Tank Havocest un jeu de combat en équipe de style MOBA, dans lequel vous prenez le contrôle d’un char d’assaut. Développé et édité par Mad Missile, il vient tout juste d’être annoncé en vidéo.
Combattez avec un tank sur mesure
Dans Tank Havoc, vous pourrez choisir entre plusieurs tanks, très différents les uns des autres. Chaque tank est équipé d’un arsenal unique ainsi que de capacités tactiques différentes et variées. Que vous choisissiez un tank aux attaques lourdes, ou un plus rapide, le champ de bataille ne se ressentira pas de la même manière. De plus, vous débloquerez des améliorations visuelles pour personnaliser vos tanks. Mais aussi des améliorations touchant directement aux performances de votre véhicule. Votre tank évoluera au fil de vos combats sur le champ de bataille.
La progression dans le jeu ne s’arrête pas au tank. En effet, vous aurez aussi la possibilité de débloquer des accessoires et avantages tactiques, vous rendant encore plus dangereux sur le champ de bataille. Mais choisir et personnaliser son char d’assaut n’est pas suffisant. Vous pourrez aussi décider entre une variété de pilotes, chacun avec un style de jeu et un équipement différent. Équipement que vous pourrez personnaliser à votre souhait.
Des combats en équipe stratégiques
Sur un champ de bataille explosif et chaotique, vous devrez faire preuve de stratégie et précision avec votre équipe pour en venir à bout de vos adversaires. Vous devrez vous positionner correctement et utiliser l’environnement à votre avantage pour gagner vos affrontements. Prenez de la hauteur, dissimulez vous dans la verdure ou prenez simplement contrôle des tourelles présentes sur le terrain, transformez le champ de bataille en votre propre terrain de jeu.
Les différents environnements où vous ferez vos affrontements présentent un monde mélangeant nature et technologie ancienne. Que vous soyez sur le sol d’un champ de bataille ou sur les toits de bâtiments, vous aurez la possibilité d’utiliser votre environnement pour vous déplacer plus efficacement et surprendre l’ennemi. Utilisez les différents tunnels pour vous progresser inaperçu, faites bonne utilisation des pièges présents ou bien sautez dans toutes les directions avec les pads et rampes de lancement. Ces nombreux éléments permettront de rendre les batailles divertissantes et dynamiques.
Tank Havocn’a pas encore de date de sortie, mais vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits Steam.
Jump Space ou anciennement appelé Jump Ship, est un jeu de missions spatiales en coopération. Développé et édité par Keepsake Games, il est maintenant disponible en accès anticipé pour tout le monde.
Formez votre équipage
Dans Jump Space, vous effectuerez des missions en coop jusqu’à 4 joueurs en PVE. Ensemble, vous serez l’équipage d’un vaisseau et partirez explorer l’univers et participer à des combats, en vol ou à pied. Pour cela, il vous suffira de choisir une mission parmi la vaste et diversifiée sélection, embarquer dans votre vaisseau, seul ou en équipe, et vous rendre à destination. Une fois arrivé, vous serez libre d’évoluer en restant dans le vaisseau, mais vous pourrez aussi en sortir et avancer dans l’espace avec votre combinaison et vos accessoires. Une troisième possibilité est de vous rendre sur une planète directement et de l’explorer à pied.
Décidez si vous voulez rester dans votre vaisseau et affronter ceux ennemis ou si vous choisissez d’en sortir pour aller saboter le vaisseau ennemi en avançant avec votre jetpack. Les transitions entre les phases d’exploration, de combat, et de déplacement seront complètement fluides et sans chargement.
Un vaisseau en constante évolution
Au fil des missions, il vous faudra trouver et récupérer des ressources et accessoires pour améliorer votre vaisseau ou le réparer. Vous pourrez le personnaliser comme vous le désirez et l’adapter à vos envies, ou bien aux besoins de la mission. Allez vous préférer améliorer sa défense, ou peut-être sa capacité d’attaque? Ou préférez-vous vous élancer à toute vitesse et améliorer sa capacité en énergie? La décision vous appartient, à vous et à votre équipage.
Partez en mission avec votre équipage, répartissez vous les tâches pour être le plus efficace et travaillez ensemble pour vaincre l’ennemi. Soyez réactif et à l’affût, prêt à adapter l’utilisation de votre vaisseau à la situation devant vous. Mais aussi prêt à réagir face aux imprévus, comme un feu se déclarant dans votre vaisseau. Dans Jump Space,les joueurs n’ont pas de classes attribuées. C’est à vous d’improviser face à la situation et de vous répartir les tâches de façon optimale.
Jump Spaceest disponible en accès anticipé sur PCet XBOX. Vous pouvez suivre l’évolution du jeu sur le site officiel.
Durant le dernier Nintendo Direct, un nouvel épisode de Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceaua montré le bout de son nez. Cette fois-ci ce n’est pas Omega Force qui est aux commandes, mais AAA Games Studio de chez Koei Tecmo. Cet opus sera un épisode canonique, ce qui étoffera cet univers déjà bien vaste. Aller on vous dit tout, même la date de sortie.
Hyrule Warriors : Les Chroniques du sceau est lié à BOTW et TOTK
On incarnera notamment la princesse Zelda, le roi Rauru, la reine Sonia, ainsi que d’autres personnages et alliés légendaires. Le jeu devrait tirer parti des nouvelles capacités matérielles de la Switch 2 : un nombre d’ennemis à l’écran plus élevé, fluidité améliorée. En ce qui concerne Link, sa présence n’est pas confirmée.
Bonus de connexion de sauvegardes : si vous avez des sauvegardes de Tears of the Kingdomsur la console, vous recevrez un objet bonus, l’Épée de garde d’Élite. Si vous avez des sauvegardes de Hyrule Warriors : L’Ère du Fléau, vous obtiendrez l’Espadon de Garde d’Élite.
Hyrule Warriors : Les Chroniques du Sceau sera disponible dès le 6 novembre 2025 sur Switch 2.
Annoncé récemment lors du Nintendo Direct et sorti le jour même, le DLC de Donkey Kong Bananza intitulé Île de DK et Course aux émeraudes pointe le bout de son nez, quelques mois après sa sortie en fanfare. Lorsque l’on évoque Donkey Kong Bananza (notre test ici), ce sont des souvenirs vivants : les jungles luxuriantes, les cascades de bananes, l’exploration sans fin des entrailles de la terre. Le nouveau DLC s’appuie sur cet héritage avec ambition, mais laisse aussi entrevoir ses limites — entre nostalgie et opportunisme. Voici notre test du DLC Donkey Kong Bananza :Île de DK et Course aux émeraudes.
Un renouveau de gameplay bienvenu
Le DLC introduit le mode Course aux émeraudes, qui sert de colonne vertébrale à cette extension. On y incarne DK et Pauline dans un contexte inédit : employés d’une mystérieuse VoidCo, chargés de missions pour le (nouvel) antagoniste Void Kong. Cette inversion des rôles fonctionne — transcription bien pensée de mécaniques déjà familières, mais revisitées pour donner un sentiment de fraîcheur. Les quêtes, défis, capacités redéfinies, et l’utilisation des environnements à la fois anciens et inédits montrent que les développeurs ont voulu offrir quelque chose de plus qu’un simple relookage.
Le côté addictif se fait vite ressentir. On recommence, on ajuste nos stratégies, on explore, on collecte — le tout gagne en profondeur, notamment par les compétences, qui ne sont pas simplement des bonus cosmétiques mais des leviers de gameplay. L’aspect « boucle de jeu » est maîtrisé : le joueur est incité à revenir, à progresser, à découvrir des éléments cachés (dont certains puzzles particulièrement retors). Même si après quelques heures de jeu, la répetitivité se fait ressentir.
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DK Island : fan service, mais atmosphère floue
L’Île de DK, le nouvel environnement ici introduit, incarne le cœur nostalgique du DLC. On y retrouve les clins d’œil assumés : décor, éléments visuels, références plus ou moins subtiles à l’histoire du jeu, aux jeux anciens. C’est joli, parfois très joli, dès que l’on apprécie le charme rétro et l’hommage.
Cependant, c’est dans cette partie que le bât blesse. Car si l’on peut admirer le soin graphique, on regrette que cette recontextualisation ne soit pas accompagnée d’une narration plus forte ou d’une intégration plus signifiante. On a l’impression d’un décor bien monté, mais parfois déconnecté — comme si les références étaient là pour cocher des cases plutôt que pour raconter quelque chose de nouveau. Le charme opère, mais l’émotion tarde à venir.
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Les limites du DLC de Bananza
Il y a, derrière les aspects positifs, un sentiment persistant que ce contenu aurait pu être mieux calibré. Pour beaucoup, le prix demandé ne semble pas complètement justifié au regard de ce qui est proposé. Le joueur reçoit plus de missions, plus d’heures de jeu, mais ces heures souffrent parfois de répétitivité, d’un manque de nouveauté réellement existante.
En comparaison avec le jeu de base, ce DLC paraît moins inspiré — moins audacieux. Le contraste entre ce qui fonctionnait déjà très bien dans Bananza et ce que ce DLC apporte de neuf peut gêner. Le design des puzzles manque parfois de clarté. Certaines mécaniques paraissent être plus un ajout cosmétique qu’une véritable évolution. Enfin, la narration — ou du moins l’effet narratif — est diffuse : beaucoup de touches, peu de substance.
On peut regretter également, malgré le fait que ce DLC ajoute aussi la course aux émeraudes sur les différentes strates du jeu, que peu de contenu étoffe l’expérience. Des costumes nostalgique qui collent à l’univers l’île de DK aurait pu être rajoutés, des vrais points de compétences ou pleins d’autres idées qui aurait pu enrichir l’expérience du jeu de base : Bananza.
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Conclusion de notre test du DLC de Donkey Kong Bananza : Île de DK et Course aux émeraudes
Île de DK et Course aux émeraudes est un DLC recommandable, surtout pour le prolongement du jeu original pour les fans et pour celles et ceux qui savourent le style, l’univers, l’ambiance de Donkey Kong. Le renouvellement est réel, et l’on prend plaisir à replonger dans les contrées de bananes et d’émeraudes. Mais ce n’est pas une extension qui bouleverse les règles du jeu — et dans le contexte des attentes élevées, cela se ressent.
Si vous cherchez quelque chose de solide pour prolonger l’expérience, ce contenu est une option valable. Mais ne vous attendez pas à vivre la surprise du siècle : elle ne viendra pas ici. L’essentiel est là, mais avec des compromis. Surtout à cause de son prix de 20€ fixé par Nintendo qui freinera plus d’un joueur.
Points Positifs
Gameplay toujours aussi addictif
Univers de l’île de DK respecté
Prolonge l’expérience de Bananza…
Points Négatifs
…mais pour un prix prohibitif
Répétitif au bout d’un moment
Pas de rajout de cosmétique ou de costumes marquants
Le rapport prix élevé / contenu limité
DLC Donkey Kong Bananza : Île de DK et Course aux émeraudes est sorti le 12 septembre exclusivement sur Nintendo Switch 2.
Super Mario Galaxy 1+2 débarque sur Switch. Alors que le premier opus faisait déjà son apparition dans une collection All Starsvendu en tirage limité sur Nintendo Switch, le titre revient dans une nouvelle compilation, cette fois accompagné de son second opus, avec quelques améliorations. Et la possibilité d’être achetés à part.
Super Mario Galaxy 1+2 sublimés sur Nintendo Switch 2
Très franchement, l’annonce de Super Mario Galaxy 1+2 sur Nintendo Switch a eu de quoi nous laisser circonspect sur le coup. Il faut rappeler que le premier jeu avait déjà eu droit à sa réedition sur Nintendo Switch dans le pack Super Mario 3D All Stars, nous laissant supposer que le constructeur japonais avait préparé son coup en amont. Tirages limités + absence du second jeu dans le lot, difficile de ne pas y flairer l’aubaine commerciale facile.
Toutefois, il se trouve que de petites nouveautés seront finalement de la partie. Pour commencer, les 2 titres pourront être vendu séparément. Après tout, celles et ceux qui ont déjà eu le jeu via le All Starsn’en auront pas spécialement besoin (mais ne pourront peut-être pas profiter des petites nouveautés ajoutées dans cette version de la compilation). À coté, on y trouvera également de nouveaux chapitres dans le livre d’Harmonie ainsi qu’une interface ameliorée.
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De la 4K, des amiibo et un livre
La version Switch 2 inclura quant à elle dans les deux jeux le support du mode souris ainsi qu’une résolution en 4K 60 fps en mode dockée/ 1080p en mode nomade. Pour l’occasion, une version papier du livre d’Harmonie sera également en vente (les nouvelles pages ne seront pas incluses) et la bande-son des 2 jeux, 154 morceaux au compteur seront accessible dans le menu. Par ailleurs, un mode assistance est également de la partie, permettant à Mario d’éviter les chutes intempestives et de reprendre en énérgie lorsqu’il est immobile. Enfin, 2 nouveaux amiibo seront également proposés à la vente.
L’une représentant Mario et Luma, l’autre représentant Harmonie en pleine lecture, accompagnée également de Luma. Elles seront disponible dès le 2 avril 2026 et vous pouvez dores et déjà les précommander ici et là, tout comme le livre, qui sera disponible le 25 novembre prochain et que vous pouvez précommander ici. Notez toutefois que pour ce dernier, aucune localisation française n’est annoncée pour l’heure, la compilation qui nous intéresse ici sera vendue au prix de 69€99, mais comme on le disait, vous pourrez acheter les deux titres à part, au prix de 39€99 l’unité.
Super Mario Galaxy 1+2 sortira sur Nintendo Switch 1|2 le 02 octobre 2025.
Bandai Namconous offre une petite surprise en sortant une démo pour Little Nightmares III, à trois semaines de la sortie du soft, prévu sur toutes les consoles et PC. D’une durée de 30 min, celle-ci propose de jouer le segment de la Nécropole et était déjà jouable dans une version preview à la PGW 2024.
Little Nightmares III: L’autre GTA VI de la scène indé ?
Alord que la vague Silksong a deferlé sur le milieu indé, incitant certains éditeurs à repousser leur jeu, un autre titre de la scène indé s’apprête lui aussi à faire son retour. Little Nightmares n’a peut-être pas la popularité de Hollow Knight mais aucun doute qu’il est tout autant attendu par la communauté. D’autant qu’ici, ce n’est plus Tarsier Studio, responsables des deux premiers opus qui s’est occupé du développement mais Supermassive Games.
Si le studio à prouvé depuis longtemps sa maitrise du jeu d’horreur narratif avec Until Dawn ou l’anthologie Dark Pictures, il leur reste encore à faire leur preuve en terme de gameplay. La démo que l’on avait déjà essayé l’année dernière nous montrait que la maîtrise semblait bien là. Nous pourrons confirmer cela à la sortie du jeu. Quoi qu’il en soit, vous pouvez désormais télécharger cette démo, assez courte au demeurant puisque elle s’étale sur 30 minutes de jeu. Elle offre tout de même la possibilité d’être jouée à deux, la coopération étant l’un des nouveaux éléments de gameplay au coeur du jeu.
Little Nightmares IIIsortira le 10 octobre 2025 sur PC, PS5, PS4, Xbox Series X|S, Xbox One et Nintendo Switch.
Si la plupart des éditeurs et constructeurs capitalisent souvent sur leur succès passés, Nintendo fait naturellement la même chose mais également sur ses échecs. Comme en témoigne la ressortie du VirtualBoy, l’un des plus gros échecs de l’histoire du géant japonais (voire de l’industrie du jeu vidéo).
Virtual Boy, échec total assumé par Nintendo
La nostalgie a souvent tendance à embellir les souvenirs d’enfance, y compris les moins bons souvenirs. Nintendo l’a parfaitement compris et c’est probablement pourquoi le constructeur y va au culot et a annoncé, lors du dernier Nintendo Direct,la ressortie du Virtual Boy. Accessoire « iconique » de la Nintendo 64, le Virtual Boy, c’était la VR avant l’heure, quand Nintendo montrait déjà son appétence pour les technologies révolutionnaires. Alors la révolution, elle y était avec ce fameux casque «VB» Seulement, la technologie n’était alors pas franchement au point.
Cinétose, vomissements et autres désagréments de la VR étaient alors au programme, le tout accompagné à terme d’un catalogue limité à 22 jeux spécialement dediés, qui ne supportaient que le noir et le rouge (oui, on était loin de la proposition du futur Oculus Rift, qui lui même, n’était pas totalement au point à sa sortie). Mais le constructeur n’a jamais renié cet objet de collection, ce dernier ayant même fait des petites apparitions clins d’oeils dans certaines de leur licences et même au sein du nouveau musée dediée récemment ouvert à Tokyo.
Aujourd’hui, c’est tellement assumé que l’accessoire va ressortir en février 2026, dans une nouvelle version (ou plutôt 2), permettant de glisser au choix une Nintendo Switch 1 ou 2 et profiter d’un nouveau catalogue « Classics Virtual Boy« , accessible pour les abonnés online, qui fera son arrivée en même temps que l’accessoire. Ce dernier reprendra, dans son format classique le même design que son modèle (un trépied à poser sur une table à hauteur du visage). Le format de poche, pour ceux qui veulent payer moins cher et limiter les risques de mal de dos pourront opter pour de la VR en carton (sans mauvais jeux de mots).
NintendoLab Cardboard
Il s’agit d’une version carton et portable de l’accessoire, que les joueurs devront se coller au visage. L’avantage, c’est que niveau tarif, nous sommes sur quelques chose de plus raisonnable pour cette version carton, qui sera commercialisée au prix approximatif de 20€ par chez nous. Pour la version classique, il va au contraire falloir allonger davantage de monnaie puisque pour revivre l’expérience Virtual Boy pur jus, il en coûtera la bagatelle de 80$.
Un prix qui pique autant que le casque ne piquait (et devrait toujours piquer) les yeux. Bien entendu, nous parlons de nostalgie totale puisque l’expérience sera strictement la même que par le passé et aucun nouveau jeu ne va accompagner l’accessoire pour l’occasion. Il n’y a décidément pas de petites économies pour Nintendo et ce n’est pas la ressortie de certains jeux ou certains collectors également annoncés lors de ce Nintendo Direct qui nous feront dire le contraire. Si la nostalgie est un concept qui vous branche à ce point, alors vous pouvez vous rendre sur ce lien pour précommander l’accessoire.
La Virtual Boy pour Nintendo Switch 1|2 sortira le 17 février 2026 et un abonnement au Nintendo Switch Online+ Pack Additionnel est nécessaire pour jouer aux titres dediés.
Depuis quelques années les jeux de simulation de vie ont la quotte. Parmi eux nous pouvons citer : Palia le MMO, ou encore Stardew Valley et Animal Crossing. Cette fois, c’est Nintendoqui se jette à l’eau avec Pokémon Pokopia.
Construisez votre refuge dans Pokémon Pokopia
Incarnez un Métamorph qui se transforme en humain sans oublier qui il est vraiment. Au fur et à mesure qu’il explorera le monde il trouvera des Pokémons de toutes les espèces. Ensemble ils parviendront à changer les biomes afin de créer un petit paradis pour les autres. Servez-vous de Bulbizarre pour faire pousser des coins d’herbe, ou encore Carapuce pour arroser les plantes. Tout le monde aura son utilité à un moment donné. Tygnon vous apprendra à boxer les cailloux pour détruire des murs embêtants, Insécateur vous aide à abattre des arbres, Rototaupe vous inspire l’art de bêcher le sol pour planter des légumes…
Vous l’aurez compris, en travaillant patte dans la patte vous parviendrez à construire un petit sanctuaire pour tous les Pokémons. En revanche nous ignorons encore les raisons qui ont poussé la créature de la première génération à changer de forme et à construire cet endroit.
Pokémon Pokopia sera disponible dans le courant de l’année 2026 sur Nintendo Switch 2. Les précommandes seront ouvertes à partir 12 novembre 2025.
Gamers maniaques (oui ça peut exister) renfilez vos combinaisons et sortez vos karchers ! PowerWash Simulator 2 revient sur le devant de la scène. On vous dit tout sur le jeu de FuturLab, qui d’ailleurs s’ auto-édite pour cette nouvelle aventure.
PowerWash Simulator 2 sera de partout
Retrouvez les rues de Muckingham, mais visitez, ou nettoyez d’autres lieux comme Sponge Valley, Power Falls, Lubri City. Alors que le premier opus pouvait se faire en solo, ou en multi en ligne, celui-ci pourra se faire en local. Quel plus grand plaisir que de nettoyer à plusieurs ? Ce n’est pas tout ! La progression sera synchronisée pour ceux qui souhaitent avancer sans trop se fatiguer. On le sait et on vous voit les profiteurs ! Trêve de plaisanterie. Tandis que le local se fera à deux joueurs, le mode en ligne lui pourra monter jusqu’à quatre.
L’une des plus grosses nouveauté est votre base. Fini de vivre dans votre camion entre deux cartons de produits et votre combinaison. Personnalisez votre propre espace et exposez certains objets à collectionner.
Les développeurs ont également confirmé que les savons seront plus efficaces, tenant mieux aux saletés pour mieux les décoller. Fini de grimper sur les toits grâce à un entrainement incroyable (oui on a trouvé que ça comme explication), vous aurez accès à une plateforme élévatrice, ou encore à un système de corde pour atteindre les endroits les plus compliqués. L’interface visuelle a également été améliorée afin de mieux voir les tâches qui auraient été oubliées.
Power Wash Simulator 2 sera disponible fin 2025 sur PC, PS5, Xbox Series et Switch 2.
Vous avez toujours voulu créer votre jeu vidéo, mais vous ne savez pas comment vous lancer? Vous entendez parler de moteurs de jeu sans trop comprendre, ou la programmation vous fait peur? Peut-être avez-vous déjà une idée de ce que vous voulez faire sans savoir quel moteur choisir? Nous allons passer en revue divers moteurs de jeu adaptés à tous les profils, avec ou sans code, pour la 2D, comme pour la 3D ou d’autres encore plus spécifiques et à la fin de cet article, vous aurez une vision plus claire du moteur qui est fait pour vous et vos projets.
Quels moteurs existent?
Pour les plus courageux d’entre vous, il vous est possible de créer votre propre moteur de jeu de toute pièce. Mais cela demande une bonne connaissance en programmation, du temps et du travail supplémentaire. Nous n’aborderons pas cette partie-là dans l’article, qui va présenter des moteurs de jeu déjà existants, et qui sont les choix les plus courants pour un développeur indépendant.
Unreal Engine 5
Unreal Engine est un moteur édité par Epic Games et spécialisé dans la 3D. Utilisé pour de nombreux jeux AAA, il propose de faire de la 3D de haute qualité et digne des plus grands. Le moteur est gratuit à l’usage, mais prendra une redevance sur les revenus sur votre jeu à partir d’un seuil fixe.
Unreal Engine utilise deux types de langages différents, le C++ et les Blueprints. Bien que le C++ soit un langage très complet, il est aussi complexe à prendre en main. Le système de Blueprints, un langage visuel par bloc, vous permettra de créer votre logique et de prototyper sans avoir besoin de faire de code, ce qui peut-être un plus quand on a jamais utilisé le C++.
Avec une interface complexe et un langage en C++, Unreal Engine n’est pas un moteur facile à prendre en main. Il vous demandera du temps et de l’implication, ce qui en fait un moteur plus adapté aux gros projets 3D qu’à des jeux moins ambitieux ou 2D.
Avantages:
Les principaux points forts d’Unreal Engine sont sa capacité à proposer des graphismes de haute qualité, les Blueprints qui rendent le moteur plus accessible, l’accès gratuit au moteur et à son code source, ou encore le grand nombre d’aides et de tutoriels proposés par la communauté.
Limites:
Unreal Engineest un moteur qui n’est pas accessible à tout le monde. Il requiert un matériel puissant et un espace disque élevé, le poids final des jeux est souvent assez haut. L’interface complexe rend l’accès difficile pour un débutant, et la redevance sur les jeux à succès peut en refroidir certains.
Unity
Unityest un moteur polyvalent adapté aussi bien à la 2D qu’à la 3D. Bien que moins utilisé pour les AAA, il est très populaire parmi les développeurs indépendants et mobiles. Le moteur est gratuit à l’acquisition, mais au-delà d’un certain nombre de revenus, des frais seront prélevés.
Le langage principal utilisé sur Unity est le C#, un langage plus facile à prendre en main que le C++. Il ne propose pas d’options alternatives sans programmation, donc vous aurez à vous familiariser avec le C#.
Unity est réputé pour être facile à prendre en main. Par son interface riche et claire, ses nombreux tutoriels et une documentation complète. Vous serez en mesure de commencer à travailler sur votre projet assez rapidement.
Avantages:
Unitypropose un asset store très complet, bien que ce qui est proposé soit en partie payant. Vous pouvez aussi facilement faire des jeux PC, mobile, ou console, en 2D ou 3D et de bonne qualité, sans avoir besoin de passer beaucoup de temps à apprendre le moteur.
Limites:
Un langage de programmation (C#) reste nécessaire à connaître pour pouvoir faire votre projet. Bien qu’il ne soit pas le plus compliqué et que les nombreux tutoriels vous rendront la tâche plus facile. Tout comme Unreal Engine, le poids final du jeu peut-être assez haut et certains ne seront pas prêt à payer des frais si leurs jeux a du succès.
Godot
Godotest un moteur polyvalent, conçu pour la 2D et la 3D. Il gagne petit à petit en popularité par sa simplicité d’usage et d’accès. En effet, c’est un moteur complètement gratuit et open source, sans aucuns frais cachés ou sur les revenus.
Il utilise son propre langage, le GDScript, un langage accessible et simple à apprendre. Il propose la prise en charge d’autres langages par l’ajout d’addons si vous êtes déjà familiers avec du C# ou un autre.
Godotest très abordable pour les débutants. Il est simple et intuitif, avec une architecture claire qui le rend facile à comprendre et à travailler. Vous pouvez facilement trouver des addons gratuits avec des scripts déjà faits pour vous faciliter la tâche, comme par exemple pour intégrer des dialogues ou un HUD.
Avantages:
En plus d’être complètement gratuit même après publication de votre jeu, le moteur est très léger. Il ne prend que très peu de place sur votre disque et ne demande pas de grandes performances pour pouvoir développer dessus. Il est open-source, donc tout le monde a accès à son code pour pouvoir proposer des améliorations. C’est un moteur très performant pour la 2D avec beaucoup de fonctionnalités intégrées de base. Bien que surtout fait pour un jeu PC, vous pourrez facilement y faire un jeu mobile ou même Web. C’est un moteur en constante évolution, avec des mises à jour régulières et un travail sur la partie 3D pour la rendre de plus en plus performante.
Limites:
Etant un moteur encore peu populaire comparé à Unreal Engineou même Unity. La communauté n’est pas très grande, ce qui veut dire que vous trouverez moins de variétés de tutoriels et documentations. Bien que capable de faire de la 3D, il reste moins performant sur ce domaine avec des fonctionnalités moins avancées que ses concurrents.
GameMaker
GameMaker Studio 2 est un moteur très orienté 2D. Souvent utilisé par les développeurs indépendants, c’est un moteur réputé et performant pour la 2D. Vous pouvez télécharger le moteur gratuitement, mais les licences commerciales sont payantes.
Il propose son propre langage, le GML, un langage qui est assez simple à prendre en main et permet de programmer des fonctionnalités et mécaniques avancées dans votre jeu. Vous avez aussi la possibilité de ne pas utiliser le langage et de tout faire par actions visuelles ( Drag and Drop), mais vous serez plus limité dans les possibilités.
GameMaker Studio 2 est un très bon moteur pour les débutants, très simple à prendre en main. Son éditeur de niveau et son interface sont simples et intuitifs, et le mode Drag and Drop vous permet de faire un jeu de base sans une seule ligne de code.
Avantages:
GameMaker Studio 2 est un moteur fait pour la 2D et vous permet de vous épanouir dans ce domaine-là. Il est très simple à prendre en main et très intuitif. De nombreux tutoriels et assets sont disponibles gratuitement et vous pourrez développer votre jeu sans trop de complications.
Limites:
Le moteur n’est pas fait pour de la 3D. Ce n’est pas impossible à faire, mais ce n’est pas recommandé non plus, ses capacités 3D étant très limitées. Le langage étant propre à GameMaker Studio 2, l’apprendre ne vous aidera pas si vous décidez de passer sur un autre moteur de jeu. Vous risquez de vous retrouver à devoir dépenser de l’argent, que ce soit pour une licence ou pour certaines fonctionnalités avancées.
Des moteurs plus spécialisés
RPG Makeret Renp’ysont des moteurs spécialisés dans un genre de jeu spécifique. RPG Maker, avec ses nombreuses versions, propose les outils optimaux pour la création d’un JRPG en 2D. Il vous permet de créer votre base de données pour vos créatures, personnages, compétences et objets, mais aussi de pouvoir directement éditer vos cartes par le moteur de jeu. Vous pouvez faire un jeu entier sans écrire une seule ligne de code. RPG Maker fonctionne avec un système d’événements. Des blocs visuels qui vous permettent de créer des scènes et des interactions. Les versions les plus récentes permettent aussi de faire des scripts en JavaScript pour plus de personnalisation. Payant à l’acquisition, RPG Maker reste le moteur idéal si votre projet est un J-RPG.
Renp’y, lui, est tourné vers les Visual Novels. Il possède son propre langage dérivé du Python. Mais n’ayez crainte, c’est un langage très facile à prendre en main. En étant focalisé sur de la narration principalement, vous aurez une syntaxe assez classique où vous écrivez vos dialogues et ajoutez les images et musiques autour. Bien sûr, il reste possible de faire des systèmes plus travaillés, avec des éléments interactifs, des histoires à branches et bien d’autres. Gardez juste en mémoire que vous restez limités par le moteur. Renp’yest gratuit à l’acquisition et est idéal si vous souhaitez faire votre propre Visual Novel.
Quel moteur choisir?
Vous l’avez compris, chaque moteur de jeu est différent avec ses propres forces et faiblesses. Lequel est fait pour vous, cela dépend de vous et de votre projet. Si vous avez déjà votre projet spécifique, un moteur adapté sera un gain de temps, prenez Renp’ypour faire des Visual Novels, RPG Maker pour du J-RPG ou GameMaker Studio 2 pour de la 2D.
Si vous préférez faire de la 3D ou encore vous focaliser sur un seul moteur pour tous vos différents projets, vous pouvez vous diriger vers un plus gros moteur. Unreal Engine, Unity et Godot, sont assez polyvalents, offrant de la 2D et de la 3D et vous permettant aussi de faire les autres genres cités plus haut, mais en y mettant plus de travail et de temps. Mais la prise en main de chacun est très différente, Godotétant plus facile pour débuter, bien que limité sur la 3D.
Le choix final est votre. Vous avez pu avoir un aperçu de différents moteurs connus, bien que la liste ne soit pas exhaustive. Il existe de nombreux autre moteurs de jeu, que ce soit 2D, 3D ou spécifiques, comme Cryengine ou encore Construct3, qui n’ont pas été traités ici. Choisissez-en un et lancez vous. Et si vous vous rendez compte que le moteur n’est pas pour vous, passez à un autre, jusqu’à trouver celui qui vous convient le mieux.
Le choix final vous appartient. Alors, à vous de jouer!