Funcom est sur le front et interpelle nos vieux univers de SF avec son projet de MMO
Dune the awakening n’est en tout cas pas le dénouement !
D’une, ce n’est pas ce que vous croyiez, à savoir sans doute un STR de plus pour alimenter la folie Denis Villeneuve (réalisateur mi-révéré mi-détesté du remake de Dune). De deux, c’est bien ce que vous croyez : un MMO. Vous sentez une contradiction dans les termes ? Vous êtes renvoyés à vos Bescherelle pour apprendre les différences fondamentales en termes de conjugaison des passé et présent. Car oui, avouez-le, c’était mieux avant, c’est votre grand-père qui vous l’a dit, lui il a peut-être lu toute la saga et a peut-être voulu fomenter une vendetta à l’époque du premier film de David Lynch (effectivement, beaucoup n’ont pas aimé…). Mais Dune Spice Wars est passé par là, il nous fallait autre chose. On ne nous l’avait pas promis, on va quand même y avoir droit, la licence issue de la saga de Frank Herbert est source d’un commerce florrissant depuis l’apparition de Chani sur les grands écrans, que ce soit en jeux vidéo ou en jeux de société ou en films (ou en série ? Pas impossible !) ou en peluches de Vladimir Harkonnen – mais bon, ça sent très fort l’hoax là.
Est-ce que MMO rime toujours avec Open World ? A tout le moins c’est ici le parti pris. Le jeu est apparenté à un survival et, du coup, il semble que les opinions divergent : est-ce qu’on s’approche de ce monstre ou est-ce qu’on fuit ce faux AAA ? Des questions qui font tourner la tête. Surtout que la communauté des fans est déjà sur les dents et que si vous n’en avez pas beaucoup entendu parlé c’est que le job est encore à l’état de brouillon. Il a été annoncé à la Gamescom 2022, il s’est paré d’un trailer à celle de 2023, on peut espérer une sortie pour 2024 sur PC, PS5 et Xbox Series X. Du coup… cette news ne sert à rien ? Si ! Pour le bonheur de tous les fans d’Arrakis et de la Princesse Irulan, un rêve de gamin est en pleine gestation. Ce qui n’est pas rien. C’est même une grande et belle chose. Et Brian Herbert, l‘héritier de Frank son père, escompte moult royalties. L’amouuur, l’amour !
