même temps la sensation est un peu figée. Les PnJ ont des choses à faire, mais ils ne bougent pas forcément beaucoup ou répète leur tâche à l’infini. Les objets ne sont pas cassables, à part ceux spécifiquement faits pour ça. Et on sent que les ennemis sont placés, il n’y a pas vraiment de rencontres fortuites.
Pour autant, l’ambiance et le jeu sont addictifs, on veut toujours en découvrir plus et explorer la carte entièrement. Les graphismes aident beaucoup, ils sont magnifiques. Et les couleurs, pétantes. On se sent réellement dans un monde entièrement fantasy. Attention, pour apprécier le jeu, il faut donc le prendre pour ce qu’il est. C’est un monde prédéterminé, qui est réparti en grandes zones, un peu comme Dragon Age : Inquisition. Vous avez des quêtes spécifiques à chaque zone (pas de hub central cela dit). En sachant dans quoi vous vous engagez, vous ne pourrez qu’apprécier le jeu.
1 de 3
L’exploration au cœur du jeu
Avowed est pensé pour l’exploration et la découverte. Pour profiter au maximum du jeu, il est plus intéressant de découvrir et de résoudre les énigmes par vous-même. On se sent vraiment récompensé lorsqu’on arrive à trouver un trésor à l’aide d’une carte ou d’une énigme. De plus, l’exploration permet de découvrir à quel point les développeurs passionnés ont pensé à tout. Vous trouverez parfois un signe de vie dans un endroit inattendu. Un corps en bas d’une falaise, en effet, il est dangereux de monter sur les parois rocheuses. Ou bien, en découvrant une cabane, vous décidez de l’inspecter, impossible d’entrer dedans. Par contre, vous découvrez par la fenêtre ouverte, un homme mort et une lettre de suicide. Autant de petits détails qui rendent le monde vivant et crédible.
Le monde en lui-même vous raconte une histoire. Pour cela, le jeu est bien le digne successeur de Pillars of Eternity. En effet, Avowed se passe dans le même univers que Pillars of Eternity. Les amoureux de l’histoire seront contents. On en trouve en effet partout, des livres qui traînent, des journaux chez les habitants ou perdus dans le monde. Si vous ne connaissiez pas l’histoire de Pillars of Eternity, le jeu vous permet de comprendre ce qui est discuté. En effet, lors des dialogues, certains mots apparaitront en bleu, vous pouvez alors voir ce qu’ils veulent dire. Vous obtiendrez comme ça, une compréhension plus grande de l’univers.
Comme une majorité des jeux Xbox récents, l’adaptabilité est fortement poussée dans Avowed. Vous pourrez changer presque tous les paramètres possibles pour jouer de la façon la plus adaptée pour vous.
1 de 3
Une triste histoire cachée dans une cabane
La pomme croquée par un PnJ
Test Avowed : Des choix percutants
Le point fort de tous les RPG d’Obsidian sont évidemment les quêtes et les choix possibles, il en est de même pour ce test d’Avowed. Vous pouvez jouer un dur à cuire sans cœur, un nounours moelleux qui pardonne tout ou quelqu’un entre le deux, plus rationnel. À noter qu’il n’est pas réellement possible de réaliser des crimes. Il n’est pas possible de tuer des PnJ non-agressifs ni de voler. Certains PnJ réagiront quand vous farfouillerez dans leurs affaires, mais ne vous l’empêcheront pas pour autant.
Contrairement à la majorité des jeux qui ont un fonctionnement similaire, il n’est pas ici possible de savoir quel impact auront vos choix. Aucun encadré ne dit si notre compagnon ou la personne en face a apprécié ce que l’on dit ou fait. Vous vous rendrez seulement compte de vos relations en discutant avec vos compagnons aux camps. Pour les autres PnJ, seule leurs discours et la résolution de quête vous permettra d’en savoir plus. C’est perturbant lorsqu’on a l’habitude de connaître immédiatement l’effet de nos paroles. Il est parfois difficile de savoir si cela a eu un effet ou non. Mais généralement vous en saurez plus parfois bien plus tard dans le jeu. L’avantage est qu’il faut d’autant plus assumer ses choix. Attention à ce que vous dites donc !
1 de 2
Des quêtes inoubliables
Les quêtes sont variées, on prend vraiment du plaisir à les réaliser. Certaines quêtes annexes sont très rapides, vous pouvez les voir par des PnJ portant un point d’exclamation. D’autres sont plus longues et fourmillent d’histoire. D’autre encore se trouvent par hasard en explorant le monde. Il est donc totalement possible de passer à côté de quêtes géniales et qui offrent de bonnes récompenses, juste en allant un peu trop vite. Vous aurez globalement toujours des décisions à prendre. Vous disposez de choix « normaux » débloqués sans conditions et de choix débloqués à l’aide de vos points de caractéristiques. Malgré tout, les choix spéciaux ne sont pas toujours la bonne solution. Certains peuvent être agressifs, arrogants, etc. (sauf si c’est l’effet recherché). Aucune limite de temps pour répondre, vous pouvez donc réfléchir à la meilleure réponse pour vous.
L’ambiance du jeu fait presque tout. Le gameplay est assez simple et n’offre pas forcément autant d’options que d’autres jeux. Malgré tout, il est facile à prendre en main, très satisfaisant et surtout, il se marie parfaitement avec l’univers et l’ambiance du jeu. Cette facilité d’accès laisse la part belle à l’exploration et la découverte de secrets, ces derniers étant très nombreux. Notre test d’Avowed montre qu’il possède également une grande verticalité, il existe de nombreux passages, de parcours très amusants et parfois un peu compliqués. Si vous regardez bien, vous trouverez souvent plusieurs moyens d’entrer dans un endroit qui semble fermé. Bref, ce jeu est un régal pour les amoureux d’aventure.
1 de 2
Conclusion Avowed : Alors, Bénédiction ou Malrêve ?
Avowed est sans conteste une bénédiction. Le gameplay est simple et efficace. L’univers est magnifique et luxuriant. Les biomes sont variés. Les musiques sont épiques et collent parfaitement à l’action. Les quêtes sont très plaisantes et les choix ont véritablement un impact, même sur de petites quêtes secondaires. Enfin, le jeu met l’emphase sur l’exploration. Elle est largement récompensée. Si vous aimez les RPG avec beaucoup d’histoire, où vous prenez votre temps à explorer et vous laisser emmener par l’univers, vous adorerez Avowed.
Points positifs
Un gameplay facile à prendre en main et jouissif
Les caractéristiques et compétences peuvent être augmentées comme bon vous semble
L’amélioration et enchantement des équipements
Un univers riche
Des choix qui comptent
Des quêtes étonnantes et inoubliables
L’emphase sur l’exploration
Une ambiance 100% fantasy
Aucun bug majeur rencontré, aucun problème de performance
Points négatifs
Un monde qui semble un peu figé
Peu d’interactions en dehors de celles prévues par le jeu
Les camps d’ennemis peuvent être un peu répétitifs
Avowed est disponible sur Xbox Series et PC depuis le 18 février 2025.
Le jeu est fourni par @Xbox et @AvowedTheGame. Il a permis de réaliser ce test.
Annoncé en grande pompe au State of Play 2025, les créateurs de Street of Rage 4 ont dévoilés un nouveau jeu de l’iconique ninja deSEGA, Shinobi : Art of Vengeance. Accompagné également de sa date de sortie.
Un jeu fidèle aux racines de la saga
Les rumeurs étaient vrais : Shinobi fait son grand retour avec Shinobi : Art of Vengeance, un tout nouveau jeu d’action et de plateformes en 2D, développé par le studio français Lizardcube, à qui l’on doit déjà l’excellent Streets of Rage 4. Ce jeu nous plonge à nouveau dans l’univers de Joe Musashi, le légendaire ninja, et promet de revisiter avec brio les codes classiques de la franchise tout en y ajoutant des éléments inédits.
Révélé aux Game Awards 2023,Shinobi : Art of Vengeance s’inscrit comme une réinterprétation moderne des jeux classiques. L’objectif ? Proposer une expérience de jeu captivante tout en honorant les origines de la franchise. L’équipe de Lizardcube, forte de son expérience avec Streets of Rage 4, a parfaitement compris l’essence des anciens titres, en s’inspirant particulièrement de The Revenge of Shinobi et Shinobi III. Le résultat ? Un jeu en pixel art qui mêle action pure, exploration et stratégie avec une fluidité impressionnante.
Le directeur créatif Ben Fiquet a d’ailleurs souligné que plusieurs éléments emblématiques des anciens jeux feront leur retour, tels que les pouvoirs spéciaux, les combos et bien sûr des lieux mythiques comme la forêt de bambous, un clin d’œil aux joueurs de longue date. L’histoire, elle, voit Joe Musashi revenir dans son village dévasté, où son clan est pétrifié. En quête de vengeance, le ninja part alors dans une aventure palpitante à travers des niveaux variés, en affrontant des hordes d’ennemis et des boss imposants.
Une aventure riche en gameplay
L’un des grands atouts de Shinobi : Art of Vengeance réside dans sa capacité à offrir aux joueurs une liberté totale dans l’exécution de leurs actions. Manier le katana Oborozuki, lancer des kunai ou utiliser des techniques de Ninjutsu : tout cela s’intègre dans un système de combos dynamiques, permettant aux joueurs de créer des attaques uniques et de personnaliser leur style de combat.
Le jeu propose également un système d’amulettes et de Ningi, des outils spéciaux qui permettent de débloquer des compétences et de nouveaux chemins. De plus, bien qu’il conserve une structure classique en niveaux, Shinobi : Art of Vengeanceintègre des éléments inspirés du genre metroidvania, en offrant la possibilité de revisiter certains niveaux après avoir acquis de nouvelles compétences pour découvrir des secrets cachés.
Les environnements sont variés et époustouflants, avec plus d’une douzaine de niveaux à explorer. On peut visiter des bases militaires et des déserts arides par exemple. Le tout sur des plateformes périlleuses et avec des énigmes complexes. L’atmosphère visuelle unique du jeu, avec ses illustrations à la main, promet de plonger les joueurs dans un monde riche et détaillé.
Shinobi : Art of Vengeance promet de raviver la flamme de la saga avec un jeu moderne tout en respectant l’héritage des anciens titres. Avec Lizardcube aux commandes, ce jeu semble être un must pour les fans de Shinobi, mais aussi pour ceux qui aiment l’action rétro en 2D bien exécutée.
Un édition spéciale pour les fans
Pour les amateurs de contenu exclusif, une édition Deluxe sera proposée à 39,99 €, avec des bonus alléchants : un accès anticipé au jeu, un costume spécial pour Joe Musashi, des amulettes uniques et même une extension prévue pour 2026, où des bosses inspirés des méchants emblématiques de SEGA, dont un certain Dr. Robotnik, feront leur apparition. Cette édition inclura également un artbook numérique, une bande-son et des objets en jeu.
En prime, les précommandes permettront de bénéficier de 10 % de réduction, ainsi que du costume d’arcade original et de l’amulette du chasseur de fortune.
Shinobi : Art of Vengeance sera disponible à partir du 29 Août 2025 sur PS5, PS4, Xbox Series X/S, Nintendo Switch et PC.
Comme toutes les semaines, Epic Gamessort ses nouvelles quêtes hebdomadaires pour son jeu Fortnite. Elles permettent, en les réalisant, d’augmenter ses XP. On vous montre comment réussir facilement les cinq nouvelles quêtes de la saison 1, semaine 10 du chapitre 6 dans notre soluce de Fortnite. Vous pouvez retrouver également le tuto du récit Le monde des âmesici. Retrouvez également toutes nos autres solutions précédentes ici.
Soluce Fortnite chapitre 6, saison 1 : quêtes de la semaine 10
Accomplir un braquage de train ou capturer une tour météo
En sautant du bus, tomber directement sur le train en marche et interagir avec le coffre pour le braquer. Vous pouvez également attendre un nombre de tempête dans le jeu jusqu’à apparaitre la tour météo. Éliminer le chef pour récupérer la carte et interagir avec la console météo. Vous pouvez réaliser cette mission à plusieurs ou en duo. Une de ces deux façon de faire vous fera valider la quête.
1 de 4
Infliger des dégâts à des adversaires en étant accompagné d’un spécialiste recruté
Infligez 100 de dégâts à des adversaire en ayant préalablement recruté un spécialiste (voir sur la carte) pour terminer la quête.
1 de 3
Parcourir la distance en accélérant sans quitter la route
Rien de plus simple, prenez un véhicule et accélérer sur 300m sans quitter la route pour terminer la mission.
1 de 3
Infliger des dégâts à des adversaires avec des armes typiques ou atypiques
Infligez 450 de dégâts à des adversaires avec une arme typique (grise) ou atypique (verte) pour valider cette quête.
1 de 3
Obtenir des munitions sur des adversaires éliminés
Éliminez des adversaires et récupérez leurs munitions tombées au sol. Il faut en prendre 500 pour valider la quête.
1 de 3
On se donne rendez-vous pour le prochain tuto Fortnite lors de nouvelles quêtes hebdomadaires. Elles seront disponibles pour la prochaine saison, la numéro 2 du chapitre 6 qui sort le 21 février 2025.
Fort du succès de Returnal, les développeurs finlandais de Housemarque étaient présents au State of Play afin de montrer un premier aperçu de Saros. Un jeu dont on à tôt fait de constater la filiation esthétique avec l’aventure spatiale de Selene.
Housemarque revient avec un nouveau jeu, ça Saros
4 ans après nous avoir pondu Returnal, et probablement avoir contribué à l’explosion (des ventes) de Dualsense, le studio finlandais nous a montré un aperçu de celui que l’on peut déjà considérer comme son successeur spirituel : Saros. Un titre qui en reprendra un gameplay similaire, à un détail près : l’aspect roguelite ne sera plus de la partie.
Saros raconte comment Arjun Devraj, un soldat Soltari de la colonie perdue Carcosa, va tenter de retrouver un être introuvable et ce tandis que le monde est sous le joug d’une eclipse destructrice perpétuelle. Vous l’aurez deviné, on retrouve donc bien le système de boucle que l’on avait dans Returnal, de même que le gameplay orienté action à la troisième personne.Toutefois, les similitudes ne devraient pas aller plus loin que ça.
Dans Saros, il ne sera pas question de tout perdre à chaque boucle, puisqu’au contraire, notre personnage reviendra à chaque fois plus fort, conservant tout ce qu’il a recolté à l’aube de chaque mort. Les développeurs promettent aussi un titre qui mettra davantage l’emphase sur la narration qu’ils ne l’ont fait sur Returnal. Si nous aurons un apercu du gameplay dans le courant de l’année, Il faudra patienter courant 2026 pour poser la main dessus, en exclusivité sur PS5.
Parmi les jeux qui ont été présentés durant le State of Play, Darwin’s Paradox a fait partie de ceux que l’on ne peut que difficilement oublier. Et pour cause. Dans ce jeu indépendant français, nous incarnons…un poulpe.
Darwin’s Paradox : l’épreuve de la pieuvre
Parmi les jeux qui ont su se faire remarquer durant le dernier State of Play, il en est un qui s’est particulièrement démarqué, du fait de son statut indépendant assez évident par rapport aux autres jeux presentés, mais surtout pour le personnage que l’on y incarne, à savoir un poulpe. En effet, dans Darwin’s Paradox, nous incarnerons Darwin, un céphalopode qui se retrouve piégé dans une immense usine agro-alimentaire, d’où il devra tout faire pour s’échapper.
Darwin’s Paradox se présente comme un jeu d’action-aventure/infiltration 3D en scrolling horizontal où chaque niveau sera l’occasion de découvrir de nouveaux environnements, avec leurs lots d’énigmes et de dangers à surmonter. Pour ce faire, nous pourrons compter sur la panoplie du parfait petit poulpe, avec des tentacules permettant d’accrocher à toutes les surfaces ou encore la capacité à cracher de l’encre, ce qui devrait faciliter les phases d’infiltrations et les capacités de camouflage.
Le jeu est en gestation depuis 3 ans par un nouveau studio parisien indépendant, ZDT, fondé par l’ancien directeur de Arkane ( Deathloop, Dishonored, Prey) et l’ancien fondateur de Focus Home Interactive (éditeur désormais connu sous le nom de Pullup Entertainment), avec l’appui de Konami. Pour savoir si Darwin’s Paradox aura le vent en poulpe, il faudra patienter courant 2025, le jeu étant par ailleurs prévu sur PC, PS5, Xbox Series X|S et Nintendo Switch.