Après deux opus marquants, Dying Light 2 ayant consolidé la place de la franchise dans le genre action-survie en monde ouvert. Les fans sont déjà impatients de découvrir Dying Light: The Beast. Un nouveau chapitre qui va une fois de plus les plonger dans l’horreur et la violence d’un monde post-apocalyptique. Prévu pour l’été 2025, ce jeu autonome promet d’offrir une expérience encore plus viscérale et immersive, tout en repoussant les limites du genre.
Un retour aux sources et une évolution audacieuse
Dans The Beast, Techland a choisi de revisiter un personnage central de la série : Kyle Crane. Le protagoniste du premier jeu. Après avoir survécu à de nombreuses épreuves, Crane revient, mais dans un état bien différent. Suite à des expériences menées par le Baron, un scientifique dément, Kyle se retrouve doté de pouvoirs bestiaux. Des capacités physiques qui risquent de le transformer en la créature même qu’il combat. Ces expériences, conçues pour améliorer l’humanité, ont eu pour effet secondaire de renforcer Crane au-delà de ses limites humaines. Ceci le plaçant face à un dilemme moral profond : comment utiliser ces pouvoirs sans devenir le monstre qu’il déteste?
Le jeu se déroule après les événements des précédents volets, dans une nouvelle région appelée Castor Woods. Le joueur sera au cœur de zones urbaines dévastées et de marécages sinistres. Un environnement ouvert et dynamique permettra aux joueurs d’explorer librement ce monde aux paysages post-apocalyptiques. Des changements de météo et une transition entre le jour et la nuit viendront enrichir l’expérience de jeu.
Un gameplay affiné : parkour et combat sanglant
Les mécaniques de jeu sont une fois de plus au cœur de cette aventure. Le parkour, marque de fabrique de la série, est omniprésent. Il permet de se déplacer avec fluidité et d’explorer des environnements interactifs. Mais The Beast ne se limite pas à l’exploration : le combat viscéral est poussé à son apogée. En plus des armes à feu, Kyle Crane utilise ses capacités bestiales pour écraser ses ennemis, offrant ainsi des séquences de combats intenses et dévastatrices.
Les menaces, comme les nouveaux types de Viraux créés par le Baron, se dressent sur le chemin des joueurs, qui devront adapter leurs stratégies. Le climat changeant et l’atmosphère oppressante renforcent l’immersion, tandis que le cycle jour/nuit introduit des dangers encore plus redoutables.
Le Baron : un antagoniste machiavélique
Le Baron, de son vrai nom Marius Fischer, est l’ennemi ultime de Dying Light : The Beast. Ce scientifique brillant et cruel est convaincu que l’humanité doit évoluer. Quitte à sacrifier la souffrance des individus pour atteindre ses fins. Descendant d’une dynastie pharmaceutique, il croit que les survivants de l’épidémie sont faibles. Il cherche à accomplir un dessein mystérieux à travers des expériences sur des souches virales. Ses actions impitoyables feront de lui un personnage central du jeu, et ses confrontations avec Crane seront une lutte sans merci.
Pour Kyle, affronter le Baron, c’est aussi faire face à son passé. L’héritage de ses expériences le hante, et chaque pas vers la rédemption risque de le rapprocher du monstre qu’il risque de devenir. Les joueurs devront naviguer dans cette lutte intérieure, où chaque décision aura des conséquences dramatiques sur le destin de l’humanité.
Une surprise pour les fans de Dying Light 2
Les amateurs de Dying Light 2: Stay Human auront droit à une surprise agréable : The Beast sera inclus gratuitement pour les détenteurs de l’Ultimate Edition du jeu. Cela permet aux fans de la franchise de continuer leur aventure dans cet univers sombre, tout en bénéficiant de l’évolution du gameplay et de l’histoire.
Avec des milliers de joueurs déjà impatients de plonger dans l’univers de Dying Light: The Beast, le jeu s’annonce comme l’un des titres les plus attendus de l’année 2025. Un monde ouvert vaste, des mécaniques de gameplay peaufinées et un antagoniste intrigant font de ce nouvel opus une véritable promesse d’horreur et d’action. À moins d’un an de sa sortie, Dying Light: The Beast s’imposera peut-être comme un incontournable de la scène vidéoludique.