Unknown 9 Awakening : Reflector licencie une partie des équipes

Face à l’évident échec de Unknown 9 Awakening, Reflector Entertainment, le studio de développement, qui ambitionnait d’élargir l’univers de son jeu, se sépare d’une partie de ses équipes. Il s’agit du premier jeu crée par le studio et avait été annoncé en 2020, 4 ans après sa création et au moment de son rachat par Bandai Namco.

Unknown 9 Awakening : Licenciements, épisode 872

C’était à prévoir. Entre une communication faible et des retours critiques mitigés, ca ne sentait pas très bon pour Unknown 9 Awakening. Et malheureusement, ca n’a pas loupé. Le titre, sorti en octobre, subit  son échec et le studio est contraint de se séparer d’une partie des équipes. Le studio a été  crée en 2016 et ce premier jeu annoncé en 2020, pendant la Gamescom. De fait, on comprend aisément que le studio québécois n’avait pas droit à l’erreur.

Il faut aussi souligner que le studio  avait de grandes ambitions autour de Unknown 9 Awakening. On aurait pu croire que son rachat par un éditeur imposant comme Bandai Namco aurait aidé en ce sens. Que nenni. Au vu du marketing franchement faible autour du jeu, il faut se rendre à l’évidence. Bandai Namco n’était peut-être pas aussi sûr de la viabilité du projet. Il faut aussi dire à coté que les retours critiques n’ont pas aidé.

Nous avions nous même reçu le jeu et avions apprécié son gameplay et son univers riche. Mais nous étions plus circonspect face à la technique datée et son histoire qui avait  du mal à nous emporter. Un résultat qui soufflait un peu le chaud mais aussi pas mal le froid et qui explique en partie l’échec du titre.

A l’heure actuelle, nous n’avons aucune information sur le nombre de licenciements et ne savons pas non plus si Bandai Namco compte restructurer l’équipe ou lui faire entièrement plier bagage. Néanmoins, un communiqué officiel de Reflector Entertainment nous apprends que 18% des postes sont supprimés. Par ailleurs, le studio affirme dans ce même communiqué travailler sur d’autres projets en interne. On peut donc penser que la fermeture n’est pas (encore) à l’ordre du jour.

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Maximus
Maximus
Quelque part, dans un des millions d'univers infinis qui composent notre multivers, je déteste les jeux vidéos. Je n'y éprouve aucun intérêt et pire, je me montre particulièrement condescendant envers les "gamers". Mais c'est un autre univers.

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