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Test Drag x Drive : un jeu qui a du ballon ?

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Avec Drag x Drive, Nintendo donne un petit coup de projecteur à une fonctionnalité encore méconnue de sa Switch 2. Ce jeu de basketball en fauteuil roulant en 3v3 mise sur un gameplay intégralement basé sur le motion control. Mais cette promesse ambitieuse tient-elle vraiment sur la longueur ? Venez le découvrir dans notre test de Drag x Drive.

Une prise en main inédite pour Drag x Drive

Cette fonctionnalité de la Switch 2 est bien le mode souris des nouveaux Joy-Con. Une technologie intrigante qui, à défaut d’être encore massivement exploitée, ouvre des perspectives de gameplay inédites. Et ici, elle sert de socle à un concept audacieux : un jeu de basketball en fauteuil roulant, compétitif et nerveux, à mi-chemin entre le sport futuriste et la simulation inclusive. Une idée originale qui intrigue mais qui, avec du recul, de parait pas aussi loufoque. On a pu voir le mode souris sur Donkey Kong Bananza (notre test ici) avec son mode « DK Artist » mais pas exploité dans un gameplay complet.

Notre test de Drag x Drive commence par un tutoriel de 5 minutes, simple mais bien conçu, qui vous plonge immédiatement dans une logique de contrôle originale. Il ne s’agit plus ici de manipuler des sticks ou d’enchaîner des combos de boutons, mais bien de faire glisser les Joy-Con à plat sur une surface pour simuler les roues d’un fauteuil roulant. Un Joy-Con pour tourner, les deux pour avancer, les gâchettes pour freiner ou intercepter la balle. On pousse, on oriente, on synchronise ses gestes. Le tir vers le panier repose sur un système de jauge de précision. Plus la barre est basse et brillante, plus le tir sera réussi. Un classique du genre, mais qui ici s’intègre de manière naturelle à ce gameplay gestuel.

L’approche est intuitive, presque ludique dans sa physique, et donne de bonnes sensations de contrôle dès les premières minutes. En quelques essais, on comprend les mécaniques de base et on se prend au jeu… du moins, tant que l’on a l’énergie de suivre le rythme.

De la découverte à la frustration

Après le tutoriel, on enchaîne avec un premier match contre des bots. Progressivement, on gagne en fluidité, on apprend à gérer les virages serrés, à anticiper les déplacements adverses, à positionner son joueur pour intercepter ou défendre. Cette courbe d’apprentissage bien dosée grâce à ses mouvements naturels offre une satisfaction immédiate, surtout quand on commence à enchaîner les actions spectaculaires : sprints, dunks, interceptions au vol… Des moments grisant qui évoquent immanquablement Rocket League, en version fauteuil et ballon de basket.

Le contenu solo est extrêmement limité. Quelques défis chronométrés, des séances de tirs libres et des matchs contre l’IA composent l’essentiel de l’offre hors ligne. On fait le tour en une heure à peine. Ce manque de profondeur devient vite problématique, surtout pour un jeu vendu 19,99 €. Et ce n’est pas le comportement des coéquipiers IA qui viendra sauver l’expérience : ils ne passent presque jamais la balle, se placent mal, ne défendent pas efficacement, et donnent parfois l’impression d’être des plots en mouvement.

En l’état, jouer en solo revient souvent à jouer seul contre tous, avec une équipe fantôme dans le dos. Un appel de balle, une roue tactique ou un peu plus d’interactions auraient grandement amélioré l’expérience.

Un multijoueur sous condition

Mais même ici, une grosse ombre plane : l’absence totale de mode local. Un choix surprenant, voire incompréhensible, tant le concept semble taillé pour des parties entre amis, dans un salon ou autour d’une table. Ce manque limite considérablement l’aspect festif du jeu, et empêche Drag x Drive de devenir ce petit hit multijoueur que l’on ressort à l’apéro.

Heureusement, Drag x Drive vise clairement le multijoueur en ligne, son véritable cœur. Les matchs en 3 contre 3 prennent alors une autre dimension : les actions sont plus fluides, les stratégies émergent, la tension monte. Le jeu devient alors ce qu’il promet d’être : un affrontement compétitif nerveux, dynamique, intense.

Esthétique : sobre à l’extrême

Côté visuel, le titre joue la carte du minimalisme absolu. Le terrain est gris, les décors sont inexistants, les avatars sans charisme. Même les effets visuels lors des dunks ou des accélérations sont timides. Il en résulte une identité graphique fade, presque générique, qui n’aide pas à l’immersion. Ce manque de chaleur se ressent jusque dans les menus ou les interfaces, eux aussi très épurés, voire un peu froids.

Quelques options de personnalisation cosmétique (casques, fauteuils, couleurs) viennent égayer un peu l’ensemble, mais rien de marquant ou d’utile en termes de gameplay. Pas de progression, pas de compétences à débloquer, pas de sentiment d’évolution.

Le jeu présente une bande sonore efficace mais sans personnalité marquante. La musique ressemble à du jazz dynamique mélangé au  basique, répétitive et oubliable, même si elle colle à l’atmosphère Street-basket et aux lumières néon de l’arène. Aucun thème principal distinct reste en tête, ce qui renforce le sentiment que la bande-son reste fonctionnelle, sans véritable empreinte mémorable.

Un jeu physiquement exigeant

L’aspect le plus clivant qui nous apparaît durant notre test de Drag x Drive reste cependant son gameplay physique. Manipuler les Joy-Con comme des roues est une idée brillante sur le papier. Dans les faits, c’est une activité qui peut être fatigante. Les bras sont constamment sollicités, la précision demande une attention de chaque instant, et les mouvements répétés pourront finir par provoquer une fatigue musculaire, voire dans l’extrême des courbatures pour certains. Ce qui limite les sessions prolongées.

Certes, cela renforce l’immersion. On ressent l’effort, la difficulté, l’énergie dépensée. Mais cela exclut aussi de ce fait une partie des joueurs, notamment ceux qui ont des limitations physiques ou qui ne peuvent pas maintenir un niveau d’effort élevé. Et aucun mode de contrôle alternatif n’est proposé. Un comble pour un jeu qui s’inspire (même discrètement) du handisport.Drag x Drive

Conclusion de notre test de Drag x Driver

Drag x Drive est un jeu à part, et c’est ce qui le rend intéressant. Il propose un gameplay que l’on n’avait encore jamais vu sur Switch, avec une volonté d’exploration technique et thématique louable. L’hommage discret au handisport, sans jamais tomber dans le cliché ou la récupération, est aussi à saluer. Et dans ses meilleurs moments – un dunk réussi, une interception décisive, un match haletant en ligne – il offre de vraies sensations de jeu, uniques.

Mais au-delà de cette belle idée, le jeu souffre de trop nombreuses limites pour pleinement convaincre. Contenu rachitique, IA défaillante, absence de jeu local, visuel sans saveur, accessibilité négligée… Le titre semble sorti trop tôt, sans avoir eu le temps de développer tout son potentiel. Nintendo aurait peut-être dû garder ce potentiel au chaud pour le ressortir plus tard avec un jeu plus complet.

Points Positifs

  • Concept original et immersif
  • Tutoriel clair et bien pensé
  • Mouvements naturels et réussies
  • Multijoueur en ligne dynamique
  • Hommage au handisport

Points Négatifs

  • Contenu solo très limité
  • IA peu réactive et frustrante
  • Absence d’un mode local
  • Direction artistique terne
  • Jeu fatiguant physiquement

Drag X Drive est disponible depuis le 14 Août 2025 exclusivement sur Nintendo Switch 2.

Test Echoes of the End : une plastique au contenu inégal

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Premier jeu du studio islandais Myrkur Games, le jeu d’action-aventure narratif Echoes of the End, édité par Deep Silver, est enfin disponible. S’inspirant de God of War par bien des aspects tout en gardant sa propre identité, le titre soulève une question : est-il réellement à la hauteur de son modèle ? C’est ce que nous allons découvrir dans ce test.

Echoes of the End

Une histoire de fratrie en plein chaos

L’Empire d’Aema est en crise, tout juste sorti d’une guerre civile. Différentes nations continuent de s’affronter pour le trône, tandis que d’autres aspirent simplement à la paix. Certains sont prêts à tout pour obtenir le pouvoir, quitte à détruire des régions entières.

Nous incarnons Ryn, une jeune Vestigale, un être capable d’utiliser la magie sans aide extérieure. Ce don est cependant une malédiction, car il est très instable. Alors qu’elle surveille les frontières de son pays avec son frère Cor, ce dernier se fait enlever. Seule contre tous, elle s’aventure dans des contrées hostiles et magiques. Entre complots et découvertes sur sa famille, son voyage est loin d’être de tout repos.

Ryn Echoes of the End

Bien que touchante, l’histoire reste assez classique. On sent que les développeurs ont essayé d’intégrer des rebondissements, mais ils sont malheureusement prévisibles pour quiconque a l’œil aguerri. L’aventure se termine d’ailleurs en une dizaine d’heures.

Echoes of the End nous plonge dans un monde magnifique mais vide

Les développeurs se sont largement inspirés de leur terre natale pour concevoir les décors, et le résultat est magnifique, bien que perfectible. Si certaines textures sont un peu floues et que les arrière-plans des cinématiques sont parfois instables, les jeux de lumière, quant à eux, sont sublimes et nous ont arraché quelques « waouh ».

Echoes of the End

Côté animation, outre quelques détails qui clignotent en arrière-plan, les expressions des personnages, surtout celles des PNJ, sont parfois trop rigides. On a l’impression d’avoir affaire à des poupées de cire. En revanche, les bruitages et l’ambiance sonore sont splendides. La musique, toujours présente en fond, est discrète et n’entrave en rien l’expérience.

PNJ

Cependant, le monde reste vide en dehors des ennemis et des monstres. Les interactions sont quasi inexistantes et les couloirs s’enchaînent. Il y a bien quelques bifurcations menant à des coffres pour les plus curieux, mais c’est tout. Le bestiaire est également très limité, certains boss revenant même plusieurs fois.

Un rythme qui peine à décoller

À l’instar des jeux qui l’ont inspiré, Echoes of the End propose un mélange d’action, d’aventure, d’énigmes et de narration. Concentrons-nous sur le premier point : le combat. Ryn dispose de deux types d’attaques (légère et lourde) ainsi que de ses pouvoirs de télékinésie. Avec ces derniers, vous pouvez projeter des objets sur vos adversaires, les balancer les uns sur les autres ou les faire tomber dans un ravin. Pour la défense, vous avez la roulade, l’esquive et une parade qui peut déséquilibrer l’ennemi si elle est effectuée au bon moment. C’est là que le principal problème se pose.

Lorsqu’un adversaire prépare une attaque, vous avez un certain temps pour parer le coup. Cependant, les gestes de Ryn sont lents et ne peuvent pas être interrompus une fois lancés. Vous vous prenez donc des dégâts en pleine tête. Évidemment, les ennemis sont rarement seuls et n’hésitent pas à vous attaquer ensemble. Vous pouvez faire un peu de ménage grâce à vos pouvoirs, mais parfois cela ne suffit pas. Tous les pouvoirs s’activent avec une gâchette et l’orientation du joystick. Si vous relâchez la gâchette ou le joystick trop tôt, vous brûlez votre mana pour rien. Dans le feu de l’action, cela devient vite frustrant.

Ennemis

Côté équipement, il n’y en a pas, et ce n’est pas plus mal ! Cela évite d’ouvrir l’inventaire tous les 15 mètres pour équiper de nouvelles pièces, ce qui est très appréciable. Vous avez néanmoins un menu pour débloquer des compétences qui s’articulent autour de quatre axes : le combat pour de nouveaux combos, la magie pour renforcer vos pouvoirs, l’amélioration du compagnon de voyage (avec un succès limité) et les soins. Pour se régénérer, Ryn draine la vie de ses adversaires. Attention, cette compétence n’est pas illimitée : sa jauge se vide rapidement et se remplit uniquement sur les cairns. Il faut savoir quand l’utiliser, car la parade n’arrête pas la compétence. Vous pouvez donc subir des dégâts si vous la lancez au mauvais moment.

Echoes of the End ne fait pas dans la monotonie

Durant notre test d’Echoes of the End, nous avons grandement apprécié sa variété. Le jeu est découpé en chapitres, et chacun d’eux a sa particularité, que ce soit au niveau de l’exploration ou des phases de plateforme.

Jouer avec les objets et la gravité est une excellente surprise qui vient casser la monotonie que l’on peut ressentir dans ce genre de jeu. Si jamais vous bloquez sur une énigme, vous pouvez demander de l’aide à votre allié, qui vous guidera sans s’imposer, ce qui est très agréable.

Enigmes

Le résumé de notre test sur Echoes of the End

Echoes of the end est un jeu qui nous laisse mitigé. On sent que l’équipe de Myrkur games a longuement travaillé sur leur premier bijou. Néanmoins, l’histoire a du mal à nous happer, les rebondissements étant trop prévisibles. Les combats manquent clairement de fluidité et le fait de ne pas pouvoir faire de parade instantanément est un véritable handicap. En revanche, la variété des phases de plateforme à chaque chapitre est un véritable plaisir. Cela casse la monotonie que l’on peut ressentir dans ce genre de jeu. On sent qu’il y a de bonnes idées, mais qui malheureusement ne sont pas exploitées à fond. N’oublions pas que c’est le premier jeu de ce studio qui a une petite équipe. Nous avons déjà eu affaire à des AAA avec beaucoup moins de qualité.

Echoes of the End est disponible depuis le 12 août 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series.

Points forts

  • Des paysages magnifiques…
  • Des énigmes parfois intéressantes
  • Une aide qui ne s’impose pas

Points faibles

  • … Mais un monde vide
  • Un bestiaire limité
  • Des combats qui manquent de peps
  • Des bugs graphiques réguliers

Kirby Air Riders: Masahiro Sakurai nous offre une présentation complète lors d’un Direct dedié

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C’est un Masahiro Sakurai bien enjoué qui nous a présenté ce Kirby Air Riders, le 19 août dernier. Le créateur créateur de Kirby et Super Smash Bros, qui a présenté le Nintendo Direct dédié à Kirby Air Riders. La a levé le voile sur cette suite de Kirby Air Ride, sorti il y a plus de 20 ans sur GameCube. Si la comparaison est tentante, Kirby Air Riders a des arguments bien solides pour se démarquer d’un certain Mario Kart

Kirby Air Riders: en piste dès le 20 novembre 

Plus de 20 ans après son unique jeu de course (et même unique jeu Gamecube dans lequel il etait la star principale), Kirby revient pour se frotter à Mario sur l’un de ses terrains de prédilection, la course de bolides. Mais ici, nous sommes sur une proposition formellement très différente, en témoigne la bonne heure qu’a passé Masahiro Sakurai à nous présenter son jeu.

Entre les personnages et leurs pouvoirs, les bolides, leurs capacités, les circuits, les modes de jeux…il y avait beaucoup à dire et on devine autant le plaisir que les difficultés qu’ont pris le créateur de Super Smash Bros et ses équipes pour créer un jeu de course qui s’annonce aussi fun qu’accessible. Il faut dire que de ce qu’on entrevoit dans cette présentation,  on y retrouve bien l’emprunte de Sakurai.

Outre un fun immédiat, nous sommes surune profondeur de jeu que l’on aurait même pas soupconné. Même si la durée de la présentation (et le seul nom de son créateur d’ailleurs) aurait dû nous mettre la puce à l’oreille. Nous pourrons en tout cas tâter le terrain dès le 20 novembre 2025 en exclusivité sur Nintendo Switch 2. En attendant, vous pouvez retrouver la présentation complète du jeu juste en dessous.

Kirby Air Riders sortira le 20 novembre exclusivement sur Nintendo Switch 2.

Hollow Knight: Silksong- la date de sortie enfin annoncée

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Fin de la blague pour Hollow Knight: Silksong ! Après des années à se faire remarquer pour ses absences répétées, au point d’en devenir une plaisanterie récurrente, la Team Cherry ont offert une nouvelle présentation du jeu, avec au programme un trailer bien chargé à la fin duquel nous a été dévoilé la date de sortie… et ca arrive très vite.

Hollow Knight: Silksong arrive très bientôt

6 ans après son annonce, l’arlesienne Hollow Knight: Silksong arrive enfin. Suite de ce qui est sans doute l’un des metroidvania les plus cultes de cette generation, le titre nous propose cette fois-ci d’incarner Hornet, un personnage que l’on rencontrait déjà dans le premier opus et se démarque de son prédécesseur par son agilité au combat. Ici, notre manieuse d’aiguille se retrouve dans le monde de Pharloom, où elle devra comprendre les raisons de son kidnapping et affronter entre autres une quarantaine de boss et cinq fois plus d’ennemis.

Mais évidemment,  outre la proposition narrative et ludique, c’est aussi la date de sortie qui nous intéresse. Excellente nouvelle: l’attente n’est plus longue du tout, puisque le jeu sortira sur PC, PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 1 et 2...le 04 septembre prochain. Oui ,dans deux petites semaines. Pour l’occasion, la Team Cherry ont présenté un tout nouveau trailer de gameplay que l’on vous laisse découvrir ci-dessous. En attendant, les chanceux qui foulent les couloirs de la Gamescom peuvent déjà essayer le titre sur place.

Hollow Knight: Silksong sortira le 04 septembre 2025 sur PC, PS5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 1 et 2, inclus également dans le Gamepass.

Hollow Knight: Silksong- une présentation attendue demain

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Il était temps pour Hollow Knight: Silksong ! Devenue une blague récurrente suite à ses absences répétés aux cours d’un tas d’évènement où le titre avait tout le loisir de se montrer, la suite de l’un des meilleurs metroidvania de l’histoire donnera enfin de ses nouvelles ce jeudi 21 août, à l’occasion d’un évènement dedié.

Rendez-vous le 21 août à 16h30 pour un programme spécial Hollow Knight: Silksong

On l’aura attendu, cette annonce. Cette fois, pas de faux suspense (quoique…) puisque la Team Cherry nous donne rendez-vous ce jeudi 21 août à 16h30, en marge de la Gamescom, pour nous présenter à nouveau Hollow Knight: Silksong. On ne sait pas encore ce qui est prévu au programme mais bien entendu, l’une des informations les plus attendues reste la date de sortie qui, des années après son annonce n’a toujours pas été dévoilée.

Aux dernières nouvelles, le jeu était attendu pour la fin de l’année, sans plus de précisions. En attendant ceci et les autres informations qui en découleront, le titre s’est offert un petit teaser de gameplay. Rappelons que dans cette suite, nous incarnerons cette fois Hornet, un personnage secondaire que nous avions déjà l’occasion de croiser lors de notre escapade du premier opus. Le titre est actuellement prévu sur toutes les consoles du marché ainsi que sur PC. On se donne donc rendez-vous demain pour en découvrir d’avantage

Preview Battlefield 6 : le retour sur la bêta

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Durant deux week-end s’est tenu la bêta de Battlefield 6. L’une des plus grandes licences d’EA ressort le bout de son nez après un épisode 2042 qui a laissé certains fans sur leur faim. Modes de jeu, cartes, on vous dit tout dans cet article.

Battlefield 6

Quand l’immersion nous submerge

Le titre ne perd pas de temps avec les détails et cela se voit dès que l’on arrive sur le menu principal. Il est clair et intuitif. Les modes de jeux sont directement proposés, nous donnant la possibilité de foncer directement en jeu. Bien évidemment, si l’on s’attarde quelques secondes en plus, nous voyons rapidement qu’il est possible de s’entrainer avant de rejoindre les différents champs de bataille et choisir votre classe.

Classes BF6

Ce n’est pas moins de quatre classes qui vous attendent à savoir assaut, soutien, ingénieur et éclaireur. Vous pouvez vous équiper comme bon vous semble avec l’arme que vous préférez. Dans cette version ce qui compte le plus ce sont les à côtés. L’ingénieur peut réparer des véhicules et subit moins de dégâts lors des explosions. L’éclaireur affiche sur la minicarte le temps de quelques secondes chaque ennemi qu’il aperçoit et peut retenir son souffle pour stabiliser sa visée. Bien que tout le monde peut soigner un allié, le soutien lui le fait de manière immédiate.

BF6

Vu que dans la rédaction, nous sommes tous un peu fou, nous nous sommes lancés à froid, tête la première dans le mode conquête. Cela fait bien longtemps que nous n’avons pas mis les mains sur cette licence et le plaisir était pas mal. Vous pouvez tirer avec les tanks sur les bâtiments pour que ces derniers s’écroulent sur ceux qui sont sponsorisés par une certaine marque de camping. Les joueurs de la classe assaut quant à eux pourront s’équiper de lance-grenade pour faire de nouvelles portes non conventionnelles dans les murs afin d’exploser ce qui se trouve derrière, mais aussi éviter les cachettes et accessoirement créer des raccourcis pour aller aux objectifs.

Battlefield 6

Concernant les bruitages, ces derniers sont vraiment intéressants. Il n’est pas question d’entendre les ennemis courir vers nous, entre les explosions le bruit des véhicules, les tirs… vous ne pourrez rien entendre d’autre. Il ne tient qu’à nous d’ouvrir les yeux et de regarder dans tous les coins. Ce qui sera récompensé ce seront surtout les réflexes, ainsi que la précision. Un tir dans la tête avec la bonne munition et notre ennemi ne peut pas être sauvé.

Dans la plupart des modes de jeu, les objectifs servent à ralentir le nombre de morts comptabilisées quand un coéquipier perd son duel. Les objectifs sont donc tout aussi importants que la chasse à l’homme. Bien évidemment, il y a également des modes plus classiques où seuls les objectifs comptent.

Battlefield 6

Toutefois, l’un des bémols est que nous avons constaté une certaine latence à la manette lors de la seconde bêta. En effet, entre le moment où la gâchette est pressée et l’action, il peut parfois s’écouler une demie seconde, qui parfois peut se révéler fatale.

Le résumé de notre preview sur Battlefield 6

Les quelques parties effectuées les deux week-ends de bêta nous ont laissé sur un bon sentiment. Il semblerait quel ‹ équipe de développement opte pour un mélange de retour aux sources, tout en maintenant une certaine modernité. Le plaisir de détruire des bâtiments et de les faire effondrer sur les campeurs est toujours aussi grisant, sans oublier la possibilité d’explorer les maps immenses. Il y a également cette entraide toujours présente dans laquelle tout le monde peut se soigner et n’est plus réservé à la classe soutien.

Battlefield 6 sera disponible le 10 octobre 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series.

Tales of Xillia Remastered annoncé

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Après le cultissime Tales of Symphonia et le un peu moins mais toujours très sympa Tales of Graces, c’est au tour de Tales of Xillia de passer à la petite moulinette de la remasterisation. Sorti à l’origine en 2011, cet épisode était le premier de la licence à sortir sur PS3. Ce remaster sera aussi l’occasion de le redécouvrir sur  d’autres plateformes.

Tales of Xillia Remastered élargit son territoire

Teasé depuis quelques jours, Bandai Namco gardait (mal) le secret autour du prochain Tales of qui aurait droit à son relifting. Fin du faux suspense, c’est donc Tales of Xillia qui y a droit. Cette fois, le titre, un des rares de la licence à avoir eu droit à sa suite (comme Symphonia, tombée quelque peu aux oubliettes), ne débarquera pas seulement chez Sony mais également chez Xbox, Nintendo et PC. Le titre avait la particularité de nous faire incarner un protagoniste au choix parmi 2, Milla ou Jude, qui se retrouvaient unis par une quête dans le but de sauver le monde d’une potentielle destruction. Le jeu sortira le 31 octobre prochain.

En ce qui concerne les nouveautés, Tales of Xillia Remastered devrait quasiment se contenter du minimum syndical, ce qui n’a rien de bien surprenant, vu qu’a terme, le projet est de remasteriser la totalité des épisodes, tout du moins ceux de l’artère principale et appréciés du public. Ainsi, parmi les éléments notables, une refonte en 4K et 60 fps sur PS5 et Xbox Series, jusqu’en 120 fps sur PC et limité en 1080p/720p sur Nintendo Switch, le tout en 30 fps max (pas de version Switch 2 au programme). Tales of Xillia  inclura également la totalité de ses DLC ainsi que des nouveautés en terme de confort, comme la possibilité de passer les combats. La liste est assez longue donc n’hésitez pas à vous rendre sur ce lien pour en savoir plus.

Tales of Xillia sortira sur PC, PS5, Xbox Series et Nintendo Switch le 31 octobre 2025.

Test Mafia : The Old Country – Une fresque sicilienne captivante

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Développé par Hangar 13, 2K sort le nouveau jeu de la saga mafieuse : Mafia : The Old Country. Celui-ci nous promet un retour aux racines de la saga avec une narration intense et imprégnée de l’âme sicilienne. Une véritable attente pour les fans de la licence depuis la présentation du gameplay en mai. Est-ce que le jeu mérite-t-il toute notre attention? Venez le découvrir dans notre test de Mafia : The Old Country tout de suite.

Une immersion visuelle narrative très soignée

Mafia: The Old Country, dernier-né du studio Hangar 13, marque un retour aux sources pour la saga culte, en troquant les rues urbaines américaines pour la Sicile rurale du début du XXe siècle. Un choix audacieux qui s’avère payant : rarement un jeu aura aussi brillamment mis en valeur cette époque et cette région trop peu explorées dans le paysage vidéoludique. Loin des clichés mafieux habituels, le titre choisit de poser un décor vivant, nuancé et profondément ancré dans l’histoire.

Propulsé par l’Unreal Engine 5, le jeu propose une reconstitution visuelle d’une grande finesse. Les architectures anciennes, les tenues traditionnelles, et même les dialogues partiellement en dialecte sicilien participent à une immersion aussi rare que précieuse. Le souci du détail est manifeste à chaque plan : des places de marché poussiéreuses aux champs d’oliviers balayés par le vent, en passant par les petits ports en effervescence, tout respire l’authenticité.

Les visages des personnages sont expressifs et globalement très réussis, bien que certains modèles semblent en retrait par rapport au reste. Malgré cela, une lueur d’humanité traverse leurs regards, ce qui renforce l’attachement aux personnages. Ces moments de grâce visuelle, souvent accompagnés d’un jeu de lumière maîtrisé, participent activement à l’efficacité de la narration. L’absence d’un mode photo, pourtant réclamé par certains joueurs, n’atténue pas pour autant l’impact visuel de l’ensemble. L’expérience reste profondément immersive.

Une narration construite comme un film de gangsters

La structure narrative adopte un format épisodique, découpé en chapitres bien rythmés, chacun introduit par un générique en 2.35:1 avec bandes noires façon cinéma. Un parti pris esthétique affirmé, qui confère au jeu une véritable identité cinématographique, même si l’effet peut parfois paraître un peu forcé, voire intrusif.

Le scénario s’ouvre sur une note dure et poignante : Enzo Favara, un jeune carusu, est vendu par son père à une mine de soufre, symbole d’une époque où la misère justifie l’injustifiable. Très vite, le récit délaisse le misérabilisme pour plonger dans une spirale de violence et de pouvoir, suivant l’ascension brutale d’Enzo dans l’univers mafieux sicilien.

Au fil des chapitres, le jeu tisse un récit dense et humain, centré sur le destin tragique d’un homme tiraillé entre ses origines et son ambition. Le traitement des personnages secondaires, bien que plus convenu, reste solide. On retrouve avec plaisir les archétypes du film de mafia, sans que cela ne tombe dans la parodie ou l’excès. Le ton est juste, la mise en scène maîtrisée, et certains moments narratifs se révèlent particulièrement marquants, à la manière d’un bon polar italien. Qu’on se le dise, peu de surprise dans la narration, mais cela reste efficace.

Gameplay : sobriété et classicisme, sans audace

Sur le plan du gameplay, Mafia: The Old Country ne révolutionne rien. Il mise sur une formule classique mais éprouvée : phases d’infiltration, gunfights, filatures, combats au couteau et quelques séquences de poursuites, à cheval ou en véhicule motorisé.

Les mécaniques d’infiltration, bien que fonctionnelles, restent assez basiques. L’intelligence artificielle manque globalement de réactivité et de finesse : les gardes réagissent peu, leurs trajectoires sont prévisibles, et on ressent un manque de tension dans ces séquences. Cela ne nuit pas directement à la progression, mais diminue l’impact émotionnel de certains moments censés être plus tendus.

Les combats au couteau, pourtant bien intégrés à l’univers et aux traditions mafieuses de l’époque, manquent de variété. Ils deviennent vite répétitifs, et l’absence de finesse dans les animations finit par nuire à l’expérience. À l’inverse, certaines fusillades gagnent en intensité grâce à une IA plus agressive par moments, capable de lancer des grenades ou de coordonner une attaque surprise – des moments rares mais appréciables.

Les phases de poursuites, que ce soit à cheval ou en voiture, sont quant à elles contrastées. D’un côté, elles offrent un bel écrin pour admirer les paysages ; de l’autre, elles souffrent d’une maniabilité rigide et de « murs invisibles » agaçants comme les buissons qui brisent l’immersion. Néanmoins, ces séquences, bien que perfectibles, participent à l’ancrage temporel et géographique du jeu, en rendant tangible une époque lointaine.

Une durée de vie courte, mais maîtrisée

Durant notre test de Mafia : The Old Country, On s’est aperçu de la durée de vie courte mais maîtrisée diu titre. Là où de nombreux titres s’éparpillent dans des quêtes secondaires superflues, celui-ci préfère aller droit au but. Comptez environ 12 heures pour la campagne principale, avec la possibilité de monter jusqu’à 20 heures si vous partez à la recherche des collectibles bien dissimulés.

L’ambiance sonore, fidèle au contexte historique, privilégie les compositions orchestrales et les airs folkloriques locaux plutôt que des musiques sous licence. Le résultat est subtil, parfois trop discret, notamment lors des longs trajets où l’absence de musique peut se faire sentir. Malgré cela, le jeu réussit à créer une atmosphère sonore cohérente et respectueuse de son cadre.

Les doublages sont un autre point fort. Que ce soit en version française ou originale, les acteurs livrent des performances convaincantes. L’usage ponctuel du dialecte sicilien renforce l’immersion et donne une saveur authentique aux dialogues. On saluera également le soin apporté aux bruitages : le claquement sec des armes, les sabots des chevaux sur la terre sèche ou les ruelles pavées, autant de détails qui enrichissent l’expérience.Mafia : The Old Country

Conclusion de notre test de Mafia : The Old Country

Mafia : The Old Country est une œuvre narrative ambitieuse et artistiquement réussie, qui séduit par son cadre original, sa réalisation soignée et sa volonté de proposer une expérience plus resserrée et mature. Loin des open-world démesurés, il choisit la densité narrative plutôt que la quantité, et cela fonctionne dans l’ensemble.

Cependant, son manque d’innovation côté gameplay et sa relative répétitivité viennent freiner l’enthousiasme. Ce n’est pas un jeu qui bouscule les codes du genre, mais un titre qui les respecte avec sérieux, au service d’un récit poignant et d’un univers rarement exploré.

Un jeu à recommander aux fans de la série, ou à ceux qui cherchent une aventure narrative forte, sans tomber dans l’excès ou le gigantisme. Un hommage sincère et maîtrisé à une époque oubliée, qui marquera surtout par son atmosphère et son récit, plus que par ses mécaniques de jeu.

Points Positifs

  • Réalisation visuelle saisissante et cadre historique unique
  • Narration cinématographique immersive et écrite avec soin
  • Immersion renforcée par la langue sicilienne, le doublage justifié
  • Parcours linéaire maîtrisé, durée bien calibrée
  • Bande-son qui colle parfaitement
  • Prix raisonnable par rapport au titre proposé

Points Négatifs

  • Exploration limitée malgré un monde ouvert visuellement riche
  • Un manque de challenge
  • Gameplay daté, répétitif, IA faible
  • Duel au couteau redondants

Mafia : The Old Country est disponible depuis le 07 Août 2025 sur PCPS5, Xbox Series S/X.

Critique Évanouis: l’horreur donne naissance à un nouveau classique

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Dans Évanouis (titre francophone qui sonne moins évident que le Weapons qui sert de version originale), Zach Creggers, qui signe ici son second film après Barbare, revient pour conter la mystérieuse disparition d’une classe d’enfants au sein d’une bourgade, le tout dans un film d’horreur chorale depeignant une version peu idéalisée des États-Unis.

Les frères Grimm, Stephen King et Jordan Peele sont dans une pièce…

Une petite bourgade en apparence sans histoires et en voix off, celle d’une innocente petite fille. Une voix se mettant à conter ce qui ne rends finalement pas cette petite bourgade de Floride si tranquille. Voilà comment Évanouis commence. Mais l’innocence présumée des premières minutes du film de Zach Creggers laisse très vite place au mystère, au deuil. À toute la lourdeur d’un évènement aussi mystérieux et tragique que la disparition d’enfants, tous issus d’une même classe, à l’exception d’un seul, volatilisés à la même heure précise au cours de la nuit. L’enquête de la police piétine, la maîtresse de la classe (excellente Julia Garner) devient la coupable idéal, toute portée sur l’alcool qu’elle est, et certains parents tentent tant bien que mal de démêler les fils d’une affaire que même les autorités ne parviennent à dénouer.

Julia Garner Évanouis screenshot officiel

Pour raconter ce récit totalement original, Zach Creggers lorgne beaucoup du côté de Stephen King et, à l’instar de Jordan Peele (qui fut fortement interessé par le projet), y traite de certains maux de l’Amérique profonde. Car pour recoller les pièces du puzzle, Creggers plonge dans la psyché de différents personnages, dont on suit le parcours parallèle, comme dans un bon petit film chorale, façon Magnolia ou Collision. De la maîtresse portée sur la paranoïa et l’alcool, on passe au policier dépressif et corrompu, traquant un junkie, dont on suit également le parcours, jusqu’à un père endeuillé et au passif vraisemblablement peu flatteur. La méthode qu’emploie ici le cinéaste s’avère tout particulièrement efficace dans le sens où elle maintient l’éveil du spectateur.

Un thriller tragi-comique chorale

De base, le scénario à de quoi intriguer et émouvoir, la disparition d’enfants n’étant jamais innocente. Mais Creggers ne se contente pas d’en tisser un banal film d’horreur sur fond de disparitions intriguantes. Il en fait le moteur d’une oeuvre chorale tant dans son concept que les quelques différences de tonalités au gré du parcours des personnages. Évanouis est avant tout un savant mélange de film épouvante et de thriller, avec toute la tension et le suspense que ca implique et juste ce qu’il faut de jumpscares pour faire sursauter sans surdoser. Mais Évanouis, c’est aussi un drame social et ca prends parfois des virages vers la comédie plus ou moins absurde.

Josh Brolin Evanouis screenshot officiel

Le plus gros de ce virage intervient d’ailleurs vers la révélation finale et il faut bien dire que celui-ci peut autant plaire que désarconner. Avec Évanouis, mieux vaut ne pas avoir une idée précise de ce que l’on va voir avant de le voir, car le film prend soin, et avec un malin plaisir, de casser toutes les attentes que l’on peut en avoir. Mais c’est justement cet effet de surprise qui le rend si efficace. Contrairement à beaucoup de films de genre, Zach Creggers sait parfaitement où il va. La structure déconstruite de son récit, avec ses différents cheminements mènent au même point final. Un point final qui sera peut-être le seul à nous faire regretter le voyage justement,  tant celui-ci s’achève sur une touche d’inachevé, que certains qualifieront de grand-guignolesque. Ca fera rire dans tous les cas mais pas toujours apprécier,  en fonction de vos attentes.

Résumé de notre critique de Évanouis

Avec son titre original de Weapons, bien plus en rapport avec les thèmes du film que le banal « Évanouis » qui sert de traduction française, on peut comprendre pourquoi Jordan Peele était si subjugué par le scénario (Creggers l’avait mis aux enchères,  à la recherche d’un producteur) et la frustration qu’il en aurait ressenti après avoir l’avoir perdu face à la Warner.  Évanouis n’est pas un simple thriller horrifique, qui serait une sorte de croisement bâtard entre Stephen King et les frères Grimm. C’est aussi un surtout un film chorale qui vire beaucoup au drame social et parfois à la comédie absurde.

Creggers, qui réalisera d’ailleurs sa propre adaptation de Resident Evil l’an prochain ( et on a totalement envie d’y croire) y insuffle une tension permanente, agrémentée de 2-3 jumpscares par-ci par-là et utilise le concept de film chorale pour y approfondir une certaine complexité dans les personnages que l’on suit. Le junkie survivaliste, le policier depressif et corrompu, la maîtresse parano et alcoolique, le père en deuil… Beaucoup y passent, sous le biais d’un casting particulièrement impliqué (mention toute particulière pour Amy Madigan, dont on se gardera bien de préciser la teneur du rôle ) et ca marche parfaitement,  même si la partie liée à la révélation finale pourra en refroidir certains, sûrement à juste titre.

Évanouis, un film thriller-épouvante de Zach Creggers, en salle le 6 août 2025.

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