No Man’s Sky : la mise à jour Worlds Part II est là

No Man’s Sky vient de s’offrir la deuxième partie de sa mise à jour intitulée Worlds, aussi connue sous le nom de MAJ 5.0. Cette version 5.5 s’avère tout aussi titanesque et ajoute des milliards de système solaires, des planètes gazeuses ou encore des océans plus profonds et vastes.

No Man’s Sky : vers l’infini et au delà du DLC

Décidément, rien n’arrête l’ascension vertigineuse de No Man’s Sky. En même temps, il faut dire qu’avec son sobriquet de Part 1, sortie en juillet dernier, la suite semblait être une évidence. Et là voilà qui débarque aujourd’hui. Mais attention,  cette dernière,  loin d’être une miette de pain, fournit du nouveau un contenu à en donner le tourni. Et c’est comme toujours entièrement gratuit.

Au programme des réjouissances, on commence doucement avec un titre qui se retrouve encore amélioré techniquement,  comme le RT sur les reflets et les jeux d’ombres et de lumière. Mais le plus gros arrive. Au programme, on retrouve pèle-mêle : Des océans encore plus vastes et profonds, qui nécessitent du matériel de plongée de pointe, une nouvelle catégorie d’étoiles violettes, des milliards de systèmes solaires avec forcément encore plus de planètes à explorer, avec des biômes revus, dont des montagnes encore plus vastes.

Surtout, on note l’arrivée des planètes gazeuses, qui s’avèrent 10 fois plus grandes que la plus grande des planètes jusqu’alors visible dans No Man’s Sky et qui ont leur propres conditions météorologiques cataclysmiques en surface. Longtemps après avoir déjà été pardonnés pour le lancement du jeu, Sean Murray et son studio Hello Games ne semble pas prêt à lâcher les joueurs. Rien d’étonnant quand on sait que le jeu sert aussi littéralement de brouillon pour Light No Fire. On demande ce que ca donnera quand ce sera au propre… En attendant, retrouvez les détails de la mise à jour en suivant ce lien.

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Maximus
Maximus
Quelque part, dans un des millions d'univers infinis qui composent notre multivers, je déteste les jeux vidéos. Je n'y éprouve aucun intérêt et pire, je me montre particulièrement condescendant envers les "gamers". Mais c'est un autre univers.

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