Hogwarts Legacy: Un tour de magie à la hauteur du rêve ? Notre test complet

Lorsque les premières indiscrétions autour d’un ambitieux open world dans l’univers d’Harry Potter se sont manifestées, on osait à peine y croire. Et voilà que 5 ans après, ce Hogwarts Legacy tant rêvé s’apprête enfin à débarquer grâce aux équipes d‘Avalanche Software. S’il faudra encore un peu de patience pour ceux qui ne possèdent pas encore de consoles PS5 et Xbox Series ou de PC, et encore plus pour ceux qui comptent y jouer sur la nomade de Nintendo, notre patience à nous a désormais été récompensée.

En effet, nous avons pu arpenter les couloirs de Poudlard dans presque tous ses recoins et il est temps enfin de donner notre verdict. Est-ce vraiment le jeu ultime Harry Potter ou bien n’est-ce finalement que de la poudre de perlimpinpin ? Prenez place à bord du Poudlard Express, direction : notre test sur Hogwarts Legacy.

La création de personnages, permissive mais classique

Château Poudlard Hogwarts LegacyAvant tout, commençons ce test de Hogwarts Legacy par le commencement. Le jeu nous invite d’emblée à créer de toutes pièces notre personnage. La communication a été très poussée dessus. Mais de notre côté, et un peu comme on le sentait à vrai dire, il ne s’agit pas non plus de ce que l’on a vu de plus complet ou de génial dans le domaine. Oui, il est plutôt permissif et permet de créer un personnage à notre image, que l’on soit homme, femme, transgenre, etc. Bref, si en l’état, le système à ce qu’il faut de permissif, on a surtout l’impression que la communication servait à calmer l’incendie provoqué par la triste polémique JK Rowling.

En revanche, un grand point que marque le créateur de personnage, c’est la faculté à rendre ce dernier particulièrement vivant. De notre côté, nous avons opté pour la création d’une femme (afin de faire grimper le taux de femmes héroïnes de jeux vidéo et parce que Adeline Chetail) et à plusieurs reprises, nous avions oublié qu’il s’agissait d’un perso imaginé par nos soins. Comprenez par là que l’aspect « skin » est généralement très perceptible dans les jeux qui offrent aux joueurs la possibilité de jouer leurs propres héros.

Nous parlions d’Adeline Chetail, nul doute que sa douce voix, elle contribue à rendre notre sorcière en hautes herbes bien vivante. Nous n’avons pas eu l’occasion d’essayer la version masculine mais du peu que l’on a pu voir, ça semblait aussi très bon. Ce qui l’est moins par contre, ce sont les tonalités. Un conseil : laissez-les à leur juste milieu, tant ces dernières, qu’elles soient dans les graves ou les aigus ne font pas du tout naturels.

Une magie instantanée

L’histoire d’Hogwarts Legacy prend place à la fin des années 1890. Nous y incarnons, selon nos préférences un sorcier ou une sorcière qui semble avoir une affinité particulière avec l’ancienne magie. Une faculté qui lui ouvre les portes de Poudlard directement en 5ᵉ année. Cette faculté attire également l’attention de Ranrok, un gobelin bien décidé à mener une révolte contre le monde des sorciers. Nous reviendrons un poil plus en détail sur l’histoire, sans spoilers. Mais sachez déjà que celle-ci, très agréable à suivre dans l’ensemble, reste dans la lignée de la saga de JK Rowling avec son lot de politique et de magie.

À peine le jeu lancé, on croirait voir le début d’un nouveau film de la saga. Une cut-scène à la réalisation spectaculaire qui donne rapidement le ton sur l’aventure qui nous attend. Ce n’est qu’après une intro dont on taira les tenants et aboutissants que l’on effectue nos premiers pas à Poudlard et là, la magie s’accomplit alors pleinement. Entre l’architecture des lieux, les détails, la fidélité à la fois aux romans et aux films, les équipes d’Avalanche Software se sont très clairement pliées en 4 pour dépeindre avec minutie la célèbre école de sorcellerie.

Salle de divination Hogwarts Legacy

Et il faut dire que le travail n’était pas simple. Au-delà de la reproduction des lieux connus, il fallait aussi mettre en image ceux dont la description était vague voire inexistante (coucou Poufsouffle) et imaginer les différents cheminements entre les salles et autres lieux, intérieurs ou extérieurs au château. Pourtant, les développeurs ont relevé le défi d’un bon coup de baguette magique à ce niveau-là. Notamment pour ce qui est de la direction artistique des 4 maisons, que nous pouvons choisir lors de notre arrivée à Poudlard, à moins de s’en tenir à la décision du choixpeau, après un tout petit interrogatoire.

salle commune Serdaigle Hogwarts Legacy

Un monde vaste et vivant…

Le monde de Hogwarts Legacy ne se limite toutefois pas  à la fameuse école, comme ne l’indique pas du tout son nom. Cette année scolaire est aussi l’occasion pour notre pro de la vieille école de visiter divers lieux bien connus autour du château. Tel que Pré-au-Lard, le seul village sorcier de Grande-Bretagne ou la Forêt Interdite ainsi que bon nombre de hameaux disséminés de part et d’autre d’une map plutôt vaste, pleine de verdure, de feuilles ou de neige suivant les saisons. Le monde s’avère aussi agréablement vivant et ce même si les 3/4 des personnages restent plutôt statiques, généralement par groupe de 2 ou 3, les bras croisés à attendre qu’il se passe un truc intéressant dans leur vie.

Artistiquement, oui, la magie opère et la technique du jeu fait aussi son petit effet mais il convient de légèrement tempérer sur ce point précis. Le jeu est globalement très stable, si l’on fait exception de rares mais brefs temps de chargements, quelques petits détails comme du clipping par-ci par-là ainsi que d’un bon concentré d’aliasing très prononcé au niveau des cheveux et autres bêtes poilues. Notons, qu’en plus d’une jolie évolution des lieux et des décors en fonction des saisons, sur lesquelles nous n’avons toutefois aucun contrôle, il n’est pas avare en détail quand il s’agit du mode fidélité. En revanche, les choses se gâtent en mode performance.

Le jeu perd en effet bien trop en finesse et en détail pour que ce dernier vaille vraiment la peine, ce qui est dommage, tant celui-ci semblait d’une fluidité plutôt exemplaire. Et le mode HFR, qui propose une fréquence que l’on estime à 90 FPS s’avère encore plus terne. Le mieux pour ceux qui veulent allier fluidité et fidélité dans le détail reste peut-être d’opter pour le mode fidélité et, sous condition d’avoir un écran adapté, désactiver la limite de fréquence d’image, au prix d’une stabilité parfois mis à mal. Sinon pour les autres, le mode équilibré est également présent et offre un plutôt bon compromis.

… Pour des interactions limitées

Le premier coup de poing que les fans ont reçu avant la sortie du jeu fut bien entendu l’annonce de l’absence de Quidditch. Une absence, vaguement justifiée dans le scénario, que l’on pardonne volontiers, compte tenu de l’expérience du studio qui n’a jamais eu à travailler sur un aussi gros jeu jusqu’alors. Les espoirs d’un futur DLC ne sont pas totalement inexistants mais Avalanche ayant promis que le jeu serait complet à sa sortie, il vaut mieux faire son deuil dès maintenant.

Mais ne comptez pas sur d’autres activités pour combler ce manque car c’est là où ce Hogwarts Legacy pèche en grande partie. Une fois passé l’émerveillement, on ne peut pas faire grand-chose en fait. Tout du moins vis à vis d’autres open worlds. Le plaisir de jeu reste pourtant intact, magie Harry Potter oblige mais de l’absence de mini jeux à l’interaction très limité avec les décors, les élèves et autres aspects secondaires, force est d’admettre que le jeu souffle tout de même un léger froid. Puisqu’on parle des élèves, il faudra aussi souligner l’aspect plan-plan au niveau des dialogues mais ceux-ci permettent néanmoins de profiter de l’excellent travail au niveau de la synchro labiale. Une technologie employée ici permet de faire correspondre à 90% du temps les mouvements de lèvres à chaque syllabe prononcés et c’est un joli plus dans l’immersion procurée.

Pour en revenir aux interactions et possibilités, ce ne sont pas les cours qui se montreront plus ouverts. Ceux-ci ne sont là que pour compléter sa gamme de sortilège et surtout ne sont pas franchement très ludiques. L’idée de passer via un mini jeu pour apprendre un sort est plutôt chouette mais encore faut-il qu’il offre un petit défi. Parce que concrètement, la seule chose à faire est de reproduire un tracé avec le joystick gauche tout en appuyant sur les bonnes touches au bon moment. Le truc c’est qu’a moins de confondre la touche L3 avec R3 et de n’avoir jamais vu ou tenu une manette Playstation, ces mini-jeux sont impossibles à louper. D’ailleurs, on ne peut décemment pas appeler ça des mini-jeux.

Le système de combats de Hogwarts Legacy fait des étincelles

Là où on attendait aussi Hogwarts Legacy au tournant, c’est bien sûr dans ses combats. Et à ce titre, c’est une très belle surprise. Là où les différents extraits nous laissaient craindre des adversaires plutôt statiques, attendant bien sagement de recevoir notre Expelliarmus en pleine poire, ces derniers se montrent au contraire assez offensifs et on aura vite fait de tomber au combat si l’on ne prend pas très vite les bons réflexes et les bons sortilèges. À savoir que nous avons fait le jeu en mode normal et qu’il en propose 4, du mode histoire jusqu’au mode difficile.

Combat Hogwarts Legacy

Ces sortilèges sont à assigner sur les touches droites de la manette, sur 4 fenêtres différentes, chacune étant représentées par les flèches directionnelles, nous laissant alors avec un total de 16 sortilèges à assigner pour un accès rapide, sur les 25 que l’on peut récupérer (certains peuvent être a priori loupés et certains ne sont pas des sortilèges mais des sorts utilitaires). Pour les lancer, il suffit alors de maintenir R2 puis d’appuyer sur la touche correspondante au sort, ou sur la flèche directionnelle correspondant à la bonne fenêtre avant tout. Un réflexe qui demande un peu d’entrainement face à une myriade d’ennemis, surtout quand ils ont un bouclier d’une certaine couleur et que le sort à utiliser pour les briser doit avoir le même code couleur. Mais après 2-3 combats, on commence à prendre le coup de main.

À  cela, il faut ajouter la possibilité de contre-attaquer avec un stupéfix lorsque on lance un protego au bon moment, ainsi que la possibilité de lancer des éléments de décors sur les adversaires et la gestion d’une jauge de magie ancienne. En effet, au fur et à mesure du combat, une jauge à 2 segments se remplit. Lorsqu’au moins l’une des deux est pleine, un message au-dessus de la tête d’un ennemi ciblé nous invite à appuyer simultanément sur R1 et L1. En résulte un puissant sortilège capable d’anéantir en un coup la vie des plus faibles ennemis et d’en faire perdre une portion non négligeable aux plus puissants, tout en détruisant les boucliers. Ajoutez encore à cela diverses plantes et moult potions à utiliser sur vous ou les ennemis et vous obtenez un système de combat assez riche finalement.

Enfin, les sorts ont besoin d’un cooldown pour se recharger. Un cooldown plus ou moins long en fonction de leur puissance, donc ne vous attendez pas à balancer des Avada Kedavra à tour de bras. Et puis si vous avez utilisé en une fraction de seconde la totalité des sortilèges assignés, ce qui serait un improbable tour de magie soit dit en passant, vous pouvez toujours spammer la touche R2 pour lancer de simples attaques en attendant le rechargement des sortilèges.

Combat Hogwarts Legacy

Un aspect Action RPG simple mais efficace

EDéfis Hogwarts Legacyn dehors des combats et des cours, que reste-t-il à faire hormis suivre le scénario principal ? Et bien l’air de rien, pas mal de choses assez utiles. À commencer par réaliser certains défis qui permettent à terme de débloquer diverses récompenses. Du sauvetage des créatures magiques à la résolution des défis de Merlin, en passant par des tâches assez classiques à effectuer en exploration ou en combats. Notons d’ailleurs que l’on peut gérer le HUD à souhait, pour ceux qui souhaiteraient une immersion complète, sans indications.

Réaliser ces défis permettent notamment de débloquer du contenu pour la salle sur demande ainsi que diverses apparences pour vos tenues. Une option permet en effet de changer l’apparence de ses tenues avec d’autres tout en conservant les caractéristiques de ces dernières et même de les rendre « invisibles ». Un très bon compromis si aucun chapeau ne sied à votre personnage mais que ses stats vous vendent du rêve.

Du coté des quêtes secondaires, Hogwarts Legacy s’avère être une très agréable surprise là aussi. Même si certaines relèvent parfois des quêtes Fed-Ex, la plupart en fait nous ont plutôt surpris de par leur qualité et parfois avec des rebondissements assez inattendus pour le genre. Ces quêtes ont néanmoins un peu tendance à casser le rythme du scénario et parfois, des quêtes que l’on aurait trouvé mieux adaptées à l’aspect secondaire en sont en fait des principales.

Un scénario assez prenant comme nous le disions avec une intrigue digne de la saga, donnant l’occasion de quelques énigmes visuelles plutôt bonnes et d’une mise en scène digne de la saga cinematographique. Ce qui compense franchement une certaine pauvreté dans le bestiaire et des combats de Boss assez redondants. Mais c’est également une intrigue riche, avec son lot de petites surprises, dont une grosse référence à la saga Harry Potter. Un passage qui tranche complètement avec le reste du jeu et dont on pourra aussi un peu s’interroger sur la pertinence mais qui devrait surprendre tout le monde de façon agréable, surtout les fans. Notons que la durée de vie est très correcte puisque nous avons bouclé l’aventure en 25/30H environ et il faut selon nos estimations compter environ le triple pour tout boucler avec les quêtes annexes et les défis. Loin de ce qu’ont annoncé les développeurs mais largement dans la moyenne attendue pour un jeu de cette envergure.

Salle sur demande: un véritable laboratoire personnel.

Très tôt dans le jeu, nous voilà projetés dans la célèbre Salle sur demande. Une grande pièce secrète qui nous servira à concevoir des plantes et potions, mais également à améliorer des tenues ou encore de s’occuper des créatures que l’on aura sauvées. Ces dernières nous offrent alors des matières premières nécessaires pour ajouter des améliorations et attributs sur nos tenues et accessoires. La préparation des potions et plantes demandent aussi un temps de préparation. Un chronomètre en temps réel nous indique à quel moment nos préparations seront prêtes.

Une salle que l’on peut décorer à notre guise avec plein d’éléments de décors et à laquelle on peut également apporter une ambiance à sa convenance. Bref, la possibilité de créer une pièce qui nous ressemble même si les tons et ambiances offrent un choix très limité. Néanmoins, il s’agit d’une possibilité franchement bienvenue et l’air de rien, nous y passons beaucoup de temps, surtout pour s’occuper de nos créatures, que l’on peut chouchouter avec des décors adaptés à leurs besoins. Non essentiel, puisqu’un petit coup de brosse et quelques croquettes pour chats suffisent à rendre leur vie magique mais c’est franchement immersif.

Une exploration très agréable dans Hogwarts Legacy

Il faudra attendre quelques heures de jeu avant de pouvoir enfin explorer les cieux de Hogwarts Legacy àVol balai Hogwarts Legacy dos de balai. Et les sensations sont très agréables à ce niveau. Si ce dernier n’est pas le plus rapide, des améliorations permettent au fil du jeu de booster sa vitesse, à condition de réaliser certaines quêtes pour le compte du vendeur de balais de Pré-au-Lard. En fait de quêtes, parlons plutôt de défis mais c’est un détail.

Plus tard encore arrive notre hippogriffe que l’on débloque grace à une quête annexe là aussi de qualité et là encore, la magie opère une fois de plus, tant on se croirait dans Le prisonnier d’Azkaban, film de la saga qui faisait la part belle à cette fière créature. On s’est même parfois amusé à lancer l’ost de John Williams issue de ce 3ème film.

D’ailleurs, les musiques du jeu sont juste superbes. Si certains reprocherent leur omniprésence, d’autres comme nous en savoureront les airs, très fidèles à la saga et on pourra même entendre quelques notes iconiques des différents films.

Vol Hippogriffe Hogwarts Legacy

Des choix avec un leger impact

Beaucoup se sont interrogés sur la possibilité de finir Hogwarts Legacy tel un ancêtre de Voldemort ou au contraire un grand admirateur de Gandalf le Blanc (celle-ci  est gratuite) mais on le dit tout de go: non, vos choix n’auront aucun impact sur votre parcours. Ces choix sont en fait des choix de dialogues lors d’interactions avec les autres personnages, mais hormis leur point de vue à votre égard et le blocage de certaines missions annexes, ça ne changera pas franchement grand-chose.

Néanmoins, on apprécie la volonté du studio de vouloir donner un léger impact personnel à l’aventure même si cet aspect reste tout de même en surface.

Conclusion du test Hogwarts Legacy: un long voyage, classique mais vraiment magique

Indéniablement, ce Hogwarts Legacy doit beaucoup à la nostalgie dans laquelle il plonge ses fans. Pour les non-fans, il s’agira peut-être d’un open world qui n’invente pas la poudre de cheminette mais s’avérera très plaisant à découvrir avec son histoire qui tient en haleine, ses quêtes annexes de qualité pour la plupart, son ambiance vivante et sa direction artistique admirable, poussée par une technique particulièrement soignée en mode fidelité ( beaucoup moins en mode performance et beaucoup beaucoup moins en HFR), n’en déplaise à un peu de clipping et à quelques soucis au niveau des éclairages. Pour les fans, ca devrait également être tout tout ça, mais ce sera surtout un voyage magique dans l’univers de JK Rowling, un univers fantasmé depuis si longtemps. Et finalement, c’est sûrement ça le principal, non ?

Hogwarts Legacy sera disponible le 10 Février 2023 sur PS5, Xbox Series et PC, le 4 Avril 2023 sur PS4 et Xbox One puis enfin le 25 Juillet sur Nintendo Switch.

Points forts

  • Le jeu Harry Potter dont on rêvait tous
  • Le créateur de personnage assez permissif
  • Très bonne durée de vie
  • L’évolution des décors suivant les saisons.
  • un univers assez grand, riche, immersif et très détaillé
  • Une direction artistique fidèle et sublime
  • Un système de combat fluide, complet avec une excellente prise en main
  • L’histoire, totalement dans l’esprit de la saga
  • Des quêtes annexes de très bonne facture
  • Les musiques, dans l’esprit des films et avec des petites sonorités directement reprises de ces derniers
  • La salle sur demande
  • La personnalisation des tenues très permissive
  • Un excellent doublage VF couplé à une synchronisation labiale exemplaire et des expressions plus vraies que nature

Points faibles

  • Un open world somme toute classique
  • Des personnages et une mise en scène assez statique dans les dialogues
  • Des choix à l’impact très limité
  • Un mode performance qui sacrifie bien trop de détails
  • Les cours, pas franchement intéressants ou ludiques
  • Il est où le Quidditch ??
  • des petits soucis techniques et des petites errances en animation
  • Quelques quêtes principales qui ressemblent à des secondaires
Graphismes
90 %
Durée de vie
90 %
Gameplay
85 %
Histoire
90 %
Bande-son
100 %

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Maximus
Maximus
Quelque part, dans un des millions d'univers infinis qui composent notre multivers, je déteste les jeux vidéos. Je n'y éprouve aucun intérêt et pire, je me montre particulièrement condescendant envers les "gamers". Mais c'est un autre univers.

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